roland atteignit l'infirmerie épuiser,presque à genou,laissant une trainer de sang dans le couloir d'entrée.il toquat à la porte et l'infirmiére vint ouvrir 5 minutes plus tard.elle s'inquiétat aussitôt pour l'hybride.elle aidat roland à la déposer sur un lit et mit roland derriére un para-vent.elle la dévétit pour faire tomber la fiévre et lui couvrit le front d'un tissu humidifier.elle lui mit ensuite la couverture pour ne pas faire un choc thermique.une fois finit.elle allat voir roland qui était le seul témoin.elle le regardat fixement:

-je peux savoir qui vous êtes et ce que vous faisiez avec une de nos éléves?si vous me le dites pas je serait dans l'obligation d'appeller la police.

roland soupira et lui répondit en s'inclinant:

-je me nomme roland loumino et je suis le nouveau prof...
il ne peut terminer que son genou craquat.il lachat un juron et s'étendit de tout son long.l'infirmiére allat prés de lui et vit son genou en écarquillant les yeux:

-vous...vous l'avez porter jusqu'ici avec un genou dans cet état?

roland hochat la tête:"
-ce n'est pas grand...

l'infirmiére l'interrompit:

-si,votre genou vient de se briser à l'instant ,je revient bouger pas.

elle partit et roland riat,ne pouvant pas bouger.il attendit le retour de l'infirmiére qui lui désinfectat la blessure puis lui banda la jambe.une fois terminer.il allat s'asseoir sur une chaise aider de l'infirmiére,pour surveiller son éléve,attendant son réveil.il demandat à l'infirmiére le nom de l'éléve et appris qu'elle s'appellait shayla.il souriat.son nom était aussi jolie qu'elle.il regardat les heures passer,la pluie disparaissant pour faire place à un beau soleil et la nuit pour faire place au matin.l'infirmiére revint plusieurs fois pour changer le tissu qui était sur le front de son éléve.
soudain,elle commençat à se réveiller,s'agitant.il sortit aussitôt:

-ça va mieux shayla?

Au début c'était le noir complet, même penser était trop douloureux. Alors elle avait abandonner le combat. Et puis il y eu comme une lueur. Un linge frais avait-été posé sur son front, elle l'avait senti.
Ensuite, le sommeil l'emporta. Ce fut un sommeil sans rêve, c'était calme, pour une fois.

Une voix lointaine s'éleva, une voix familière et agréable. Shayla remonta du monde de l'inconscient.
Un rayon de soleil chatouilla les cils de la louve. C'est bras se levèrent par réflexe et elle se gratta les yeux telle une enfants sortant d'un long et beau rêve. Tandis qu'elle essayait de chasser la lumière des yeux, encore fermés, elle pensa tout haut.

- hm, ses narines se dilatèrent pour renifler l'air qui l'entourait, ça sent bon, encore cette odeur de miel, elle n'ai même pas parti, je suis contente qu'elle soit restée là.
Un sourire éclaira son visage tandis qu'elle ouvrit les yeux pour se fâcher contre la chose qui l’empêchait de reposer en paix.
Elle s'assit et observa la fenêtre intriguée, elle leva le museau en l'air pour découvrir à qui appartenait cette odeur familière. Shayla observa le professeur, il paraissait attendre une réponse. Elle se gratta la tête.

Elle mit quelque seconde a reprendre ses esprits, et quelques unes de plus pour se rapeller de ce qu'il lui avait demandé.

- euh...oui, je crois. Elle posa une mains sur son front. Son expression égarée s'éclipsa pour laissé place à un sourire joyeux et une voix plus assurée. Oui, ça va, je vais mieux. Puis subitement elle prit conscience d'où elle se trouvait. Et toi bonbon de miel sa va ?

Elle observa son genoux bandé inquiète, elle ne pris pas conscience du tout du surnom ridicule qu'elle sorti. Puis hésita avant de poser une autre question.

