Le bruit du réveil résonna dans la mémoire de la jeune fille encore endormie. Tournant la tête vers celui-ci, elle constata qu’il était déjà sept heure. S’étirant longuement dans ses draps, la jeune femme finit quand même part sortir de son lit. Se dirigeant vers sa cuisine, elle prit un bol de chocolat qu’elle alla boire devant sa fenêtre.

Le temps en lui-même était radieux. Le ciel était de couleur bleu cyan, les nuages, blanc comme la neige. Une bonne humeur l’envahie alors. Contrairement aux autres, Opaline aimais étudier tout ce qui avait en rapport avec la langue française. Mais la philosophie était sans doute l’une de ses matières favorites. Après avoir tranquillement terminée son petit déjeuné, elle alla s’habiller et s’empressa de sortir de chez elle. Une fois dehors, elle fut ravie d’entendre les oiseaux chanter. Les imitant, elle se dirigea tout en chantonnant d’un pas tranquille dans le hall de l’école. Saluant certains qui passaient près d’elle, la jeune fille longea les couloirs de l’établissements pour se diriger vers sa salle de cour qui allait bientôt débuter. En bonne élève, elle prit soin de se placer au premier rang. Lorsque les professeur entra à son tour, il ne jeta pas un seul regard à ses élèves. Plongeant directement son nez dans la liste d’appel. Attendant qu’on prononce son nom, elle sortit ses livres pour patienter. Regardant autour d’elle, elle remarqua que de nombreux élèves avaient déjà commencé à mettre la classe sans dessus dessous. Soupirant, elle engouffra sa tête dans ses mains attendant que cela se calme. Cela n'était pourant pas la première fois qu'elle était dans une classe bruyante hélas. Mécontente, elle grogna dans sa barbe.

Content de sa première nuit dans sa nouvelle maison,Halmed se réveilla de bonne humeur à la sonnerie de son réveil,malgré qu'il n'était que 6H30.

Il se leva et déjeuna rapidement.Une fois son déjeuner avaler,il alla prendre son uniforme des aquae toujours emballé et le déballa pour l'enfiler.
Une fois son uniforme enfilé,il s'admira dans le miroir et souria content de voir que son uniforme lui allait bien.

Il sortit de chez lui et souria de nouveau en voyant le temps qui était magnifique.Le soleil brillait dans le ciel, entouré de splendide nuage .Il ferma sa porte et se mit en route pour l'école.il marchait à son aise,profitant du beau temps mais arriva à temps à l'école.

Halmed soupira en voyant qu'il commençait par philosophie . après avoir pris ses renseignement sur la direction à prendre,il arriva en classe et s'installa le plus prés possible du banc du professeur pour mieux le connaitre.

Quand Halmed vit le professeur entrer,il soupira voyant que celui-ci n'adressa pas le moindre regard à ses élèves et fonça faire les présence. Après avoir été appelé,Halmed sortit ses livres et croisa ses bras pour déposer sa tête dessus en attendant le début cours,malgré le bruit que fessait les autres élèves.

ps:si je dois rajouter ou changer un truc,n'hésite pas à m'envoyer un mp

Après une minute à avoir regardé ses copies, le professeur daigna enfin relever le nez. Le grand chahut cessa alors d’un coup petit à petit. L’homme afficha un petit sourire de satisfaction que la jeune fille ne comprit pas lorsqu‘elle releva la tête. D’ailleurs, elle n’avait jamais saisit les sourires venant d’un adulte qu’on ne connaissait pas. Se levant de sa chaise, il s’avança vers son grand tableau noir toujours en ne prononçant aucun mot, puis il dévisagea un par uns les nouveaux étudiant qu’il avait en face de lui. La jeune fille put d’ailleurs lire une expression de détermination dans son regard. Comme quelqu’un qui serait prêt à tout pour enseigner sa matière.

- Bien ! Bonjour à tous ! Je pense inutile de devoir vous dire mon nom puisque vous ne m’appellerez que par monsieur. Pour faire cour parce que je crois que nous avons assez perdu de temps, je serais donc votre professeur de Philosophie. Et croyez le ou non, je ne tolèrerais pas un chahut comme celui que vous venez de me faire. Me suis-je bien fait comprendre ????

