Le jeune usagi préfère tout débrancher au cas où, c'est vrai qu'il vaut mieux être prudent on ne sait jamais avec ce temps. Il va aussi allumer des bougies, ça va être bien, les soirée avec des bougies c'est sympa, ça donne une autre ambiance. S'ils avaient une coupure de courant ça ne serait pas trop grave pour elle, elle voit dans le noir mais pour le jeune prof ça serait un problème, il risquerait de se cogner partout, elle dit:

-Tu as raison, il vaut mieux être prudent, des fois que l'orage éclaterait sans prévenir il ne faudrait pas que tes appareils électriques ne marchent plus.

Elle le voit éteindre ce qui craint le plus, il lui dit ensuite que ça aurait coûté cher de racheter ou de réparer les objets endommagés. Sans nul doute, elle se demande ce qui aurait été le plus cher, les racheter ou les réparer...Tout doit dépendre de l'objet en question elle suppose. Il lui demande ensuite ce qu'elle veut faire, elle n'en sait rien pour le coup, ils ont vu deux films c'est déjà bien, un troisième ferait trop sans doute. Elle réfléchit pendant un moment, peut-être que lui veut faire quelque chose de spécial? Elle ne voudrait pas le forcer à faire quelque chose qu'il ne veut pas donc autant savoir ce qu'il veut, elle du moment qu'elle fait quelque chose avec lui ça lui va donc autant demander:

-Je ne sais pas, on a vu deux films je pense que c'est bien donc...tu veux faire quelque chose toi? Tu sais moi du moment que je fais quelque chose avec toi ça me va.

Bien sûr elle ne s'est pas rendu compte du double sens de sa phrase autrement elle se serait sans doute cachée dans un trou de souris.

Le jeune Usagi écoute qu'elle dit, voir un troisième film n'est pas très possible, surtout qu'il vient d'éteindre la télévision et qu'il a coupe le lecteur DVD, donc plus de film pour le moment, en plus l'orage craque de plein fouet, il entend donc quelque chose qui le chiffone un peu, elle lui a dit "du moment que je fais quelque chose avec toi, ça me va..."
Il commence donc à réfléchir, et se rend compte que cette phrase à un méchant double sens, et ce qu'il arriva est arrivé, il à le petit soldat qui se lève, le prof commence donc à rougir méchament, c'est presque comme une invitation, il pose alors ses mains sur son entre-jambe, même si c'est trop tard, Halgorya a sans doute vu la petite bosse, y de quoi, un homme, suffit d'une simple pensée et voilà, c'est en action, étant largement trop gêné, mais en même temps, il en a vraiment envi maintenant, maintenant qu'il est entré en action il lui dit alors.

Kyosuké: Et bien, on peut dire que tu utilises bien les mots à double sens, mais je suppose que tu n'as pas fait attention a ce que tu as dit, et maintenant, je crois qu'il en a envi mon petit soldat là, je ne peut plus le retenir malheureusement...

Le jeune Usagi ne sait plus quoi faire, il n'a pas envi de la brusquée, mais là, c'est plus fort que lui, il ne peut plus le retenir, et maintenant, il est largement visible depuis le pantalon de nuit du professeur.
Quel sera la réaction d'Halgorya, sans doute terrifiée et gênée.

Elle voit le prof rougir, elle a dit quelque chose qu'il ne fallait pas? Elle le voit aussi mettre ses mains entre ses jambes, bien évidemment elle voit la bosse avant qu'il ne le fasse et rougit elle aussi. Elle se demande bien ce qu'elle a dit pour provoquer ça. Il a l'air vraiment gênée en plus, autant qu'elle, du moins le suppose-t-elle...Il lui dit qu'elle utilise des mots à double sens, elle réfléchit, qu'est-ce qu'elle a pu dire de double sens? Elle finit par trouver, sa dernière phrase...Comment elle a fait pour ne pas s'en rendre compte? Pire! Comment elle a fait pour sortir une phrase comme ça? Elle aussi est vraiment gênée, ses oreilles le montre autant que son teint. Il dit qu'il ne peut plus se retenir, logique en un sens, ce genre de réaction on peut pas les retenir ni les contrôler. Elle se sent responsable de son état et veut l'aider, elle se doute bien de la façon dont elle pourrait l'aider, ça la rend nerveuse mais en même temps si c'est Kyosuké ça ne la gêne pas, elle l'aime beaucoup donc ça ira. D'un ton aussi gênée que timide elle dit:

-Pardon...je...j'ai pas fait exprès....si...si tu veux...on peut le faire....si c'est toi ça me gêne pas...