- Mais comment connais-tu mon prénom ? Je n'ai pas le souvenir de te l'avoir dit.

roland continuat de regarder sa jeune éléve,attendant une réponse.doucement shayla levat ses bras et se frotta les yeux et sortit:

-hm, ça sent bon, encore cette odeur de miel, elle n'ai même pas parti, je suis contente qu'elle soit restée là.

roland ne sut pas quoi dire.il restat néanmoins neutre,faisant mine d'ignorer que c'était lui qui avait une odeur de miel.shayla commençat à sourire et à ouvrir les yeu puis doucement shayla s'asseyat et roland baissat en hâte les yeux pour regarder la couverture légérement gené,la jeune fille était dénudé.il remarquat soudain qu'elle n'avait toujours pas répondu et attendit patiemment la réponse de son éléve.elle lui sortit en le réalisant:

- euh...oui, je crois.d'abord surpris,elle souriat doucement,Oui, ça va, je vais mieux. Et toi bonbon de miel sa va ?

roland restat bouche bée et hochat la tête.shayla abaissat les yeux vers le genou bander de roland et lui demandat:

- Mais comment connais-tu mon prénom ? Je n'ai pas le souvenir de te l'avoir dit.

roland riat puis lui répondit:

-c'est l'infirmiére qui me l'as dit

soudain,il entendit l'infirmiére crier:

-c'est le "professeur"le bonbon de miel?
elle accourut vers ses patients et roland l'empêchat de parler en lui disant:"
-non c'est pas moi,c'est un autre éléve son petit copain,elle est encore un peu ailleur et m'a pris pour lui

l'infirmiére le regardat:
-je pencherai plutôt sur l'option du professeurs pervers qui courent derriére les jeunes filles.

roland soupira et décidat de l'ignorer.il approchat sa chaise de shayla et lui sortit en murmurant:

-comme tu le sais je suis professeur.j'aimerai qu'on garde une légére distance veut tu?tu pourra m'appeller ainsi hors de l'école,autrement c'est monsieur loumino ou monsieur roland,au choix.

il lui souriat et fit un clin d'oeil

L’infirmière hein ? Elle n'avait pas une bonne odeur, une odeur métallique mélangé à celle des médicaments. En plus Shayla remarqua qu'elle était presque nu, l'infirmière avait eu la décence de lui laisser ses sous-vêtements, enfin.. sous-vêtement... elle ne portait qu'un boxer, elle s'était échappée de sa chambre en pyjama et n'avais pas prévu du tout, tout ce qu'il lui était arrivé, même si elle ne regrettait rien (mise à part la période blessure et maladie en tout genre). La demoiselle remonta donc vite la légère couverture.

-c'est le "professeur"le bonbon de miel?
Elle ne compris la question que lorsqu'elle entendit la réponse du dit "professeur le bonbon de miel" :

-non c'est pas moi,c'est un autre élève son petit copain,elle est encore un peu ailleurs et m'a pris pour lui
Shayla fronça les sourcils lorsqu'elle entendit la vielle mégère renchérir, elle avait juste envie de la remettre à ça place.

-je pencherai plutôt sur l'option du professeurs pervers qui courent derriére les jeunes filles.

La surprise de la jeune fille fut à son comble, comment pouvait-on juger ainsi une personne alors que blessée elle avait rapporté une élève ici. C'est ce qu'elle s’apprêtait à dire lorsque le professeur s'approcha pour parler tout bas.
-comme tu le sais je suis professeur.j'aimerai qu'on garde une légére distance veut tu?tu pourra m'appeller ainsi hors de l'école,autrement c'est monsieur loumino ou monsieur roland,au choix.

Elle émit un petit rire, comment pouvait-il accepter se surnom ridicule. Oui elle venait enfin de prendre conscience de ses actes, et elle s'en voulait assez.

- Alors comme ça vous vous appeler Roland Loumino ? dit-elle en appuyant bien sur le "vous".

La louve blanche était un peu déçu de ne plus pouvoir le tutoyer, ou l'appeler par son nouveau surnom maintenant. Sans le vouloir elle se mit a gronder telle une bête sauvage lorsqu'elle vit la femme s'approcher.

- Oh pas la peine de faire cette tête, j'ai l'habitude de forte tête comme toi, sous prétexte que ses parents possèdent de l'argent, elle peut s'offrir tout ce qu'elle veux, et même traîner avec se genre de type. Elle regarda d'un mauvais oeil le professeur de théâtre et comment ça à s'en aller quand Shayla l'interpella. C'était la goûte d'eau qui faisait déborder le vase.

