Shayla est de taille moyenne, c’est cheveux d'un blanc immaculé son d'une longueur étonnante. Mince, élancée et sage, sont corps est fragile. La demoiselle a tendance à attraper toutes les maladies qui traînent, ainsi que de nombreuses blessures.
De ses lèvres fines et de sa dentition parfaite naisse un sourire enthousiaste et amical. Un proportionnel et bien placé nez aime renifler les odeurs des personnes qu'elle rencontre. Sa voix est douce et avenante, surtout lorsque de sa gorge s’élève un chant. Ses doigts sont agiles, contrairement au reste de son corps.
Shayla possède une mauvaise manie. Elle à tendance à ce promener pied nu, elle préfère que ses mignons petits pieds respirent à l’air libre. Et ainsi elle récoltera un peu plus de blessures.
Ses yeux d'un rouge sombre et son doux visage auront tendance à en attirer plus d'un. Contrairement à ce que l'on pourrait croire la jeune fille possède une forte poitrine qu'elle cache sous une pile de pull.
Maintenant, parlons de choses qu'elle n’apprécie guère, sur sa tête se dressent deux mignonnes petites oreilles de la même couleur que sa longue chevelure. Maintenant qu'elle n'est plus chez elle, elle s’obstine à les cacher sous un bonnet. Elle essaye de faire de même pour sa longue queue touffu, mais c'est plus difficile qu'il n'y parait, alors elle lâche c'est cheveux et réussi assez à la dissimuler. Ookami veux dire loup. Okami est le nom de la divinité du loup. Ainsi on pourrais prétendre que cette race en descend. Shayla en possède les même tatouages, sur tout le corps, des symboles racontant une histoire plus ancienne que la race elle-même.

Depuis ça plus tendre enfance on l'a éduqué en lui répétant encore et encore que les Hommes n'étaient présents que pour servir les races supérieurs. La seule chose qu'ils ont oublié de dire c'est que ces hommes, leur principaux serviteurs, les ont créé et qu'ils ne sont donc pas là depuis toujours. Ensuite ça famille possède une haine, sans fondement réel, pour les bâtards, c'est à dire une vie créée de deux être de race différente, Shayla les appelles les sang-mêlés, le terme utilisé communément, elle le trouve trop agressif.
Son physique, sa provenance, et son éducation laisse à croire que c'est une fille à papa qui a tout ce qu'elle souhaite, en regardant calmement et froidement les gens de haut. Pas du tout, Shayla est un loup.
Elle possède l'esprit de meute et serait prête à tout sacrifié pour ses proches. Rusée et maligne elle se démènera toujours pour faire sourire une personne. Sa connaissance du monde extérieure est limité à son pays, voir son jardin et elle donc facilement impressionnable. N'ayant jamais eu de relation amicale elle ne sais comment ce comporter avec les autres et a tendance à être un peu trop franche. Si son nom de famille ne vous dit rien alors vous n'en saurez rien, et si se nom vous dit grandement quelque chose alors vous en saurez encore moins. Si elle peu dissimuler sa nature de loup aux autres elle le fera (à l'aide de son bonnet ou de sa casquette et de ses longs cheveux), si elle n'est pas obligé de vous dire que c'est une louve, elle ne vous le dira pas. Elle parle très peu d'elle, pour cause elle possède un corps fragile et possédait un esprit dans se sens. Elle se persuade qu'elle est plus forte que n'importe qui, bien sûr au fond elle connait la vérité. Elle ne veux pas de la charité des gens et ne demandera de l'aide qu'en extrême urgence. Elle peut être aussi généreuse que froide, fragile et forte, sans peur, incroyablement curieuse, passionnée, émerveillée, empourprée, sérieuse... et plein d'autre adjectifs (que je vous laisse découvrir). Il n'y a que ses parents qui ont réussi à la tenir en laisse, mais cette période c'est terminé quand elle a prit l'avion pour venir ici. Un loup est sauvage, et un loup ne sachant contrôler ses instincts : encore plus.

Ne pas avoir eu d'ami durant 16 année à part son animal domestique, l'imaginez vous ? C'est difficile n'est-ce pas ? Comment Shayla peut-elle encore sourire après ça ?

Tout cela à commencé le premier jour du printemps. Dans une Grande Famille Australienne et aussi connu du monde extérieur. Une famille qui a participé à la libération de L'Océanie de l'emprise de l'homme, et réputé pour être de souche les plus pure qui soit, aucun bâtard n'a été et sera accepté. Depuis lors, les Thompson ont battit leur empire dans se pays aride qu'est l'Australie. Un bien mauvais pays pour des loups. C'est exactement l'avis de Shayla, aucun loup de devrait y vivre, il y fait trop chaud et l'ont n'y connait pas le froid.
Cette famille au coeur aussi sec que leur désert accueilli le premier jour du printemps, l'héritière, Shayla, ou plutôt Mademoiselle Thompson. Personne ne prononçait jamais son prénom, à croire qu'on lui avait donner juste pour faire bonne figure.
L'enfant fut traîné de force dans une vie qui ne pouvait être la sienne. Elle reçu une éducation des plus convenables, elle n'alla pas à l'école des professeur venait faire son cour chez elle. Dés qu'elle fut en age de parler, elle fut assailli d'heure de travaille, que se soit des devoirs, des leçons de piano (qu'elle commença à quatre ans), des leçons de dance, de coutures, de leçon sur les traditions de différents pays, leçon de maintient. Quand elle n'avait pas de cours, les personnes étant censé être ses parents la traînaient dans des soirées mondaines qui n'en finissait jamais. Jamais l'on remarqua, vraiment, la santé fragile de mademoiselle, pourtant faible elle tombait d'évanouissement dans ces soirées tellement longues. On ignorait ses aptitudes trop faible et on la faisait travailler deux fois plus pour combler ses lacunes. Comment peut-on appeler cela une vie ? Et pourtant Shayla s'obstinait à sourire, pour les autres, pour essayer leur montrer, que malgré tout, le monde est beau. Elle fit un travaille énorme sur elle pour ne plus fondre en larme en publique, elle enferma tout sentiment et émotion en elle.
On lui annonça à l'âge de ses 13 ans qu'on lui avait choisi depuis ça naissance un fiancé, parfait. Elle s'en réjoui, en surface en tout cas, parce qu'au fond ce n'était pas ça du tout.