Elle attend sa réponse avec beaucoup de nervosité, elle n'imaginait pas que cette situation arriverait, remarque on ne peut jamais prévoir ce genre d'événement, c'est pas comme si ça se programmait...

La jeune néko s'excuse, elle ne pensait pas qu'elle dirait des choses qui aurait un double sens, peut être que ça ne l'a pas tilté directement, parfois, on dit des choses qu'on ne pense pas directement, mais là c'était du joli comme il dirai souvent, mais il ne préfère pas le dire pour ne pas blessée, il remarque qu'Halgorya est tout aussi gênée, il voit que ses oreilles sont complètement baissée et qu'elle ne sais pas trop quoi faire, puis il écoute ce qu'elle dit, elle le dit d'une manière gênée, mais elle montre un soupson de timiditée aussi, elle lui propose qu'on le fasse, et tant que c'est lui, ça la gêne pas, pour le prof aussi, mais vu qu'elle n'a pas d'expérience, elle risque d'être fort surprise et même parfois fort gênée, il lui répond alors.

Kyosuké: Très... très bien, je veux bien, ca me gêne pas non plus que se soit toi, de plus, on est seul dans l'appartement, les autres voisins sont parti ailleur, donc à mon avis je suppose qu'on ne fera pas trop de bruit et le reste du voisinage, je suppose qu'ils ne nous entendront pas, vu qu'ils seront sûrement devant la télé ou autre chose.
Donc pour moi... ca me dérange pas plus..., tu veux le faire où?
Dans le lit ou ici?
Ah mon avis tu seras plus pour la chambre je crois.

Le prof retire alors doucement ses mains de son entre-jambe, laissant voir la taille de l'engin à Halgorya, elle doit se sentir fort gênée, mais pour le prof c'est pareil, mais comme il a déjà de l'expérience, il sait comment il doit faire pour Halgorya, doux et lentement au début.

Il veut bien, ça le gêne pas que ce soit avec elle, on peut dire que dans un sens ça la rassure, dans un sens du moins, elle n'aurait pas voulu que ça le gêne, elle veut vraiment l'aider. Quand il parle de faire du bruit elle se sent encore plus gênée, elle n'avait pas pensé qu'ils pourraient en faire, remarque elle avait autre chose à penser, elle se prend à se dire qu'elle espère ne pas faire trop de bruit pour ne pas faire mal aux oreilles de l'usagi. Etrange de penser à ça à un tel moment mais bon elle est comme ça. Il lui demande ensuite où elle veut le faire, dans la chambre ça serait mieux oui, toujours aussi timidement elle dit:

-Oui...dans la chambre....

Elle le voit retirer ses mains et ne peut que constater la taille de l'engin de l'usagi, ça l'intimide un peu plus et elle détourne le regard pour ne pas gêner le jeune prof, cela dit c'est aussi pour ne pas être gênée elle non plus...

Halgorya semble d'accord pour la chambre, c'est largement plus intimes et aussi le lieux le plus discret au monde, et lorsqu'il a retiré ses mains, la jeune néko semble intimidé par l'entre-jambe, mais bon en même temps, il n'a pas trop le choix aussi, elle détourne son regard, peut être pour ne pas être gênée ou pour ne pas gêné le prof, mais ça le dérange pas plus, vu qu'il en a déjà fait, il va donc porté dans ses bras la jeune néko, elle doit être tremblante en ce moment, et comme à la piscine, il la soulève sans trop de difficultée, une fois dans la chambre, il ferme la porte, histoire que la chienne n'entre pas dans la chambre, car bon, un chien, c'est comme une autre personne, surtout qu'elle est assez grande, donc ça pourrait largement gênée Halgorya, une fois la porte fermé, il dépose délicatement Halgorya, il sait que pour elle, c'est la première fois, mais si elle détourne son regard tous le temps, elle ne pourra certainement pas profiter du mieux qu'elle peut, il lui dit alors.