- Excusez-moi madame,même si je vous suis très reconnaissante de vous être occupé de Monsieur Loumino et de moi il faut que vous sachiez une chose. Ce n'est pas parce que vous lisez des tonnes de romans, qui vous soignez des adolescent et que vous n'aimez pas les hybrides qu'il faut voir vos clichés de science fictions partout. Oui, parce que ça sent à plein nez que les hybrides vous dérangent quelque peu. Cette homme hier soir m'à surement sauvé la vie, et je vous rappelle, alors que moi je dormais, qu'il est arrivé ici gravement blessé. Ensuite je ne fréquente personne, pour votre gouverne, la petite fille à papa est fiancé, et vous auriez du le voir puisque c'est vous qui m'avez déshabilliez, Shayla le regard autoritaire enleva le collier qu'elle avait autour du cou. Comment auriez-vous pu savoir mon prénom, sans qu'il ne soit inscrit sur cet anneau ?

Elle avait surement dit trop de chose, mais cela suffis à fermer la grand bouche et trop rouge de l'infirmière, elle parti sans un mot le regard indigné. Shayla remit le long collier autour de son cou et remonta encore un peu le drap. Son regard rouge se perdit dans le vague. Quand elle fut bien sûr que l'odeur métallique ne trainait pas dans le coin elle déclara :

- Je suis désolée de t'avoir affublé d'un surnom de si mauvais gout. Elle marqua une pause. J'ai oublié de lui demander mes vêtements, elle ne me les rendra plus, si elle ne les a pas déjà brûlée.

Elle émit un dernier sourire timide avant de se cacher empourpré de honte sous le tissus blanc. Sa queue en dépassait et se balançait mollement dans le vide.

roland lui sortit à l'oreille en murmurant:

-comme tu le sais je suis professeur.j'aimerai qu'on garde une légére distance veut tu?tu pourra m'appeller ainsi hors de l'école,autrement c'est monsieur loumino ou monsieur roland,au choix.

shayla ria doucement et lui sortit:

- Alors comme ça vous vous appeler Roland Loumino ?

elle appuya sur le vous ce qui fit sourire roland.elle osait se moquer de lui.enfin il n'allait pas lui en vouloir elle ne faisait que rire.ou peut être riait elle de lui,il fallait voir.soudain elle commençat à grogner et roland vit l'infirmiére s'approcher.celle ci sortit à shayla en la voyant grogner:

- Oh pas la peine de faire cette tête, j'ai l'habitude de forte tête comme toi, sous prétexte que ses parents possèdent de l'argent, elle peut s'offrir tout ce qu'elle veux, et même traîner avec se genre de type

roland levat un sourcil,ainsi elle était héritiére d'une grande famille d'okami?à coup sur une famille qui détestait les humains.c'est ainsi pour chacune des trois familles.l'infirmiére toisa roland d'un mauvaise oeil qui fit de son mieux pour tenir son regard puis elle commençat à partir quand shayla l'interpella:

- Excusez-moi madame,même si je vous suis très reconnaissante de vous être occupé de Monsieur Loumino et de moi il faut que vous sachiez une chose. Ce n'est pas parce que vous lisez des tonnes de romans, qui vous soignez des adolescent et que vous n'aimez pas les hybrides qu'il faut voir vos clichés de science fictions partout. Oui, parce que ça sent à plein nez que les hybrides vous dérangent quelque peu. Cette homme hier soir m'à surement sauvé la vie, et je vous rappelle, alors que moi je dormais, qu'il est arrivé ici gravement blessé. Ensuite je ne fréquente personne, pour votre gouverne, la petite fille à papa est fiancé, et vous auriez du le voir puisque c'est vous qui m'avez déshabilliez,
shayla retira de son collier un pendentif et le mit en valeur pour justifier ses propos.elle continuat aprés
Comment auriez-vous pu savoir mon prénom, sans qu'il ne soit inscrit sur cet anneau ?
l'infirmiére restat bouché bée puis partit,légérement rouge.roland souriat.sa protégé était donc,une okami,héritiére d'une grande famille qui détestait à coup sur les humains fiancées.il ne savait que dire,à part une chose:il allait tuer son ami.
shayla se tournat vers elle et lui sortit:

-Je suis désolée de t'avoir affublé d'un surnom de si mauvais gout. Elle marqua une pause. J'ai oublié de lui demander mes vêtements, elle ne me les rendra plus, si elle ne les a pas déjà brûlée.

roland souriat et lui sortit avec un ton plus élévé qu'il ne l'aurait voulu:

-si elle les brule,ce n'est rien,ta famille en rachétera de nouveau,ou obligera des humains à se cotiser pour te les offrir.

il se tournat et regarda dehors.il avait en face d'elle une fille qui allait bientôt jouer de lui.elle irait ensuite se plaindre à sa famille qui brisserait sa carriére à the lost school.il était un homme mort,et doucement commençat à s'inquiéter et par conséquent,s'attaquer à shayla un peu par accident

Cachée sous le drap elle entendit trais clairement ce qu'il venait de dire :

-si elle les brule,ce n'est rien,ta famille en rachétera de nouveau,ou obligera des humains à se cotiser pour te les offrir.

