C'était son premier jour d'école, elle rentrait en classe élémentaire et avait supplié ses parents d'aller en cour comme tout les autres enfants. Ce fut son premier et dernier jour. Lorsque la petite Shayla entra dans ça classe elle ressenti une chose que jamais elle n'avait ressenti en présence d'humain et que plus tard cela serait quotidien. La peur. Les enfants et leur sourirent moqueurs s'amusait à courir autour de la louve et l'obligeant toujours à être le chat, en l’occurrence le loup. N'ayant pas assez d'endurance, et une bonne santé, pour les poursuivre à longueur de temps elle s’arrêta et se mit à l'écart, mais les petits hommes n'avait pas fini de jouer. Ainsi durant toute cette journée d'enfer on lui tira les cheveux pour la tirer vers eux pour lui pincer les oreilles, où alors ils la poursuivaient des ciseaux à la main menaçant de lui couper sa longue queue touffu. Ce rêve étant sensé n'être qu'un souvenir se transforma en cauchemar. Shayla se vit comme elle était maintenant, les enfants ne grandirent pas mais des adultes vinrent s'ajouter à eux, toujours plus nombreux, des couteaux puis cisaille à la main. Elle courrait essoufflée, une migraine atroce lui sciait le crâne. Elle trébucha.

Shayla tomba du lit et se réveilla tremblante, de sa vu perçante elle fut rassurée de découvrir qu'elle n'avait réveillé personne dans la chambre. Silencieusement, elle se leva enfila un jean délavée de style usée accompagné d'un sweat shirt. Elle attrapa sa longue cape blanche à capuche et sorti discrètement. Elle renifla les alentours pour déceler la moindre odeur d'un surveillant et sorti une fois satisfaite.
Ce maintenant sur le mur pour ne point tombée, elle arriva enfin à la porte de sorti. Elle enfila rapidement ça cape et sorti.
Cette nuit l'orage fut violent, des éclaires parcourait le ciel, à qui ferais le plus de lumière et de bruit. La pluie, au bonheur de la demoiselle, était tout aussi violente que le tonnerre et très abondante. C'était exactement ce temps, avec un peu moins d'orage et plus de pluie, que l'australienne avait dans son pays lors des moussons.

Et rien de mieux qu'une pluie froide pour calmer une fièvre sévère. Durant quelque instant elle se senti comme épier, plusieurs fois elle se retourna, mais elle ne voyait personne la suivre, alors elle continuait son chemin vers les jardins. Elle trouva enfin un banc où s'asseoir et reprendre son souffle. La fièvre avait surement encore monté. Une nuit similaire dans son pays, une nuit où une migraine fiévreuse la tiraillait pareillement sa mère lassée de devoir lui rafraîchir le visage l'avait emmené en balade sous la pluie. Shayla ne se souvenait plus si cette technique avait été efficaces mais elle savait qu'elle avait une belle balade, une des seules fois où sa mère c'est vraiment comporté comme une maman.
Il n'était plus question de balade, assise sur le banc elle essaya de renifler l'aire, mais la pluie et la douleur la brouillait elle ne senti donc rien. Elle enleva sa capuche et leva le visage vers le ciel. La pluie froide ruisselait sur son visage calmement au moins c'est tremblement, bien qu'elle n'aime pas ses attributs de loup, jamais elle penserais se les couper, surtout en pensait qu'elle avait la phobie des objets tranchants. Ce mauvais rêve fut donc assez terrifiant pour elle.

Soudain, son oreille bougea elle avait entendu un bruit anormal, elle se leva subitement remit sa capuche et se cacha derrière un arbre tout près du banc. Avait-elle été repérée ou non ? Si oui, qui était-ce ?