Un grand hochement de tête général de la par de tous confirma ce qui venait d’être dit. Après quoi, il entama son cour en présentant le programme de l’année qui dura pas mal de minute. Puis il commença son cour en demandant à chacun de trouver une phrase philosophique célèbre dans un des livres que chacun devait avoir. Se creusant la tête, la jeune fille se rendit très rapidement compte qu’elle avait oublié ce fameux ouvrage. Cela commençait donc très fort pour un début de cour. Depuis toute petite, elle avait la fâcheuse habitude d’oublier certaines choses dont elle avait besoin. Après avoir fouillée quelques minutes dans don sac, elle se résolut à devoir demander si quelqu’un accepterait sa compagnie. Ce qui n’était pas choses facile lorsqu’on ne connait personne et qu’en plus la timidité est notre plus grand défaut. Tournant la tête vers la droite, elle remarqua un jeune homme se trouvant à quelques mètres d’elle, le nez dans son livre. Hésitante, elle du se reprendre à deux fois. Accepterait-il de partager son livre ? Elle se maudit encore une fois de l’avoir oubliée chez elle. Très discrètement, elle appela le jeune inconnu toujours d’un air anxieuse :

- Excuse-moi !!! Pardonne moi de te déranger, mais serait-il possible que je m’installa à côté de toi pour aujourd’hui ? J e suis tellement maladroite que j’ai maladroitement fait mon sac pour oublier le livre que notre professeur nous a demandé de sortir.

Baissant la tête, elle attendit la réponse encore plus honteuse que jamais. Surtout que cela n’était pas la première fois que cela lui arrivait.

Halmed Hackim surveillait du coin de l’œil le professeur et se releva que celui ci releva le nez de ses copies. Pour une raison qu'ignorai halmed,le professeur souriait de manière satisfaites. Il s'approcha du tableau en silence avant de se retourner vers ses nouveaux élèves pour les observer.
Après les avoir observer,il leur expliqua :

-Bien ! Bonjour à tous ! Je pense inutile de devoir vous dire mon nom puisque vous ne m’appellerez que par monsieur. Pour faire court et parce que je crois que nous avons assez perdu de temps, je serais donc votre professeur de Philosophie. Et croyez le ou non, je ne tolérerais pas un chahut comme celui que vous venez de me faire. Me suis-je bien fait comprendre ????

halmed hocha la tête pour dire qu'il avait compris et commença à écouter le programme de l'année et dû se retenir tant il était endormant et long. Une fois fini,le cours commençât enfin et le professeur donna la première consigne :

-bon,je voudrai que vous preniez vos livres et recherchiez une phrase philosophique célèbre .vous ne devriez pas avoir difficile vu le nombre de phrases se trouvant à l'intérieur.

Halmed prit son livre et commençât à rechercher une phrase mais se stoppa en entendant une personne l’appeler. Il se retourna vers elle et vit que c'était une jeune humaine qu'on sentait stressé .il lui répondit en souriant,voulant la rassurer :

-si tu veux,moi ça ne me dérange pas. Et puis, sans le livre,tu ne vas pas aller loin à mon avis

lui fait un clin d'oeil

Heureusement pour elle, le jeune homme se montra rassurant. Opaline put se détendre à moitié. Se levant discrètement, elle alla s’installer à côté du jeune homme en profitant du moment où le professeur avait le dos tourné. Il était dommage de se faire remarquer dés le premier jours. Ce qu’elle voulait à tout prit éviter, n’étant pas du genre à attirer l’attention sur sa personne.

- Merci d’accepter ma présence…… je t’en suis très reconnaissante !!!!! Sourit timidement la jeune fille. Je ne sais pas d’où je tiens le défaut d’être aussi dans la lune !!!! Cela m’arrive assez souvent !!!!! Il faudrait que je remédie à tout cela mais je ne sais pas comment.