Son ton était quelque peu dure et offensant. Une larme blessée coula le long de sa joue, mais la couette la cachait. On ne pouvait voir que sa queue se raidir et ne plus se balancer jovialement ou part réflexe.

- Alors tu penses vraiment cela de moi ? Sa douce voix s'éleva. Parce que...je te trouve...Pour rien.

Elle se tu déçue, avant de dire une chose qui pouvait encore le compromettre. Toujours planquée, elle tendis le bras et attrapa un bout de papier et un crayon.

" Je t'aime beaucoup et je te suis reconnaissante de ce que tu as fait pour moi la nuit dernière, mais j'ai peur que tu ne m'aime pas et que tu te sentes obligé de rester avec moi, parce que je suis une élève et toi un prof... "

Voilà ce qu'elle écrivit dans une belle caligraphie. Elle dessina très rapidement un mignon petit loup tout triste, puis elle plia le papier et enroula sa queue autour, puis posa son long appendice de fourrure blanche sur les jambes de Roland.

- Répond à ma question et tu pourras lire ce que je pense vraiment de toi.

roland regardait par la fenêtre et se retournat vers shayla en l'entendant parler:

- Alors tu penses vraiment cela de moi ? Sa douce voix s'éleva. Parce que...je te trouve...Pour rien.

il se préparat à lui répondre de maniére aussi séche quand il remarquat un truc.ce qu'il venait de lui dire avait l'air de la toucher profondément.il réfléchissat,se calmant par la même occasion.c'était elle qui était viser?ou sa famille?c'était sa faute si elle était elle et pas une autre.il y réfléchissait quand soudain il vit l'okami prendre un bout de papier et y marquer.il se préparat à le prendre mais elle le plaçat dans sa queue et lui disant:

-- Répond à ma question et tu pourras lire ce que je pense vraiment de toi.

roland soupirat,détestant les secrets.il était capable de dire le premier truc qui lui passat par la tête et se préparat à le faire:

-ce que je pense de toi?c'est bien simple...

il se stoppat.ce qu'il allait dire était bien le fond de ses pensées?non,c'était le premier truc qui lui était passer par la tête.hors ça ne visait pas shayla mais les okami...les okamiil levat un sourcil et pensat à une parole que son ami lui avait souvent répéter.il fermat les yeux et se la remémorat:

-là,cette personne agé,c'est un okami,cet enfant c'est aussi un okami.et sa mére l'est également.te regardent-ils de travers?rigolent ils d'un humain?non,que tu vois un hybride,tu le voit pas comme il est,mais comme ils ont été dans ton passé.hors beaucoup sont gentil,et veulent voir la paix partout où ils passent,où vivrait humain et hybride ensemble,main dans la main.regarde l'hybride,ne regarde pas les hybrides

roland,dans ses pensées soufflat doucement:

-regarde l'hybride,ne regarde pas les hybrides

il rouvrit les yeux et tentat de voir shayla,une jeune hybride,sauver de la mort issu d'une grande famille d'hybride et doucement souffla:

-désolé shayla,tu es une fille gentille et trés douce.je ne sais pas comment tu es seule mais avec moi tu es gentille et du genre à aimer sentir l'odeur dégager par les gens.je ne doit pas te juger par ta famille.chaque hybride est différent.ma réaction a été guider par la peur,la peur des familles d'okami,la peur des okamis.tu n'as pas l'air d'être du genre dictatrice envers les humains,tu as l'air au contraire gentille,douce et une hybride en qui je peux avoir confiance.je ne juge jamais l'hybride,je juge les hybrides.hors pour moi un hybride est un monstre détestant les humain,les humiliant,se moquant d'eu et cherchant à les exterminer.hors tu n'es pas les hybride,tu n'es que shayla,jeune fille à la santé fragile,issu d'une grande famille d'okami.

roland respirat un gros coup.il n'avait pas remarquer mais il avait tout dis sans s'arrêter,sans respirer.doucement,il cherchat à calmer son coeur qui le brulait dans la poitrine

Shayla sorti la tête de sous la couverture pour observer sa réaction, et surtout s'il allait mentir. Des mèches de cheveux flottaient un peu partout sur son visage et ses oreilles frétillèrent à ses premières paroles, toujours de son ton dure qu'elle n’appréciait guère.