Roland ne sortit pas cette journée. Il avait été accepté en tant que professeur et avait annoncé la bonne nouvelle à son ami. Celui-ci s'en était réjoui et avait discuté par mail avec Roland toutes la journée. Ils en parlèrent jusqu'à tard le soir et Roland n'entendit pas l'orage s'approcher. Il soupira, il relu le message de ton ami en grimaçant :
-"En tant que professeur,tu vas avoir des élèves humains mais aussi hybrides. Je te propose un marché,tu te fait un ami hybride et je te dit où je passerait mes prochaines vacances".
Ce que demandait son ami était impossible. Comment devenir avec ces monstre poilues humiliant sans états d’âmes tout les humains qu'ils voyaient. Il regardât son ordi qui,soudain s’éteignit. Il écarquilla les yeux et vit que tout ce qui était électrique s'était éteint. Il se levât ,prit une lampe de poche et coupât le disjoncteur de son appart. Il allât ensuite à la fenêtre et vit qu'un magnifique orage éclatait dehors. Il décidât de sortir un peu pour se calmer. Il enfila un vieux jeans pour ne pas en mouiller un beau,un t-shirt manche longue et un pull. Il allât prés de la porte,prit son porte feuille,ses clés qu'il fourra dans sa veste après avoir fermé la porte. Il mit sa capuche et sortit sous une forte pluie qui faisait un magnifique bruit en martelant le sol. Il marchât au départ sans but puis décidât de chercher des chemins discret et qui devrait être peu fréquenter vers the lost school. Il trouvât vite une ruelle et la suivit. Il continuât à marcher,cherchant des repères malgré l'obscurité et se perdant plusieurs fois.
Presque une heures plus tard,il atteignit les jardins qui entourait l'école et décidât de les visiter. Il repérât soudain un point blanc. Il s'en approchât discrètement et glissât dans une flaque s’égratignant le genou,son jeans maintenant déchirer. Il se relevât avec difficulté et marchât jusqu'à un arbre et regardât. De loin,il vit une jolie silhouette qui marchait. Il la suivit de yeux. Elle atteignit un banc et s'y essaya. Il grimpa à un arbre pour la voir de plus prés sans être vu. Il atteignit vite le sommet de l'arbre et écarquilla les yeux .C'était une okami. une belle et jolie okami ,qui comme lui,avait des cheveux blanc. Il décidât d'aller prés d'elle mais en descendant de son perchoir,glissât sur une branche mouiller et tombât dans un buisson .Il se relevât et vit l'okami,regarder autour d'elle,inquiète et sa capuche rabattu. Il remit sa propre capuche qui s'était bouger à cause de la chute et hésitât. Il voulait aller la voir,jolie comme elle était,et ça lui permettrait de réussir le paris lancer par son ami. Elle allait néanmoins se moquer de lui et peut être,l’utiliser. Il décidât de tenter le tout pour le tout et sortit de sa cachette et dit:
-Excumoi de tavrpeur je...

l se stoppa et tentât de se calmer,ne sachant pas parler. il sortit plus calmement,remarquant son air horrifier:
-Excusez moi de vous avoir effrayer charmante cré...demoiselle,ce n'était point mon attention. J'ai juste glisser dans une flaque d'eau

La tête lui tournait, elle était debout observant de tout côté pour savoir de qui venait se bruit. Elle se rendit compte tout a coup que la pluie faisait un bruit assourdissant, un bruit qui dissimula l'arrivé de l'inconnu. La louve se sentait chassée.
Shayla ne su même pas par où il arriva tellement elle fut effrayée de son apparition. Il bafouilla quelque chose d’inintelligible, lui aussi dissimulé sous sa capuche. Tandis qu'elle failli trébucher sur une racine en reculant lentement, il eu l'air de se reprendre quelque peu et sorti des paroles claires et distinctes.

-Excusez moi de vous avoir effrayer charmante cré...demoiselle,ce n'était point mon attention. J'ai juste glisser dans une flaque d'eau.

Il l'avait bel et bien effrayée pour tant. Elle ne voyait pas son visage, elle se méfia. Ses paroles ne firent pas diminuer sa peur. La pluie tombait toujours. C'était à son tour de bafouiller :

- Vous...Vous avez glisser ? Vous ne vous êtes pas...fais mal ?

Pourquoi s'inquiétait-elle pour une personne qui l'avait surprise ainsi ? Elle était comme ça et n'y pouvait rien. Appuyée contre un arbre elle était comme bloqué, comment fuir avec un arbre dans son dos et une fièvre qui vous fera tomber au moindre pas.

Shayla essaya de se ressaisir pour ne point paraître faible, mais le ton de sa voix la trahissait largement :

- Que faites vous ici ?