S’asseyant correctement, elle se pencha au dessus du livre pour observer ce qu’il y avait de marqué. Elle avait beau apprécié la philosophie, là elle ne comprenait pas bien où le professeur voulait en venir . Certaines phrases ne lui parlaient pas du tout. Faisant la grimace, elle se retourna soudain vers son camarade de classe en souriant timidement :

- Je suis tellement étourdie que je n’ai même pas pris la peine de me suis présentée !!!!! Opaline Lawrence nouvelle élève de sixième année !!!!! Tu es nouveau toi aussi ???? Moi je suis arrivée il n’y à pas longtemps et ne connais pas encore grand monde. Même si j’ai déjà fait quelques connaissances….

Arrêtant soudain de parler, elle se rendu compte qu’elle n’avait pas laissée le temps au jeune homme de formuler une réponse à ses questions. Elle les avait d’ailleurs posées à la suite comme une furie. Rougissant, elle s’excusa à mis voix. Décidément, sa timidité lui faisait vraiment défaut. Au point qu’elle s’imaginait faire plus petite que son âge.

halmed surveillait le professeur ,qui leur faisait dos, du coin de l’œil et se retourna vers la fille quand celle ci s’essaya à ses cotés.

une fois assise,la fille le remercia et expliqua qu'elle était assez tête en l'air.la voyant se pencher au dessus du livre,il voulut la rassurer mais fut couper par la fille qui se présentât,ce qui le fit sourire.

quand la fille arrêtât de parler pour laisser halmed s'exprimer.il lâcha un petit rire

et bien,j'ai déjà vu des filles bavardes mais jamais autant que toi.alors déjà de rien ,je déteste laisser les gens dans le besoin,ce n'est pas mon style.mais c'est vrais qu'il faudrait trouver un moyen de remédier au fait que tu soit dans la lune,enfin moi je dis ça alors que je suis assez rêveur

halmed rit doucement et se tait un peu pour reprendre son souffle,il a lâcher tout ça en flot mais continue assez vite de peur de se faire couper par la fille

bon donc moi c'est halmed hackim,oui je suis nouveau et je suis certainement arrivée après toi car j'ai la mal chance de ne connaitre personne dans l'école.

il lâche un soupir et retourne chercher des phrases.dans des livres.il en voit plusieurs qu'il connait mais est surtout intéresser par deux,il les montre à opaline

on prend la quelle?
"ne pensez plus au passé mais ne l'oubliez jamais
regardez le présent maintenant et pas plus tard
ne pensez pas au futur sous peine de y vous perdre"
ou "ce que l'on sème dans une plaie avant qu'elle ne se ferme donne une fleur captive qui ne meure jamais"

La jeune fille marqua un temps d’hésitation. Sa timidité lui gâchait vraiment la vie. Pourtant, nombreuses furent les tentatives pour essayer de s’en débarrasser. Mais elle ne réussi hélas pas. D’ailleurs pas mal de signes montraient tout de suite qu’elle n’était pas très à l’aise avec les autres de part son passé. Se ressaisissant, elle se pencha sur le livre pour mieux observer les phrases lui faisant face. Le hasard avait décidé que toutes serait rattachées à sa personnalité. Regardant soudain par la fenêtre, elle laissa vagabonder sa pensée pendant quelques secondes à peine puis répondu :

- Mmmm !? Je ne sais pas vraiment laquelle choisir ! Si on devait procéder par élimination,…. Je choisirais…..

- Le temps passe vite vous savez mademoiselle Lawrence !!! Je vous suggérerais donc de ne pas trop trainer pour votre choix. D’autant plus qu’il est prévu une interro dans dirons nous deux mois sur toutes ces phrases.

La jeune femme fit la moue. Comment pouvait-il leurs coller une interro alors qu’ils n’avaient même pas commencer les cours ? Elle soupira. Regardant à nouveau les phrases proposées, elle se creusa la tête de plus belle. Ca c’était malin !!!!! Heureusement, elle choisit quelques minutes après. Se retournant vers son camarade, elle lui fit par de ses propositions, mais le professeur décida à ce moment précis pour passer et lui couper encore une fois la parole pour leurs suggérer une des phrases puis repartit.

