Miauru marchait dans le parc de son nouveau établissement. Ce jour là, la pluie faisait rage, elle aimait bien marcher dans ce genre de condition. Miauru était vêtu d'un jean et d'un simple T.shirt blanc. La pluie abondante rendait son haut transparent et son soutient gorge apparaissait à travers de son modeste haut. Son pantalon devenait moulant alors qu'à la bas il ne l'était pas.
Trop perdu dans ses pensés pour se soucier de tout cela elle continua sa route. Ses cheveux tombaient en rafale sur son visage pensif...triste. Les mains dans les poches, les pieds béant, elle ne cherchait pas à aller quelque part..juste à réfléchir tranquille.
A un moment elle vit un arbre, un sol pleureur..d'un geste souple et délicat elle s'assit contre son tronc sous les branches rassurantes de l'arbre.
Petit à petit elle s'endormit, le visage serein, apaisé. Ses mèches de cheveux tombaient sur ses épaules sauf une qui traversait son visage en le coupant en deux. Pour une des rares fois où elle n'était pas une peste, que son visage ne montrait pas son indifférence vise à vis des autres. Pour une fois aussi elle ressemblait vraiment à une jeune fille de 14 ans et non à une adulte..
Elle aurait pu faire craquer n'importe quel malade, mouillé par la pluie, ses joues rosies, ses vêtements transparents et moulant à la fois..ses lèvres étaient légèrement entre ouverte et ses mains posé sur ses cuisses.
Au bout d'une heure de somnolence ses lèvres tremblaient tout comme son jolie petit corps frêle mais mûr. La pluie ruisselait le long de son visage, puis de son cou pour finir dans son jolie décolté. C'était dans ce genre d'état qu'on pouvait l'apprécier, son coté peste avait disparut de son visage, de son corps...Malgré le froid, l'inconfort, elle continuait de dormir paisiblement en tenant son jean entre ses fine mains.
A quelques moments elle poussa de petits soupirs de bien être. La chose qui la rendit plus mignonne fu le petit éternuement qu'elle eut. Ses joues rougissaient encore plus jusqu'au bout de son petit nez.

- Mmmmmmmh nyaaaaaa.....

Miauru se sentit secoué..doucement elle ouvrit les yeux qui à peine entre ouvert montraient déjà du mépris non voulu.
Son regard était vif et distant de quoi faire peur. Elle regarda le professeur qui venait de la réveiller. Quand elle vit dans qu'elle état il l'a voyait elle le poussa d'un revers de main en se cachant les poitrine avec son bras.
Elle détestait les hommes, enfin Miauru détestait tout en particulier les hommes.
La jeune fille dévisagea son professeur, en se disant qu'elle l'avait déjà vu. Puis elle se rendit compte que son pantalon était tout collant, elle soupira d'agacement et rougit fortement en se cachant derrière ses cheveux.
Tout doucement elle remarqua le parapluie du jeune homme.

- J'ai pas besoin d'aide!

Miauru se leva avec toujours le même regard méprisant rempli de haine. Avec un sourire provocant elle poussa le professeur une seconde fois pour le pousser de son passage.
Malgré les apparences, Miauru trouvait le professeur fort envoûtant, et assez gentil enfin pour l'instant, mais son caractère lui fit faire l'exacte contraire de ce qu'elle voulait. La collégienne marmonna des injures en regardant le l'arbre et le ciel.

- grrrrr

Miauru pensa à sa soeur et ne voulu pas se faire remarquer par un autre professeur. Sans dire un mot elle continua son chemin en suivant 'homme bizarre.
Malgré ça elle préférait être sous la pluie que sous le même parapluie que lui. Miauru avait horreur des hommes, et si un jour elle devait faire un truc pour eux se serait sous la force. Mais elle ne se laisserait pas faire, car plutôt mourir de honte que de servir les rêves obscènes des mâles.
Sous la question du professeur, elle pensa encore à sa soeur pour ne pas l'envoyer boulet.

- Je me nomme Miauru Nakama.

Miauru détourna le regard de lui en le posant sur ses jambes qui avançaient dans l'obscurité.

- Aaaaaatchoum !

La jeune fille rougit en posant ses mains sur son nez pour ne pas éternuer à nouveau. Elle priait pour que le professeur ne la voit pas rougir comme ça pour un rien. Son haut et son bas commençaient à être gênant pour marcher..si elle avait était seul elle les aurait retiré mais bon elle ne voulait pas se mettre dans une telle tenue en publique.