Elle était vraiment absurde, un coup elle s'inquiétait un autre elle essayait d'avoir l'air menaçante, sans y réussir. Qu'est-ce que le jeune homme ( elle l'avait déduis grâce à sa voix masculine) devant-elle allait penser d'elle ? Il ne fallait surtout pas qu'il se sente menacé car il était facile de se débarrasser d'elle par ce temps, et surtout à cette heure.
Une autre question lui vint à l'esprit, avait-il vu les attributs qui prouvait qu'elle n'était pas tout à fait humaine ?

La louve tritura ses mains brûlantes, pourquoi avait t-il fallut qu'elle sorte ? Pourquoi avait-il fallut qu'elle fasse se stupide rêve ? Et surtout, pourquoi était-elle née aussi faible ?

Roland observat la jeune fille.Celle-ci reculait et sans sa capuche,on aurait vu les sourcil de roland se lever de surprise.elle lui demandait si ça allait,embroullant encore plus Roland qui ne savait plus quoi penser.En effet,elle reculait d'abord comme effrayer,alors qu'il l'était surement plus qu'elle puisqu'elle allait se moquer d'elle aprés,voir le gifler pour le plaisir, et lui demandait si ça allait,ce qui était idiot puisqu'elle en avait surement rien à faire et qu'elle éspérait surement le voir disparaitre.Il tentat de se calmer et cherchat ce que voulait cette hybride avec ses actes contradictoire.Il décidat de jouer avec elle,comme elle jouait avec lui et il se préparat à lui répondre que tout allait bien quand elle lui demandat ce qu'il faisait là.Il soupirait doucement,et attendit pour être sur de ne pas de se faire interrompre.Quand il fut sur,il lui répondit:
-Oui,ça va trés bien,et vous charmantes demoiselle?Et je me promenait,comme vous apparement
Il allat s'appuyer,le dos contre un arbre et étendit sa jambes et discrétement observat son genou et grimaça.La plaie saignait assez bien malgré la pluie qui rinçait le sang et le bord de son jeans passait du bleu au mauve.Il prit un mouchoir et le plaçat sur son genoux,grimaçant,la pluie trempant le mouchoir sur le champ.Il relevat la tête et écoutit sa réponse.Une fois qu'elle eut répondu,Il raménat ses genoux vers lui se retenant de peu de se fermer sur lui même et demandat:
-Vous êtes une éléves de the lost school?
Il voulait réussir son paris,mais son instinct le poussait à partir à toutes allures,ne pouvant pas se défendre si l'hybride décidait de le frapper. Mais en tant que professeur,il devait avoir confiance en les hybrides et ,comme il avait,comme elle des cheveux blancs il pensat à retirer sa capuche pour se la mettre en confiance et se mettre lui en confiance.Il hésitat puis retira sa capuche,libérant ses cheveux blancs.Par bonheur et par chance,il ne s'en était pas arracher depuis quelques temps,ce qui faisait qu'il était tout là.

-Oui,ça va trés bien,et vous charmantes demoiselle?Et je me promenait,comme vous apparemment.

Il prit appuie sur un arbre, il saignait. Elle ne répondit rien à sa question. Elle observa le jean du jeune homme s'imbiber de son sang, tandis que l'odeur, malgré la pluie, parvint au narine de la jeune louve. Elle remarqua au ton de sa voix qu'il se forçait :

- Vous êtes une éléves de the lost school?

Elle s’apprêta à lui répondre lorsqu'il enleva sa capuche, avait-il trop chaud lui aussi ? Elle leva les yeux pour l'observer, dans cette obscurité on en voyait pas vraiment la couleur de ses yeux mais on pouvais deviner qu'ils étaient claires, bleu ou vert. Une chose qui l'a surpris est que cette homme, il n'avait aucun attribut d'autre race, avait les cheveux blancs, une chose très rare chez les humains. Elle tendis sa main, voulait toucher sa chevelure immaculée mais se retins et plaça sa main sur sa poitrine comme si elle avait fait une bêtise. Ce garçon devait être un peu plus âgée qu'elle, et elle se surpris à admirer son visage. Fallait-elle qu'elle enlève aussi sa capuche ? Il n'avait peut-être pas vu que c'était une Ookami alors pour l'instant elle la garderait. Sa voix douce et claire s'éleva enfin :

- Vous savez, vous n'êtes pas obliger de vous forcer. Je veux dire par là que si vous avez envie de continuez votre balade vous pouvez, même si se serait mieux pour vous de faire un détour à l'infirmerie. Elle posa une de ses mains sur son visage, la fièvre de baissait pas. Ça s'entend dans votre voix que vous vous forcer à me parler, mais je n'ai pas grande importance alors continuez votre chemin. Je suis bien une élève du pensionna, mais je ne me promenais pas, je suis venue ici dans un but précis. Vous avez l'air...de vous amuser avec moi, alors arrêtez s'il-vous plait, Elle fut franche, peut-être trop d'ailleurs, vous m'avez effrayée et je me méfie toujours de vous, même si vous avez un visage qu'on a envie de garder près de soit.