Kyosuké: Ne t'inquiète pas Halgorya, c'est vrai que la première fois, c'est toujours impressionnant, mais tu dois pouvoir le voir, et surmontée cette peur et cette gêne, ne t'inquiète pas, je serai très doux avec toi, comme c'est ta première fois, je dois bien faire ça pour pas que tu ayes trop mal aussi.
Et n'hésite surtout pas, tu peux faire ce que tu veux de moi.

Le prof caresse lentement la joue d'Halgorya, pour la rassurée du mieux qu'il peut, car c'est pas très évident, surtout avec une femme qui à ses premières relations, il doit pouvoir lui mettre en confiance et surtout la rassurée.

Il la soulève sans problème, contrairement à la piscine là elle s'en rend bien compte, elle tremble un peu bien sûr, réaction plutôt normale pour elle. Il l'amène dans la chambre et ferme la porte, sans doute pour éviter que Kyra n'entre, ça serait gênant même si elle n'est pas humaine. Il la dépose sur le lit, ça la rend plus nerveuse, elle essaie pourtant de se calmer, après tout elle a déjà eu une conversation de ce genre avec sa mère, celle-ci lui disait toujours de ne pas être crispée, on peut dire que pour l'instant c'est pas un succès, question nervosité elle n'a jamais été aussi nerveuse. Il lui dit de ne pas s'inquiéter, qu'il sera doux, même si elle sait que c'est dans sa nature ça fait toujours plaisir de l'entendre. Elle dit qu'elle doit pouvoir le voir, facile à dire mais elle va essayer cela dit. Il lui dit ensuite qu'elle peut faire ce qu'elle veut de lui, pour l'instant elle ne sait pas quoi faire donc ça va être difficile, elle est toujours aussi rouge et c'est difficile de dire si elle rougit plus ou non. Il lui caresse ensuite la joue, sans doute pour la rassurer, elle esquisse un petit sourire et dit:

-Je....je vais essayer...si...si tu veux...tu peux...toucher mes oreilles....

Elle se dit que peut-être ça serait bien et elle sait qu'il sera doux donc, un contact doux sur les oreilles, elle se demande si c'est agréable. Sans doute, elle le saura bientôt de toute façon. Elle est un peu plus rassurée par les mots et les caresses de Kyosuké même si elle serre les jambes, une réaction involontaire mais qui traduit bien de sa nervosité.

Elle lui demande de lui touché les oreilles, elle aime bien qu'on touche aux oreilles ou alors c'est une partie du corps qu'elle n'aime pas trop qu'on les touches souvent, pour faire plaisir à Halgorya, il caresse lentement et doucement les oreilles, il a remarqué qu'elle serre les jambes, c'est une réaction normale pour la première fois, ce n'est pas toujours très évident, mais il pense qu'au fur et à mesure qu'ils feront, elle sera peut être moins gênée et pourra mieux s'exprimée aussi, il la caresse encore les oreilles et lui dit alors.

Kyosuké: Toi aussi, tu peux ma caressé ou tu veux, ne te gêne surtout pas, tant que tu me griffes pas là j'ai le plus besoin aussi, tu es libre de touché et de caressé ce que tu veux.
Je sais que c'est pas facile au début, mais ne t'inquiète pas, ca passera très bien, tu peux me faire confiance.

Le prof lui fait un petit sourire de confiance, elle sait qu'elle peut avoir confiance en lui, mais peut être qu'elle est encore fort impressionnée ou fort intimidée par le sexe du professeur, mais elle sait qu'un jour, elle devrait faire face.