14. 15. 16. Puis enfin 17 printemps. Elle ne s'était pas du tout préparée à l'annonce que ses géniteurs allaient lui faire. Elle avait pris place dans le salon pensant qu'elle allait rencontrer son fiancé destiné depuis un bon bout de temps, mais il en fut complètement autrement :
Le père pris la parole, le visage dure, le ton sévère :
" Nous devons parler chère enfant, votre mère et moi avons une chose à vous annoncer. Cela ne vous plaira surement pas, tel que nous vous connaissons, mais il en est ainsi. Vous êtes maintenant devenue une jeune femme très charmante et bien élevé par nos soins, vous devez maintenant accomplir se pourquoi vous exister.
Nous allons vous transférer dans une école créée dans le bute de maintenir une paix équitable entre nous, les autres races et les...les Hommes. Cette école se trouve sur la frontière Franco-Italienne, des pays influants en Europe. Faites du mieux que vous pouvez pour que notre famille s'en trouve glorifiée.
- Séchez vos larmes, et faite preuve de maturité, vous n'êtes plus un bambin."
Ma mère puis mon père se levèrent et quittèrent la pièce. Après Quelques minutes Shayla lança un vase contre la porte où ils étaient sortis, un grand sourire éclaira son visage tandis que sur ses joues continuaient de couler de grosse larme.
Enfin ! enfin je pars d'ici. Cher parents vous n'êtes que des êtres sans coeur et intelligence. Je ne pleure pas parce que je suis mécontente de partir, mais parce que finalement le sort aura eu pitié de moi et je peux enfin m'enfuir, vivre libre, et en plus avec votre permission. Vous m'avez voler, mon enfance, ma vie. Et je vais vous le faire regretter. Un autre vase fusa contre le mur. La demoiselle essuya l'eau salé de son visage et, pieds nu, se dirigea vers la porte en marchant dans les bouts de verres sans les sentir.
Elle fit ses valises et partit le soir même.

Ces goûts ? Mais c'est très simple, Shayla se passionne pour tout. Elle aime dessiner, laisser ses doigts courir sur le piano, observer les étoiles pendants des heures. Elle n'est pas très difficile non plus sur la nourriture bien qu'elle affectionne tout particulièrement la viande rouge, bien saignante. Tant dis que la musique elle ne dit pas non à une sonate qu'elle aura surement déjà écouté durant son enfance, mais si vous la surprenez avec un casque sur la tête et la queue frétillante se sera surement pas du classique, mais plutôt du rock, hard-rock ou métal. Une chose assez singulière qu'elle aime faire c'est fermer les yeux, choisir une odeur parmi celle qui flotte autour d'elle, prendre la meilleurs d'entre elle et la suivre jusqu'à rencontrer l'être qui la porte. Si vous la rencontrer seule dans les couloirs, ce n'est surement pas un hasard, c'est plutôt grâce à votre agréable odeur. Oh oui elle aime beaucoup de chose, et elle se passionne très vite pour ce qu'on lui fait découvrir, mais il y a certain chose qu'elle ne peut pas supporter, comme par exemple une personne trop parfumé (avec du parfum synthétique j'entend), un bon gros steak trop cui, ou encore un temps trop nuageux pour n'être qu'une grosse averse. Phobie est un mot qu'elle connait bien, car elle en possède deux, Bélénophobie ( Peur des aiguilles et des objets tranchants), Astraphobie (Peur du tonnerre.), des peurs relativement ridicule qu'elle n'assume d'ailleurs pas du tout.

Son futur, elle n'y avait jamais pensée avant cette soirée. Son futur était déjà tout tracé peu importe les études qu'elle désirait faire. Héritière de la famille Thompson. Mais voilà qu'elle partait pour la France ou l'Italie. Elle parle de nombreuse langue et ce n'est donc un problème pour elle. Ce qu'elle souhaite maintenant pour son future c'est voyager dans le monde entier par ses propres moyens. Et faire des études qui lui inspire vraiment confiance. A partir de maintenant son souhait le plus chère est de pourvoir enfin vire.

Shayla possède une maladie étrange qui atteint son cerveaux, sans récupération pour la longévité de sa vie. Durant certaine période elle peut ne ressentir aucune douleur, s'effondrer d'une terrible migraine, ou encore se retrouver dans un état critique parce que son cerveaux aura déclenché une maladie respiratoire. Mais rassurez-vous la plus part du temps elle ne sent aucune douleur, ni souffrance, juste une sensation glaciale sur sa peau, cela provoque néanmoins chez elle des crises de "sauvagerie"