Elle se stoppa, fouilla dans ses poches puis tendis un mouchoir et reprit :

- Et puis filez à l'infirmerie, bien qu'il est tard elle est toujours ouverte, et vous avez besoin d'un pansement.

Shayla n'osa trop l'approcher, déjà qu'elle avait eu un peu de mal à s'exprimer alors en plus s'il fallait se rapprocher de lui pour donner son mouchoir, il fallait pas rêver non plus.

La pluie n'avait pas l'air de vouloir se calmer, contrairement à l'orage dont ses fréquences d'éclaires avaient diminué, en contre partie une brise fraîche se leva et fit volet la capuche de la louve.

Celle-ci surprise plaqua ses mains sur le haut de son crâne pour cacher ses oreilles de fourrure blanche, et s'il ne les avaient pas vu ? Que penserait-il s'il savait que c'était une bête sauvage, que c'était un monstre sanguinaire et cruelle ?

roland soupira et vit l'hybride s'approcher,tendant la main.il eut un réfléxe de recule ayant peur de se faire frapper.il savait qu'il aurait pas du tenter ce paris avec son ami,il n'avait de yeux que pour cette main qui allait surement descendre pour le frapper.Soudain elle retirat sa main et la mit contre sa poitrine,ce qui le rassurat un peu.Mais il ne comprit pas pourquoi elle l'avait pas frapper,il n'aurait pourtant pas oser se défendre.elle lui sortit soudain:

-Vous savez, vous n'êtes pas obliger de vous forcer. Je veux dire par là que si vous avez envie de continuez votre balade vous pouvez, même si se serait mieux pour vous de faire un détour à l'infirmerie Ça s'entend dans votre voix que vous vous forcer à me parler, mais je n'ai pas grande importance alors continuez votre chemin. Je suis bien une élève du pensionna, mais je ne me promenais pas, je suis venue ici dans un but précis. Vous avez l'air...de vous amuser avec moi, alors arrêtez s'il-vous plait,vous m'avez effrayée et je me méfie toujours de vous, même si vous avez un visage qu'on a envie de garder près de soit.

ses paroles avait été trés direct.elle prit un mouchoir et le tendit vers roland

-- Et puis filez à l'infirmerie, bien qu'il est tard elle est toujours ouverte, et vous avez besoin d'un pansement.

roland éclatat de rire et restat où il est,éxplosant de rage aprés s'être contenu:

-je suis prof de théatre moi,et pourtant je suis du genre à être trés peureux à cause de VOUS.tu peux pas t'imaginer comme j'ai envie de foutre le camp.aprés tout,tu veux me faire partir pour...

il se stoppa net et baissa la tête honteux.il sortit en hâte un mot:"désolé",ce genre d'attitude ne l'aiderai pas.il se calma puis se fermat sur le champ.il remit sa capuche et se mit la tête contre les genoux,son mouchoir toujours contre son genoux.recrovillé sur lui même,il se doutait qu'elle allait se moquer de lui,de sa faiblesse.lui ?professeur?il était trop faible,il aurait pas du écouter son ami.il était bien plus heureux avec.doucement il fermat les yeux et se mit à pleurer,regrettant d'être né faible et avec des cheveux blanc.regrettant sa vie,ses choix.doucement il passat sa main sous sa capuche et discrétement s'arrachat les cheveux un à un,ignorant la douleur,préférant écouter la pluie qui continuait à tomber avec violence,contrairement à l'orage qui se calmait .

Les mains de Shayla tombèrent de son crâne. Il éclatait de rire. Pourquoi ?! Qu'avait-elle dit de si drôle ? Ce moquait-il d'elle ?

Puis soudain une rage, dont elle ignorait le fondement, surgit du jeune homme devant-elle.