Il caresses ses oreilles, elle n'a pas sa réaction de peur ni de douleur, il est doux aussi donc ça va, c'est même agréable, elle ne l'aurait jamais pensé. Elle se sent plus apaisée à ce contact même si elle reste nerveuse, tout en continuant de caresser ses oreilles il lui dit qu'elle peut faire de même, bien sûr sans le griffer aux endroits dont il a besoin. Elle va essayé mais elle ne sait pas quelles réactions elle va avoir. Il lui dit ensuite qu'elle peut avoir confiance en lui, elle le sait bien, elle aimerait être moins nerveuse face à lui pour bien lui montrer qu'elle a confiance mais elle a du mal à le faire. Ca va sûrement se calmer d'ici peu. Elle dit:

-D'accords....je vais essayer...si...si je fais...trop de bruits...dis-le-moi...je veux pas te faire mal aux oreilles...

A chacun de ses mots sa timidité augmente, faut dire aussi qu'elle n'a jamais eu à les prononcer ces mots. Pour l'instant elle ne sait pas quoi faire, le toucher? Le caresser? Elle ne sait pas, elle se dit que ça viendra de lui-même, que lorsqu'elle se sentira prête elle le fera sans même s'en rendre compte.

Ecoutant ce que dit Halgorya, elle est encore fort gênée, décidément, c'est bien comme ça les première de toute les filles, et aussi des garçons parfois, il ne peut pas en vouloir à Halgorya, car c'est bien la première fois et comme elle est de nature très timide, c'est très difficile pour elle de surmontée sa timiditée et aussi sa forte gêne, il a remarqué qu'elle est très vite gênée, c'est pas très évident pour elle et pour lui, donc tout en caressant ses oreilles, il déboutonne petit à petit la chemise de nuit qu'elle porte sur elle, mais pas trop rapidement, il sait qu'elle sera fort gênée, mais dans une relation, ca doit arrivé, le prof descend alors doucement la main qui caressait les oreilles et lui caresse alors tendrement et gentiment la joue, en douceur et dit alors.

Kyosuké: Ne t'inquiète pas, tu peux me toucher ou me caressé ou tu veux, même mes cheveux ou mes oreilles si tu veux commencer au début, prend tout ton temps, ce n'est pas une course contre la montre, prend ton temps, et si jamais tu veux qu'on arrête, on arrêtera là alors, je ne veux absolument pas te forcée si tu n'as pas envie.

On ne sais jamais, elle a peut être pas envie de le faire, elle n'est peut être pas prête intérieurement ou alors il pense qu'il la force, et il se sentirai pas très bien s'il pense qu'il la forcerai.

Elle le sent déboutonner sa chemise, très lentement, sans doute pour ne pas la brusquer, il est vraiment doux avec elle. Elle regarde le prof dans les yeux, son regard s'adoucit, elle se sent moins nerveuse à l'idée de le faire avec lui. Elle le connait, elle sait qu'il ne la forcerait jamais, elle sait aussi que c'est pas un coup d'un soir, il n'est pas comme ça. De nouveau il caresse sa joue en continuant de déboutonner sa chemise. Il lui dit de ne pas s'inquiéter, qu'elle peut le toucher où elle veut, qu'elle prenne son temps et que si elle veut arrêter elle le dise. Il lui dit qu'il ne veut pas la forcer, elle ne se force pas, elle dit:

-Merci...je me...je me force pas...

Elle rougit en le disant mais elle ne veut pas qu'il croit qu'elle se force. Doucement elle pose sa petite main sur la joue du prof pour lui prouver qu'elle ne se force pas.

Il finit de déboutonner sa chemise, ses formes visibles pour lui, elle en rougit ne quittant pas du regard les yeux du prof. Elle se laisse embrasser par le jeune usagi et sent son coeur battre de plus en plus vite. Il est tendre et elle apprécie son baisers, c'est son premier faut dire mais elle n'en est pas déçu et timidement elle l'accompagne dans son baiser, elle ferme les yeux. Elle sent la main de Kyosuké passe de sa joue à son ventre en passant entre sa poitrine, il la caresse doucement. Elle passe ses mains dans son dos timidement et lentement. Ses mains tremblent un peu mais ne se retirent pas du dos de l'usagi. Elle est moins stressée grâce à la tendresse de Kyosuké.