Soupirant, elle feuilleta un peu le bouquin pour tenter de s’inspirer, puis son regard s’illumina soudain. Affichant un énième sourire, elle se tourna vers le jeune homme en espérant qu’il accepte sa proposition en espérant que cela soit possible et enfin que le jeune homme soit partant

- Sinon…. Il y a une phrase qui est pas mal qu’on pourrais prendre. Je crois qu’elle viens de René Descartes je crois. Avec cette phrases, on pourrais lier toutes les autres. Il s’agit de…..

- Oui très bonne phrase. Tellement bonne que nous allons l’étudier

halmed attendait la réponse de la jaune fille qui d'abord réfléchit à sa réponse puis alors qu'elle répondait fut couper par le professeur qui annonçât avec un plaisir mal dissimulé une interro,annonce qui fit grincer des dents à halmed.ils n'avaient encore rien vu mais une interro était déjà prévu.c'est vrais,halmed ne connaissait pas encore le professeur mais il craignait de ne pas l'apprécier.
halmed ramena son attention à sa voisine qui lui donnât sa réponse avant d'être de nouveau couper par le professeur qui leur proposa une des phrases.

halmed commençait être agacé par ce professeur.néanmoins ,il cacha son agacement et se tourna vers opaline qui lui dit:"
- Sinon…. Il y a une phrase qui est pas mal qu’on pourrais prendre. Je crois qu’elle viens de René Descartes je crois. Avec cette phrases, on pourrais lier toutes les autres. Il s’agit de…..

- Oui très bonne phrase. Tellement bonne que nous allons l’étudier

ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase et ce fut limite si halmed réussit à se taire.
il soupira
-j'adore le professeur,il est tellement généreux

halmed reportât son attention sur la phrase et l'étudia.malheureusement,il avait beau la lire dans tout les sens,il ne la comprenait pas.il souffla donc à sa voisine de manière à qu'elle soit la seul à entendre
-tu peux m'expliquer la phrase s'il te plait?
je n'arrive pas à la comprendre

halmed fit un sourire à peine voyant remarquant que le professeur n'avait rien entendu mais le perdit vite quand celui ci demanda à la classe
-j'ai remarquer que certain élève ne comprenait pas la phrase,quelqu'un pourrait leur expliquer ?

La jeune humaine compris instantanément que cette question lui était en quelque sorte destinée sans vraiment le montrer, puisque le professeur ne lui avait tournée le dos à ce moment là. Elle pesa alors le pour et le contre. Cette phrase l’avait toujours fascinée et très jeune elle s’était posée beaucoup de question sur sa signification jusqu‘à retourner tout les livres parlant de ce sujet. Tournant la tête, elle aperçu un sourire au coin des lèvre de son camarade de classe ce qui l’amusa.

- Alors ? Personne ne peut me dire la signification ? Je suis assez déçu !! Moi qui pensait que….. Oui ? Mademoiselle ?

Une jeune fille assise derrière les deux jeunes gens proposa sa propre théorie qui en firent rire certains. Ecoutant d’une oreille, Opaline analysa sa proposition. Contrairement à d’autres qui rigolaient parce qu’ils s’en foutaient et qu’ils n’y comprenaient rien, elle fut d’accord sur certain points en silence.

- Et bien merci mademoiselle pour votre explication. Quelqu’un d’autre aurait-il une argumentation intéressante à faire partager ?

Tremblante, elle ne bougea toujours pas. Pourtant, il fallait absolument qu’elle donne sa version des choses. Au bout de quelques seconde, elle craqua. Levant le doigt incertaine.

- Ah !!! Mademoiselle Lawrence !!!!! Je suis heureux de voir que vouliez donner votre avis sur cette… hmmm signification. Nous allons donc vous écouter avec attention.


Après cela, la jeune humaine sentie de nombreux yeux se poser sur elle. Surtout ceux de son camarade qui comme les autres attendait son explication.

- Et bien….. Tout d’abord, sachez tous que cette phrase était à la base une expression latine du philosophe René Descartes, grand philosophe né le 31 mars 1596 à La Haye en Touraine, ville .
En quelques mots, si je veux vous dire cette phrase, je vous dirais simplement, cogito, ergo sum. Si vous me permettez de replonger dans ce qu’à dit mademoiselle, sachez qu’elle n’a pas tout à fait tord.