- Je suis prof de théatre moi,et pourtant je suis du genre à être trés peureux à cause de VOUS.tu peux pas t'imaginer comme j'ai envie de foutre le camp.aprés tout,tu veux me faire partir pour...

Ces mots, les mots de se professeur de Théâtre, la blessèrent au plus au point. Shayla ne vit pas sa réaction, elle n'entendit pas non plus le dernier mot. Quelque chose en elle venait de se rompre, sa migraine s'intensifia, elle tomba a genoux devant ce prof ressemblant plus à un enfant. Elle pleurait, tout comme lui, elle pleurait. Il savait, il savait ce qu'elle était et elle avait prévu sa réaction, il la prenait pour un monstre de la pire espèce. Alors que celle-ci n'avait rien fait ni demandé. Cela faisait vraiment mal.

Ses larmes salées se mêlait à la pluie, qui les trempait jusqu'aux os. Le son revenu, sa vue aussi, elle baissa alors son regard sanguin vers la personne qui lui avait planté des mots dans l'âme, telle une arme tranchante. C'était lui aussi un animal blessé, tous les deux, ils étaient similaires.

Shayla compris et un sourire d'une tristesse infinie mais aussi un sourire maternelle, comme jamais de sa vie elle n'en avait vu, apparu sur son beau visage. Ses larmes coulaient toujours, sa fièvre aurait fait bouillir un oeuf, mais elle resta là quelques instants à le regarder, sangloter.

Elle s'avança lentement vers lui et, surprise elle même par son geste, l'enlaça fermement, elle ne voulait pas que ce petite animal lui échappe. Sa voix plaine de sanglot chuchota à son oreille, son ton doux ne pouvait que le bercer :

- Je sais. Je sais tout maintenant. Ne t'inquiète pas je ne te ferais pas de mal, n'ai pas peur. Tu es comme un enfant qui vient de tomber sur le sol, tu t'es fait mal et blesse les personnes autour de toi sans t'en rendre compte, tandis que celle-ci ne comprennent pas ce qu'il t'arrive car tu ne leur dit rien. Mais moi je comprend, je suis tombée comme toi. Alors n'est pas peur s'il te plait. Car c'est normalement moi qui devrait être la plus effrayée.
Elle s'écarta lentement de lui enleva délicatement sa capuche, elle pris ensuite ses mains dans les siennes pour ne plus qu'il arrache ses cheveux. Elle déposa les mains du jeune prof de part et d'autre de lui et lui releva la tête d'un doigts, ensuite elle refit le même geste que tout à l'heure qu'elle n'avait osé. Elle posa une main sur sa tête attrapa une mèche de cheveux de l'animal blessé et la fit jouer entre ses doigts.
Ne te cache pas, ne cache pas cette belle chevelure immaculée. De son autre mains elle prit une longue mèche de ses cheveux et lui montra. Tu vois nous avons les mêmes, et que se soit pour un homme ou pour une Ook....une Ookami c'est très rare. Malgré ce que disent les traditions stupide de mon espèce, ce n'est pas une malédiction, au contraire, cela permet de voir le monde tel qui l'ai lorsque l'on est différent.

A ses mots elle se détacha de lui à contre coeur et s'écarta. Elle recula d'un ou deux pas avant que ses jambes lui cèdent. Elle tomba de nouveau a genoux, la boue souillant ses vêtements, une toux lui arrachant les poumons vint la troubler dans sa tristesse. Elle retira la main de sa bouche, et vit grâce à la lointaine lumière d'un lampadaire et en fut persuadé grâce à son odorat, que du sang maculait sa main. Elle s'empressa de mettre la main au sol, dans la terre imbibée d'eau. Sa seule pensée fut pour la personne devant-elle. Avait-elle réussi a lui transmettre ce qu'elle ressentait ?