Le jeune Usagi ressent les mains de la jeune néko qui passe derrière son dos, lentement, il sent que les mains d'Halgorya sont tremblante, un peu mais il le sent assez bien, il le sent bien ses mains, elles sont douce et soyeuse, un peu comme toutes les femmes, elle semble aussi moins stressée qu'avant, le prof la porte quelque seconde pour l'allongée sur le lit, il se met sur elle, sans pour autant y mettre tous son poid, sinon la pauvre néko se retrouverai totalement écrasée sous son poid qui n'est pas très gros, mais qui se sent quand même, il espère juste qu'elle ne se sente pas trop écrasé, il retire alors sa chemise de nuit, et lui dit alors en la regardant droit dans les yeux.

Kyosuké: Si jamais je t'écrase, tu me le dit.
Ok j'ai pas envi que tu te retrouve applati par mon poid non plus, donc si jamais tu ressent la sensation d'être écrasée, tu me le dit.

Le jeune Usagi continue à l'embrassée tendrement et commence aussi à lui déposée des petits baisée sur le coup de la jeune Néko, en espérant qu'elle aime bien.

Elle le sent l'allonger sur le lit et se mettre sur elle, il retire ensuite sa chemise, bien sûr elle en rougit, la seule fois où elle l'a vu torse-nu c'était à la piscine, mais là la situation est différente. Elle remet ses mains dans son dos et sent sa peau, elle est chaude, c'est agréable. Il la regarde dans les yeux et lui dit que s'il l'écrase elle le lui dise, il ne veut pas l'écraser. Elle ne sent pas son poids, elle n'y fait pas attention. Mais s'il était vraiment lourd elle le sentirait. Il l'embrasse à nouveau puis donne des baisers dans son cou, ça lui donne des frissons et elle ne peut retenir un petit gémissement, elle y met vite fin étant trop gênée. Elle dit:

-Tu...m'écrases pas...c'est...agréable....au cou...

Elle cache son visage contre son épaule trop intimidée par ce qu'elle vient de dire, aimant ces sensations elle le serre doucement contre elle.

Elle le sent caresser sa poitrine, sa respiration s'accélère et devient plus forte, elle aime aussi cette sensation, il est doux et lui procure beaucoup de plaisir. En le sentant lécher son cou elle gémit de nouveau, elle se demande comment retenir ses gémissements qui la gêne terriblement mais elle n'arrive pas à se retenir, c'est sans doute normal. Son coeur s'emballe de plus en plus, elle ne peut pas s'empêcher d'ouvrir son cou en mettant sa tête un peu en arrière. Une des mains qui est dans le dos du prof vient se placer timidement sur sa tête. Elle a du mal à comprendre ce qui lui arrive, sa voix et son corps agissent d'eux-même et son esprit s'embrouille et refuse même de donner des ordres pour stopper ces gestes qui la font rougir.

Elle le sent mordiller son oreille en usant de ses lèvres et de sa langue, déjà que ses oreilles n'avaient jamais été caressées, elles n'avaient jamais été traité ainsi. Elle apprécie beaucoup cette sensation. Elle le sent aussi pincer doucement ses tétons juste assez pour les faire durcir, elle en gémit, décidément elle ressent des sensations qu'elle n'avait jamais ressentie. Intérieurement elle aimerait libérer sa voix et ses gémissements mais elle est trop timide pour le faire et on entend bien qu'elle se retient. Cela dit chaque geste du prof semblent la pousser vers ce qu'elle veut vraiment et elle a vraiment du mal à se retenir. Doucement sa main commence à caresser une oreille du prof, elle est douce et elle ne peut pas se retenir de la caresser et en rougit affreusement, elle se demande comment il va réagir.

Le jeune Usagi sait qu'Halgorya retient du mieux qu'elle peut pour ne pas trop gémir, car il sait qu'elle aime bien, mais elle ne veut pas être trop gênée, il sait qu'elle a encore beaucoup de sensation à connaître, mais elle apprendra au fur et à mesure, tout connaître d'un coup, c'est impossible, il ressent alors que la jeune femme lui caresse les oreilles, ca plait beaucoup au professeur qu'elle peut entendre la respiration du prof augmenté, il a des oreilles sensibles et il apprécie ça, il adore les caresses que fait Halgorya et lui dit alors.

Kyosuké: Tes mains... sur mes oreilles, c'est bon... tu les caresses doucement c'est si bon...
J'adore ça...