-ce que je pense de toi?c'est bien simple...


Puis son regard bleu vert se perdit dans le vague, comme si un souvenir venait de refaire surface en lui. La louve patiente attendit, il chuchota nostalgique :

-regarde l'hybride,ne regarde pas les hybrides

Sur le même timbre, mais un ton différent, plus doux, plus humain, il déclara d'une traite :

-désolé shayla,tu es une fille gentille et trés douce.je ne sais pas comment tu es seule mais avec moi tu es gentille et du genre à aimer sentir l'odeur dégager par les gens. Cela lui fit naître un sourire sur ses douces lèvres. Je ne doit pas te juger par ta famille.chaque hybride est différent.ma réaction a été guider par la peur,la peur des familles d'okami,la peur des okamis.tu n'as pas l'air d'être du genre dictatrice envers les humains,tu as l'air au contraire gentille,douce et une hybride en qui je peux avoir confiance.je ne juge jamais l'hybride,je juge les hybrides.hors pour moi un hybride est un monstre détestant les humain,les humiliant,se moquant d'eu et cherchant à les exterminer.hors tu n'es pas les hybride,tu n'es que shayla,jeune fille à la santé fragile,issu d'une grande famille d'okami.

Était-ce vraiment réelle ou c'était encore une illusion. La queue immaculée s'ouvrit pour que le jeune homme le lise. Quelques secondes passèrent, tandis qu'elle l'observait sans un mot. L’infirmière arriva des affaires pliées dans les mains, elle les déposa sur le lit et reparti sans dire un mot, bien que son regard aigre en disait long sur ses pensées. Elle sorti du petit bâtiment, elle déclara comme excuse qu'elle avait affaire ailleurs pendant un petit moment et ordonna à la demoiselle de ne pas quitter les lieux sans son autorisation. La louve acquiesça puis enroula son corps dans le linge pour aller se enfiler ses vêtements propres. Derrière le paravent elle laissa tomber la couverture et contempla les petites cicatrices sur son ventre et ses jambes, elle mit sa longue robe blanche de soie et attacha la ceinture de même matière dans son dos, pour avoir moins l'air d'être en pyjama. Elle sorti du paravent derrière le professeur et s'approcha lentement de lui, il ne la voyait pas, mais il devait surement la sentir et l'entendre arriver juste derrière lui. Il était assis, la louve couleur neige enroula ses bras autour de son cou, posa sa tête sur son épaule et ferma les yeux pour plus se délecter de son odeur sucrée.
La chaleur de sa peau la berçait. Placé ainsi elle se sentait bien, peut-être que lui détestait ça, elle n'en avait aucune idée, mais pour une fois elle allait jouer les égoïstes et rester immobile, contre lui, son museau fiché dans son cou.

roland respirait doucement,ayant tout dit sans respirer.une fois qu'il eu remplis ses poumons.il levat les yeux et vit le papier à portée de main.il le prit puis le regardat quelques secondes,hésitant à l'ouvrir.il vit l'infirmiére arriver,portant une pile de vétéments propres.elle les déposat sur le lit et repartit sans un mot.roland ramenat son regard sur la papier.allait-il l'ouvrir ou non?il n'en savait rien.il n'était pas passer 10 secondes que l'infirmiére revint prés d'eux

:-je dois quitter l'école,on m'appelle d'urgence ailleur mais je revient aprés

roland voulut lui répondre qu'elle reprit,se tournant vers shayla

-et toi,tu restes ici,tu ne part que si je te l'autorise pour des raisons de santé.

elle tournat les talons et partit.roland entendit la porte claquer et vit shayla aller derriére le paravent pour se changer.rolant eut juste le temps de retourner au papier.il décidat de l'ouvrir et doucement,le lut:

" Je t'aime beaucoup et je te suis reconnaissante de ce que tu as fait pour moi la nuit dernière, mais j'ai peur que tu ne m'aime pas et que tu te sentes obligé de rester avec moi, parce que je suis une élève et toi un prof... "

roland le relut et le rerelut.ce mot lui faisait plaisir,mais en même temps le rendait un peu triste.il prit un bic et écrivit en dessous du mot:

"je t'aime beaucoup aussi.sache que tu es la premiére hybride avec qui je m'entend bien.mais le soucis n'est pas seulement le fait que notre relation soit une relation professeur-éléve,c'est que je t'aime beaucoup toi,une hybride,une okami de surcroit,héritiére d'une des trois familles.et c'est ça le cœur du soucis.c'est que je voit la même image que d'habitude,enfin j'ai l'impression et peur de la voir:l'hybride jouant de l'humain.mais depuis mon arriver à mountain city,j'ai juré un truc et je le tiendrait:tenter de faire confiance aux hybrides qui me prouvait qu'ils en sont digne,et tu en fait partie"

il repliât le papier et s’étirât.il regardât son genou et tentât de le bouger en vain.il soupira,il détestait rester assis. il entendit shayla revenir de derrière le paravent et sentit les bras s'enrouler autour de son cou.il sursautat au contact et se préparat à se retirer de peur de se faire étrangler mais se rattrapat aussitôt.il se calma et se laissat faire,voulant faire confiance à shayla,il sentit shayla placer son museau dans son cou et souriat bétement .il la laissât faire,appréciant se contact.soudain,il voulut tenter un truc.avec difficulté,il se libérât et se levât.il lachat un grimace,tenant à peine sur son genou blesser et se tournat lentement vers shayla,ressérant la prise sur le papier.au dernier moment,il sentit que son genou était sur le point de flancher et réussit à temps à mettre tout son poids sur l'autre genou,se rattrapant aussi à la chaise.il respirat pour se calmer,légérement rouge,pensant à ce qu'il voulait faire.c'était risquer mais bon,il voulait essayer et tenter le tout pour le tout.il tendit les bras vers shayla lentement de peur de tomber et,doucement,il enlaçât tendrement shayla .il caressat de sa main libre ses cheveux puis amenât sa main qui contenait le papier vers la queue de shayla,il mit le papier contre celle ci et l'enroulat autour.il soufflit à l'oreille de shayla:

-tu pourras le lire quand tu m'auras dit tout ce que tu penses de moi.
il appuya sur le tout puis.il restât silencieux pour profiter du moment .il souriat puis fit en vitesse un léger bisous au coin des lévres de shayla,au moment où celle ci se préparat à lui répondre puis la laissat parler,prét à supporter toutes les vérités qu'elle lui dirait

La délicate odeur sucré de Roland apaisait son esprit. Lorsqu'elle le senti bouger elle voulu resserrer sa prise pour ne pas s'en défaire, mais le laissa finalement s'échapper. Il se leva s'appliquant à ne pas s'appuyer sur le mauvais genoux, chose qu'il ne réussi apparemment pas car une grimace douloureuse se dessina sur son visage. Il flancha une seconde à peine, mais par réflexe Shayla s'était rapprochée pour le soutenir, de peur qu'il s'effondre.

Le voyant rougir légèrement elle sourit amusé de son embarras. Puis tendant les bras il l'a pris délicatement dans ses bras. Une de ses mains se posa sur sa chevelure d'argent. C'était autour de l'élève de s'empourprer. Il l'avait lui même accueilli dans ses bras et cela l'avait forcément surprise. Il était un homme qui avait foncièrement horreur des Ookamis.
La demoiselle Thompson senti le professeur porter à sa queue ivoire le morceau de papier qu'elle lui avait donner un peu plus tôt.

Voulait-il lui rendre car il n'en voulait pas ? Shayla eu subitement un doute affreux, mais les chuchotements qui lui offrit la rassura. Le silence qui s'en suivit était accueillant et aromatisé au miel. Puis Shayla se décida enfin à parler, elle avait mijoté quelques mots dans sa tête et espérait que le reste vienne de lui même.

Les mots lui restèrent dans la gorge, bloqué par le discret baiser que Roland venait de lui donner. Tous les mots lui avait échappés, c'est donc avec les joues rougit de gêne qu'elle se détacha de lui avec regret. Elle n'arrivait même plus à le regarder dans les yeux.