Elle avait dépensé toute son énergie à essayer de lui montrer qu'elle comprenait et qu'elle aussi était cette animal blessée et elle n'allait pas tarder à flancher.

roland continua de pleurer,se lamentant toujours sur son sort.il continuait de s'arracher les cheveux et il pensait:
-{je me détestes,je me hait.moi le faible roland loumino.}
.soudain,s'en s'y attendre il sentit des bras d'une douceur incroyable l'entourer.il risquat un coup d'oeil et vit l'hybride l'enlacer et lui dire,avec un ton si doux et si gentil qu'il aurait cru entendre son ami:
- Je sais. Je sais tout maintenant. Ne t'inquiète pas je ne te ferais pas de mal, n'ai pas peur. Tu es comme un enfant qui vient de tomber sur le sol, tu t'es fait mal et blesse les personnes autour de toi sans t'en rendre compte, tandis que celle-ci ne comprennent pas ce qu'il t'arrive car tu ne leur dit rien. Mais moi je comprend, je suis tombée comme toi. Alors n'est pas peur s'il te plait. Car c'est normalement moi qui devrait être la plus effrayée.
doucement il sentit les bras se retirer.roland fut tenter de les réclamer mais doucement se rappellat que c'était un hybride et restat fermer.il sentit qu'on lui retirat sa capuche et qu'on retirat ses mains de ses cheveux pour les poser à coté de lui.on lui relevat la tête et il se laissat faire,presque à contre coeur la sentit passer une main dans ses cheveux pour jouer avec une méche puis lui dire:
-Ne te cache pas, ne cache pas cette belle chevelure immaculée.Tu vois nous avons les mêmes, et que se soit pour un homme ou pour une Ook....une Ookami c'est très rare. Malgré ce que disent les traditions stupide de mon espèce, ce n'est pas une malédiction, au contraire, cela permet de voir le monde tel qui l'ai lorsque l'on est différent.
pendant qu'elle parlait,elle lui tendit une de ses méches à elle et doucement il la caressat.ce contact doucement le calmat et lui rappellat de nombreux souvenirs de discution avec son ami.celui ci lui avait toujours dit que certain hybride était doux,gentil et même,humilié par les humains.jusqu'à là,il ne l'avait jamais cru,et maintenant,il doutait.il doutait de ses peurs.il vit l'hybride se relever et doucement s'éloigner et ses doutes s'évaporat.elle venait de l'humilier.elle s'apprétat surement à rejoindre ses amis,et à rire de lui,le pauvre prof qui était bien trop faible.soudain il entendit un bruit de chute.ailleur il n'avait pas vu l'hybride s'écrouler.il se levat et l'entendit tousser comme il croyait impossible.il s'en approchat doucement.doucement ce qu'il voyait changeat.ce n'était plus un hybride orgueilleux,se moquant d'autrui dés qu'il le voulait mais un animal malade fragile et surtout pouvant mourir,ce qu'il détestait.il courut et grimaça.son genou était plus amoché qu'il ne le croyait.doucement il l'atteignit et s'accroupit à coté d'elle:
-et,ça va?tu as quoi?
il n'attendit pas la réponse et la relevat,la portant presque et doucement,passat de roland peureux à roland professeur:
-peut importe,je t'emméne à l'infirmerie,je peux pas laisser une de mes éléves dans cet état.
il commençat à marcher,boitant à cause de son genou,vers l'infirmerie

Elle espérait, espérait de toute son âme que le jeune homme aille mieux. Ses efforts et espoirs ne furent pas vain. Shayla l'entendis s'approcher et s'inquiéter pour elle, les rôles s'étaient inversés. Elle voulu répondre ce qu'elle disait tout le temps dans ses moments là, et surtout ce qu'on lui avait appris à répondre: "Ce n'est rien" . Elle n'eu pas le temps de sortir quoi que se soit de sa gorge, il la souleva et l'aida à marcher en la soutenant, il la portait plus qu'autre chose d'ailleurs.

Elle sentait dans ses gestes, son regard, et sa voix qu'il allait mieux, qu'il n'avait plus peur. Shayla sentait enfin qu'il n'avait plus besoin d'elle, qu'il pouvait la soutenir et qu'elle pouvait se confier.

- Peut importe,je t'emméne à l'infirmerie,je peux pas laisser une de mes éléves dans cet état.

La louve malade écarquilla les yeux. L'in... L’infirmerie ? Elle essaya de se dégager, sans succès, elle abandonna vite car il fallait s'y résoudre.

- Ok pour l'infirmerie, mais a deux conditions : Tu n'en partira pas t'en que ton genoux n'ira pas mieux, et...et tu diras à l’infirmier de ne surtout pas me faire d'injection...Je déteste les aiguilles, et surtout, mon corps à fait de nombreux rejets.