La jeune fille concernée afficha un sourire de reconnaissance qu’Opaline lui rendit

- Cette phrase n’aurait jamais vue le jour si son créateur n’avait pas douté de sa propre existence. En effet, il commence par douter de la fiabilité de ses sens. En effet, quand un objet est plus éloigné, il parait plus petit. Aussi, la forme d'un objet semble différer selon l'angle sous lequel on l'observe.

Tous la regardèrent incrédule ne comprenant pas . Mais continua.

- Ensuite, Descartes doute du monde matériel. En effet, les rêves paraissent parfois si réels qu'ont ne peut les discerner de la réalité. Ainsi, il est possible d'imaginer l'existence d'un génie malin qui se complairait à tromper notre oeil.
Puis, vient le temps où Descartes tente de douter de sa propre existence. Ses nombreuses tentatives pour douter de son existence échouent unes à unes. Il se trouve incapable de douter de son existence et est donc nécessairement CONTRAINT d'affirmer qu'il existe! En effet, même s'il y avait réellement un génie malin qui se complaisait à le tromper, il faudrait nécessairement qu'il existe pour que le génie le trompe. Le génie ne peut tromper quelque chose qui n'existe pas!

Après une heure d’explication, son discours arriva enfin à la conclusion final.

- D'où nait le cogito "je pense, donc je suis". En effet, la seule certitude que Descartes à acquis est celle de son existence. De plus, cette certitude, il l'atteint par le biais de sa pensée! La pensée lui a apporté la preuve de sa propre existence, il se définit donc par celle-ci, et non par son corps ou ses sens, qui sont physiques et qui sont, eux, sujets au doute! (on a vu qu'un génie pourrait très bien avoir créé de toute pièce le monde matériel). Ainsi, si je pense, c'est que j'existe, et si j'existe, c'est parce que je pense!

Une fois la question du professeur posé. il y eut un long moment de silence que le professeur coupât :

-Alors ? Personne ne peut me dire la signification ? Je suis assez déçu !! Moi qui pensait que….. Oui ? Mademoiselle ?

Une jeune fille se levât derrière halmed et donna sa théorie :

-alors pour moi,la phrase ''je pense donc je vis'' signifie que,si on ne pense pas,on ne vit pas mais on subit. mais quand on pense,alors on vit et on ne subit rien.

En l'entendant,halmed ne peut réprimer un petit rire qui s'arrêta rapidement .halmed venait de remarquer que ça pouvait coller.certe,alors beaucoup d'être vivant subissait avec son explication et que seul l'être humain vivait mais il devait y avoir une part de vérité.

Halmed ne remarquât le doigt lever d'opaline que lorsque le professeur l'interpella. halmed se tourna vers elle et l’écoutât

elle expliqua d'abord qui avait écrit l'origine de la phrase. Puis expliqua comment descarte était arriver à cette phrase. halmed l’écoutât attentivement et compris rapidement où elle voulait en venir. il écoutât néanmoins la conclusion d'opaline et hocha la tête ayant tout à fait compris la phrase.

Le professeur souria et dit à opaline

-c'était assez correct. très détailler et parfaitement clair mademoiselle lawrence. vous aviez fait des recherches à ce sujet ?

Il écoutât la réponse d'opaline puis se tourna vers la classe :
-j’espère que vous aviez noter,car il n'y a rien à ajouter au sujet de cette phrase.

halmed prit une feuille et nota ce qui avait été dit en gros. Il décidât néanmoins de reprendre d'autre info à propos de la phrase. il se tourna vers opaline:

-dis excuse moi,tu pourrais me réexpliquer une fois?enfin si ça ne te dérange pas,pour être sur d'avoir compris la signification.

Se retournant vers son camarade, elle afficha un large sourire d’amusement. Ce cours de philosophie allait tout compte fait être plus intéressant que ce qu’elle avait prévue. Rien ne lui avait dit qu’elle serait en mesure de répondre correctement.