Miauru en avait marre des éternuements, elle prit le mouchoir du professeur en écoutant les gouttes tomber.

- Je rentre seul, j'habite pas ici et cela ne sert à rien que je me change alors que je peux le faire chez moi.

La jeune fille sourit fière d'elle d'avoir une excuse pour partir. Même si en pleine nuit enfin celle que le temps imposait, vêtu comme ça et par ce temps là elle allait se faire aborder. Miauru s'en fichait, car elle n'aimant pas sa situation actuel. Avec un long soupir, elle s'inclina devant le professeur avec un rictus, et le regarda ensuite en se redressant.
Le ciel était couvert de nuages noires et peu rassurant, tout ce que la jeune fille détestait. Elle aurait tout donné pour que sa soeur soit là avec elle pour la rassurer.
Au même moment le thonaire gronda se qui fit sur sauter la jeune collégienne. Miauru rougit tout de suite en commençant à partir de son côté le pas rapide, elle avait honte de ses faiblesses.
Bien sur, avec les condition et le stresse elle dérapa dans la boue en s'en mettant sur son haut...
Franchement comment ne pas être plus idiote après ça...
Miauru lâcha des insultes en se relevant péniblement.

- Sophie....

Voilà la seul chose qu'elle trouva à dire pour se remettre en état. Tout en rougissant elle fit mine de bien être, mais qui passait plutôt pour un visage de psychopathe...

Miauru le regarda et elle rougit en le laissant lui débarbouiller le visage. La collégienne n'aimait pas se montrer aussi fragile et faible devant les autres mais là elle ne voulait pas faire d'effort.

- D'accord, mais je pourrais prendre une douche?

Miauru pensait aux douches du gymnase ou celles de l'internat...mais bon peut être qu'elle n'avait pas le droit. Mais une chose était sûr elle ne pouvait pas rentrer chez elle dans cet état, couverte de boue... D'un coup la fille reprit son air sérieux en regardant son professeur.

- Je ne suis pas une de ses personnes qui ne se soucient pas de leur avenir et leur scolarité ! Oui je n'ai pas cour !

C'est en se relevant qu'elle lui dit ça avec le même regard de mépris.
Mais elle perdit rapidement ses airs de dominante quand un autre éclair tomba en raisonnant. Miauru sur sauta manquant de retomber dans la boue et elle s'accrocha à son professeur collant s'en le vouloir sa poitrine à son bras. Miauru tremblait de peur en essayant de le faire passer pour du froid mais en vain. Les joues de la jeune fille se colora de rouge pendant qu'elle cachait son visage contre le bras de son professeur de civisme. Elle avait honte et d'une voix supliante presque implorante elle lui dit:

- On..peut..y..iiii...aller? Si'il..vous plait !

Honteuse de sa faiblesse elle se montra toute petite devant lui pour ne pas qu'il la laisse seul là

Le professeur réfléchit un moment pour savoir ou trouver des douches que la jeune fille pourrait utiliser. Il y avait bien celles de l'internat, mais ils n'étaient pas tout prêt du bâtiment et il lui semblait que seuls les internes pouvaient les utiliser. En tout cas, à son époque, il n'y avait jamais vu d'externe. L'autre option semblait la plus viable, à savoir aller dans le hall de gym. Il y aurait certainement des cours en ce moment là, tout comme il n'y aurait personne, c'était à voir.

" - Bon, ben, pas le choix, allons au hall de gym pour voir si tu peux y prendre une douche."

Puis il eut l'éclaire qui zébra le ciel dans un fracas qui effraya la pauvre jeune fille. Cette dernière eut comme réflexe de se serrer contre le professeur, lui agrippant le bras. Emiru put constater que c'était une étudiante comme une autre avec son côté mignon, ça faisait presque MOE à faire fondre son cœur de pervers lubrique. Il esquissa un petit sourire amusé suivit d'un rire léger presque inaudible grâce au bruit des goutes qui tombaient violemment sur le sol.

Puis il s'abaissa pour ramasser son parapluie qu'il avait lâché pour tenter de les protéger du mieux qu'il put de l'averse et il se mit à marcher en se dirigeant vers le hall de gym. Entendant les supplications de la jeune fille et sentant sa détresse, le professeur d'éducation civique hâta sa marche, lui même n'aimait pas marcher sous une pluie aussi drue que celle là.

Hall de gym