Ce n'était pas tout à fait vrai, elle ne détestait pas les aiguilles, elle en avait la phobie ! Le reste, de nombreux rejet est un euphémisme, lorsqu'elle était petite les médecins ont eu énormément de mal à lui faire des vaccins sans que son corps ne réagisse excessivement.

Shayla était maintenant assez proche de lui pour sentir sont odeur :

- Une douce odeur de miel. C'est étrange comme odeur pour une personne comme toi. Mais elle me suffira pour te retrouver sans ton prénom.
Elle ne le laissa pas parler, elle se forçait à ne pas échapper à la réalité maintenant, alors elle parlait.
Elle repris sa métaphore :
- Je ne sais quand tu es tombé et si s'était de haut, mais il faut que tu saches pourquoi nous sommes un peu similaire, je suis "tombée" dés que je suis née, et depuis se jour je ne cesse de me rétamer encore et encore.

Elle toussa, essuya le sang sur sa cape, se laissa porter un peu plus et ferma les yeux pour continuer :
- Tout à l'heure, je ne me promenais pas, j'avais fait un mauvais rêve et je me suis empressée de sortir pour me rafraîchir, ce cauchemar est presque hebdomadaire et je ne parviens jamais à me rendormir durant les jours qui viennent, de peur qu'il ne revienne plus effrayant encore. Je ne sais pas comment tu as fais, mais tu es parvenue à me faire oublier se tracas, et je crois même, que je n'ais jamais autant parlé de ma vie.
Elle espérait l'avoir fait sourire avec cette dernière phrase. Shayla, toujours les yeux fermés, posa la tête sur son épaule et chuchota deux derniers mots avant de sombrer dans l'inconscience :

" Désolée, et merci.."

roland marchait le plus vite possible,tenant l'hybride,son bras sous son aisselle.aprés lui avoir dit qu'il l'emmenait à l'infirmerie.il la sentit se débattre.il eut le refléxe de resserrer sa prise et elle arrêtat de se débattre.elle lui sortit:

-- Ok pour l'infirmerie, mais a deux conditions : Tu n'en partira pas t'en que ton genoux n'ira pas mieux, et...et tu diras à l’infirmier de ne surtout pas me faire d'injection...Je déteste les aiguilles, et surtout, mon corps à fait de nombreux rejets.

roland hochat la tête et continuat de marcher en silence en cherchant à ne pas trop s'appuyer sur son genou blessé qui l'élançeait à chaque fois qu'il s'y appuyait.il l'entendit soudain l'hybride dire:

-- Une douce odeur de miel. C'est étrange comme odeur pour une personne comme toi. Mais elle me suffira pour te retrouver sans ton prénom.

il voulu parler mais elle l'interrompit et sortit:

- Je ne sais quand tu es tombé et si s'était de haut, mais il faut que tu saches pourquoi nous sommes un peu similaire, je suis "tombée" dés que je suis née, et depuis se jour je ne cesse de me rétamer encore et encore.

il l'entendit tousser et son inquiétude grandissante,il accélléra le pas,lachant des petits gémissement de douleur à cause de son genou qui devait saigner en grande quantité.il soupira.
soudain la pluie tombat avec plus de puissance et il grimaça.malgré sa veste il sentit ses vétement se remplirent d'eau.il entendit avec difficulté l'hybride dire un dernier truc.

- Tout à l'heure, je ne me promenais pas, j'avais fait un mauvais rêve et je me suis empressée de sortir pour me rafraîchir, ce cauchemar est presque hebdomadaire et je ne parviens jamais à me rendormir durant les jours qui viennent, de peur qu'il ne revienne plus effrayant encore. Je ne sais pas comment tu as fais, mais tu es parvenue à me faire oublier se tracas, et je crois même, que je n'ais jamais autant parlé de ma vie.

il ne peut s'empêcher de sourire et sentit soudain l'hybride s'affaisser.il la rattrapat et sentit son front.il retirat sa main,elle était bouillante.il le mit sur son dos avec brusquerie et commençat à courir à perdre haleine malgré,la pluie qui l'aveuglait,ses vétements qui s'alourdissait et son genou qui continuait de le faire souffrir.
aprés plusieurs minutes il atteignit enfin la porte et entrat pour se diriger vers l'infirmerie à toutes allures

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