Le prof continue alors de caressé la poitrine tout en l'embrassant la jeune néko, il ne sait pas s'il doit faire avec la langue ou non, il teste un coup pour voir.

Elle entend sa respiration augmenter, est-ce qu'elle lui donnerait du plaisir? C'est ce qu'elle se demande, elle n'est pas expérimentée dans ce domaine, du coup elle a du mal à croire qu'elle peut lui en donner. Elle se voit donner la réponse à sa question quand il lui dit qu'il adore cette sensation, elle est contente qu'il aime, elle ne voulait pas le laisser sans plaisir ça n'aurait pas été juste pour lui! Elle dit:

-Alors...je...je continuerais...si tu aimes...

Elle place sa seconde main sur son autre oreille et les caresse désormais toutes les deux espérant lui donner du plaisir. Lorsqu'il l'embrasse elle sent qu'il utilise sa langue, encore quelque chose de nouveau, nouveau mais pas désagréable. Elle l'accompagne comme elle peut dans son baiser, elle ne sait pas si elle s'y prend bien.

Elle le voit descendre sa tête vers sa poitrine et la lécher et caresser, elle en ressent beaucoup de plaisir et elle sent qu'elle se détend un peu plus face à ses caresses. Elle est moins tendue et de ce fait son corps sent davantage les effets des actes du jeune homme. Le souffle de la jeune serveuse devient plus chaud ainsi que son corps. Comme sa tête est sur sa poitrine les oreilles de l'usagi se trouve près du visage de la jeune femme, elle se met doucement à les embrasser, elle espère juste que les gémissements timides sortant de sa bouche ne font pas mal à Kyosuké, elle s'en voudrait. Avec ce qu'elle ressent elle en oublie complètement l'orage dehors.

La jeune serveuse se met à embrassé les oreilles du professeur, il adore ça, il respire de plus en plus vite, elle sait bien embrassée les oreilles du l'usage, même si ce n'est que la première en plus, elle se débrouille pas trop mal, en plus les gémissement qu'elle fait, augmente la libido du jeune Usagi, c'est à peine s'il avait mal, tout en continuant à lécher et embrassé la poitrine de la jeune néko, il retire lentement la chemise, mais pour plus de facilitée, il se relève un s'assois et commence alors porté la jeune néko sur lui, elle est a quasiment la même taille que le prof, elle se retrouve sur ses jambes, mais le sexe du professeur ne le touche même pas, mais Halgorya peu le voir, même s'il est caché dans le pantalon de nuit, il retire alors la chemise de la jeune néko et lui dit alors.

Kyosuké: J"espère que ca te gêne pas trop, ca donne certaine facilitée à faire quelque truc, comme retiré la chemise de nuit sans trop de difficultée.
Si ca te gêne, on se remet à la même position que tout à l'heure.

Le prof tiens solidement la jeune femme, histoire qu'elle ne tombe pas, et qu'elle à la même hauteur que le prof.

Apparemment il aime ses baisers sur ses oreilles, elle a vraiment du mal à croire qu'il aime, elle ne l'a pourtant jamais fait. Il se relève et l'assoit sur elle pour mieux retirer sa chemise, vu le plaisir qu'elle ressent elle n'a pas froid. Mise comme ça elle fait la même taille que lui, au moins elle n'a pas à lever la tête pour le regarder. Elle a les jambes encore un peu serrées mais elle ne veut pas lui mettre ses genoux entre les jambes, ça pourrait lui faire mal, elle se met de sorte à ce que ça n'arrive pas et écarte légèrement les jambes, ça la rend nerveuse mais en même temps elle se sent plus à l'aise comme ça. Elle peut voir la bosse que fait le membre de Kyosuké, elle détourne vite le regard et préfère regarder les yeux du jeune homme. Cela dit elle remarque qu'il a fait attention à ce que son membre ne la touche pas. Il lui dit pourquoi il se met comme ça et que si ça le gêne elle le lui dise et qu'ils se remettront comme avant. Elle dit:

-Ca...me gêne pas...

Timidement elle dépose ses lèvres sur celles de l'usagi et met doucement ses mains sur ses épaules.