- Ce que je pense de toi ? Je ne sais pas, Est-ce que j'ai le droit de pensé à une personne comme ça ? Son regard bordeaux ce perdu dans le vide, Ais-je le droit d'aimer une personne sans que je n'ais de représailles, de coups, et d'insultes. Je ne sais pas Roland, je ne sais plus. Aimer, rien que ce verbe m'ais devenue inconnu. comment pourrais-je dire à quelqu'un ce que je pense si je ne connais la valeur des mots et de mes émotions. Tout ça est nouveaux pour moi. Et c'est aussi pourquoi j'ai accepter de venir, pour découvrir de nouveaux horizon mais surtout pour me découvrir moi même. Cela fait trop longtemps que je suis enfermé comme un vulgaire chien domestique. Alors je suis désolé si ma réponse ne correspond pas du tout à ta demande, mais tout ce que je sais, c'est que... Elle s'invita dans les bras de professeur et enfoui son visage dans sa chemise, c'est qu'ici je suis bien.

roland mit le bout de papier contre la queue de shayla puis l'enroulat autour et lui chuchotat doucement à son oreille:

-tu pourras le lire quand tu m'auras dit tout ce que tu penses de moi.

une fois sa phrase terminé.il restat silencieux ,profitant du moment et fit en vitesse un bisous au coin des lévres de shayla.il sentit soudain shayla se détacher de lui et lachat involontairement un soupire de regret.elle commençat à lui expliquer:

-Ce que je pense de toi ? Je ne sais pas, Est-ce que j'ai le droit de pensé à une personne comme ça ? Son regard bordeaux se perdu dans le vide, Ais-je le droit d'aimer une personne sans que je n'ais de représailles, de coups, et d'insultes. Je ne sais pas Roland, je ne sais plus. Aimer, rien que ce verbe m'ais devenue inconnu. comment pourrais-je dire à quelqu'un ce que je pense si je ne connais la valeur des mots et de mes émotions. Tout ça est nouveaux pour moi. Et c'est aussi pourquoi j'ai accepter de venir, pour découvrir de nouveaux horizon mais surtout pour me découvrir moi même. Cela fait trop longtemps que je suis enfermé comme un vulgaire chien domestique. Alors je suis désolé si ma réponse ne correspond pas du tout à ta demande, mais tout ce que je sais, c'est que... Elle s'invita dans les bras de professeur et enfoui son visage dans sa chemise, c'est qu'ici je suis bien.

roland rougissat quand elle enfuis son visage dans sa chemise et la gardat contre lui.il lui caressat tendrement la joue et lui soufflat à l'oreille une phrase,contenant des promesses que jamais il n'aurait cru faire à un okami:

-oui tu as le droit de penser à une personne comme toi et jamais je ne te ferait du mal,frapper une femme est un crime odieu auxquels jamais je ne me rabaisserai .je préférerai mourir.je te promet d'être là pour toi,de te chérir et d'être là pour toi,et ce pour toujours.je ne te brusquerai jamais et je ne trahirais point ta confiance.je ne sais pas ce que tu as vécu,qui a oser te frapper,et ne t'oblige pas à me le dire.où tu as souffert,je te ferai du bien,où tu est blesser,je te soignerai,où tu auras peur je te rassurerai et où tu seras en danger,je te protégerai.je t'aime et je te veux pour toujours shayla.

il passat sa main le long de son dos,caressant sa queue pour prendre le papier qu'il amenat dans la main de shayla,accentuant son rouge aux joues:

-pour toi,je te l'avait promis.mais je vais te dire ce qu'il y est marquer:"je t'aime beaucoup aussi.sache que tu es la premiére hybride avec qui je m'entend bien.mais le soucis n'est pas seulement le fait que notre relation soit une relation professeur-éléve,c'est que je t'aime beaucoup toi,une hybride,une okami de surcroit,héritiére d'une des trois familles.et c'est ça le cœur du soucis.c'est que je voit la même image que d'habitude,enfin j'ai l'impression et peur de la voir:l'hybride jouant de l'humain.mais depuis mon arriver à mountain city,j'ai juré un truc et je le tiendrait:tenter de faire confiance aux hybrides qui me prouvait qu'ils en sont digne,et tu en fait partie"je te l'ai dis car de nombreuse erreurs s'y trouve.je t'aime et je m'en fout de tes origines,car je t'aime pour ce que tu es et non d'où tu viens

lui donne un autre bisous au coin des lévres,rouge comme jamais il ne l'avait étédepuis son arriver à the lost school