Surtout que les choses avait été un peu confuses dans sa mémoire. Cela avait dû faire des années qu’elle n’avait pas pensée comme un philosophe. Regardant son cahier, elle songea dans ses pensées. Le professeur lui fit jurer qu’elle n’avait pas fait des recherches.
Mais la jeune fille confirma cela en jurant que tout ce qu’elle savait lui avait été transmit par sa mère ainsi que ses grand-mères lorsqu’elle avait eu seize ans.

C’est finalement son camarade de classe qui la tira de ses pensées, pour lui demander une signification plus clair sur la définition de cette fameuse phrase. Tournant la tête, la jeune fille plongea ses yeux dans celui du garçon prête à lui répondre mais pour la énième fois, le professeur en profita pour lui couper la parole :


- Mille excuse mademoiselle Lawrence ! Mais les explications que vous deviez faire à votre cher camarade ne pourrons se faire car nous allons si vous le voulez bien nous allons avancer dans le….. cours. Sourit-il de façon à faire peur à un rats. Quand à vous Monsieur Hachim, vos explication viendront plus tard .
siffla-t-il comme un serpent.

- Notre but n’est-il pas de raisonner sur le sujet en essayant de l’approfondir ? S’étonna la jeune fille

- Si c’est exacte. Mais pour cela, j’aimerais que nous parlions de ces autres phrases les plus célèbres.

La jeune demoiselle grimaça. Cet homme avait vraiment une personnalité assez spéciale. Voir très extravagante sur les bord. Les cours n’allaient pas êtres de tout repos avec lui.

halmed vit opaline se tourner vers lui prête à lui répondre mais le professeur ne peut s'empêcher de la couper pour soit disant avancer dans le cours.halmed se retint de le regarder méchamment quand il lui sortit que les explication qu'il espérait tant entendre serai pour plus tard.

il remercia néanmoins opaline:
-merci quand même pour les explications que tu allais me fournir

il lui sourit puis se retourna vers le professeur qui commençait à parler d'une phrase qui intéressa halmed :
-alors vous allez tous réfléchir à la possible signification de cette phrase ''Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans la vie se défaire de toutes les opinions qu'on a reçues, et reconstruire de nouveau tout le système de ses connaissances.''chacun pour vous avant de mettre nos idées sur la table

halmed commençât à réfléchir à la signification possible de la phrase. de nombreuse idées lui passait par la tête mais aucune ne lui semblait bonne.

Il soupira ne trouvant rien et grimaça quand le prof demanda :
-vous avez trouvez une signification?chacun ?
De nombreuses éléves répondirent par la négatif et le professeur regardant la classe entiére :
-bon dépéchez vous,je vous donne encore 5 minutes mais aprés c'est tout,fini ou pas !

Halmed continua de réfléchir puis trouva une signification plausible,et souriant,se couchat sur son banc,attend que les 5 minutes soit passé.

Alors vous allez tous réfléchir à la possible signification de cette phrase ''Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans la vie se défaire de toutes les opinions qu'on a reçues, et reconstruire de nouveau tout le système de ses connaissances.''chacun pour vous avant de mettre nos idées sur la table

La jeune fille écouta attentivement la phase que venait de dire le professeur. Pour elle la signification était clair. Seulement, cela ne serait sans doute pas le cas de tout le monde. D'ailleurs, le professeur ne laissait pas vraiment beaucoup de temps. Au bout d'à peine cinq minute, il demanda déjà si la plupart avait trouvé. Soupirant, la jeune fille écrivit les fonds de sa pensée puis attendis sagement que l'heure arrive. Enfin, au bout de dix minutes, la cloche annonça la fin du cours. D'un seul coup, tous les élèves se bousculèrent pour sortir de la classe.

Passez une bonne journée . Et n'oubliez pas de penser aux signifiactions. Il risque d'y avoir une interro dans dirons nous deux moi. Oui c'est loin mais elle ne sera pas aussi facile. D'ailleurs je pari que vous en aurez oublier la moitié

Il éclata de rire puis ferma la porte de sa classe. Soupirant un nouvelle fois, elle quitta la salle en trainant des pieds. Si elle avait sû que cela se passerait comme ça elle serait resté couchée.