Nom et prénom : Yakuma Saito
Ton âge : 19ans
Ton espèce : Il se dit humain et dira être humain, mais il est devenu neko.
Ton sexe : Masculin
Ton orientation sexuelle : Hétéro
Ta classe / poste : Septième année

Décris-toi physiquement...

Le physique de Saito est des plus banale, il est de taille moyenne ( 1m 85 ) avec une bonne condition physique. Ayant vécu dans la rue et s’étant très souvent battu les formes de son corps sont bien faite, il a une carrure exemplaire et des abdos bien visible quand il est torse nue, mais on peut aussi voir sur son torse différente cicatrice de coup de couteau reçu durant ses combats.
Ses jambes aussi son muscler à force de faire des poursuites durant les bastons de gang, celle-ci on prit l’habitude de courir vite et depuis le changement de son corps cela est encore plus facile pour lui.
Il n’a pas de vêtement précis il porta généralement du sombre dans les couleurs bleu ou noir, parfois un pull ou t-shirt rouge, le seul vêtement qui ne change pas est sa veste en cuir brun, qui a été faite sur mesure pour lui, cadeau offert par son gang.
Ses cheveux sont de couleur brun et ses yeux foncés, pour la coupe de cheveux elle change selon les jours et ses envies.
Par contre il porte toujours son premier couteau sur lui.

Décris-toi mentalement...

Son caractère est des plus étrange, mais le plus ennuyeux reste le fait que ses yeux son lié a son calme. Ainsi au plus il s’énerve au plus les chances que ses yeux changent de couleur et d’apparence pour devenir ceux d’un neko . Sa vision des nekos garçon n’est pas très facile à expliquer, mais dans les grand lignes on peut dire qu’ils les détestent, mais tant que ceux-ci reste calme et ne viennent pas le provoquer il s’en moqu. Hors si un neko le provoque il ne va pas se faire prier pour lui faire comprendre qu’il est le plus fort, il accuse au neko le faite qu’il soit devenu un hybride avec certain de leur trait physique qu’il cache au grand monde.

Il n’as pas de complexe au niveau des nekos filles et autres hybrides, tout en gardant une préférence pour les demoiselles chat .Vu son histoire il lui sera dur d’aimer vraiment une neko, une humaine ou une autre hybride, mais pas impossible, il a besoin de retrouver des éléments clé à toute personne tel que le rire, le bonheur, découvrir les joies de la vies, car mis a pars la rue et les coins lugubre il ne connaît pas grande chose.

Sinon il est de nature calme, il ne réagit pas sans réfléchir à la provocation cherchant la meilleur faille pour s’approcher de son adversaire et le blesser ou bien pour le détruire moralement, c’est un maître dans le maniement des couteaux et sans faire beaucoup de chose avec. Il a toujours son premier couteau sur étant habituer dans se maniement il sait aussi soigner des blessures de type tranchante. Il n’aime pas faire les tâches ménagères et encore moins cuisiner se qui reste sa faiblesse.

Quels sont tes goûts ?

Ces gouts ? Il ne les sait plus, depuis le changement qu’il tente tant bien que mal de cacher, il a peut constater que certaine chose qu’il aimait ni peut plus l’approcher a cause de l’odeur. Il ne sens pas mieux qu’avant non loin de là, son odorat est juste devenu plus sensible, ainsi certaine odeur forte le dérange et il a du mal a les supporter, mais dans l’ensemble il aime de tout sauf le poisson, ironique n’est-ce pas ? Pour ce qu’il n’aime pas…facile non ? Les nekos hommes et lui-même compte tenu de ce qu’il est devenu.

Parle-nous de tes ambitions...

Hélas Saito n’a plus trop d’ambition depuis qu’il a du fuir de chez lui, il ne pensait déjà pas pouvoir reprendre les cours, surtout a se niveau là, il n’était peut-être pas aussi bête qu’il le pensait. Enfin qu’importe pour le moment il veut juste passer inaperçu, réussir ses études et trouver un job, se faire oublier et vivre une vie tranquille ? Mouais…disons plutôt vivre sa vie, car il le sait bien que sa vie ne serra jamais vraiment tranquille depuis se jour fatidique. Bon…disons que comme ambitions il veut réussir a trouver un job, avoir son propre chez soit et faire ce qu’il veut.

D'autres détails à nous faire part ?

Aucun

~ Parlons de vous derrière l'écran maintenant...

Votre prénom et/ou pseudo : Guillaume
Votre âge : 23ans
Qui est le personnage de votre avatar : Dessin d’un desinateur
Comment êtes-vous arrivés parmi nous ? Par la fondatrice et Ruka (*A faillit dire une connerie xD*)
Que pensez-vous de The Lost School ? Des suggestions ?

Avez-vous lu le règlement ? Oui
Oui ? Dans ce cas, donnez-nous le code qui validera votre inscription : Ok! par Dalya

Raconte-moi ton histoire...

Cela fait déjà bien des années que tout à commencer ou plus changer. Maintenant quand j’y pense cette époque me parait si lointaine et si différente, bien que pour la différence c’est plutôt le cas et je ne peu le nié. Depuis cette époque les choses on évoluer dans une tournure que moi-même n’aurait peu imaginé même dans mes rêves, après tout qui arrive à s’imaginer devenir un monstre. Des fou me diriez vous, mais la folie n’était elle pas une forme de vérité déformer par la personne elle même. Cela reste une façon de pensée qui est différente selon chaque personne et n’en aucun rapport avec mon histoire. Même si j’aurais peut-être préférer devenir fou plutôt que de devenir se que je suis, un monstre…



Aussi loin que remonte ma mémoire j’ai toujours traîner dans les ruelles sombre dans se maudit pays. Marchant parmi tout les mendiants, les voyous et dealers de drogue qui on essayer je ne sais combien de foi de m’attirer dans leur piège infernal qu’est la drogue, et dont je n’ai jamais voulu mettre les pieds. Mais il est vrai que par après il m’arrivait d’acheter moins cher pour « service rendu » et revendre plus cher histoire de me faire de l’argent, oui mes parents qui m’on abandonner dans une maison seul car leur travaille à du les faire aller dans un autre pays, eux qui m’on juste laisser cette maison et de l’argent bloquer jusqu’à mes 18ans, eux que je détestais plus que tout et que je hais encore maintenant. Mais se ne sont que des détails de ma vie qui ne sont pas très importante, après tout mes yeux sombre on vue tant de gens se faire tabasser à sang et cela aussi loin que remonte ma mémoire…oui je sais je me répète, je vais donc continuer.

Depuis que je suis jeune j’ai vu du sang couler, des gens se faire agresser même des filles se faire violer, oui j’étais jeune à cette époque sûrement trop jeune pour voir cela, vu que depuis tout mes sentiments affectif se sont atténuer voir presque disparut. Cela à laisser place à un vide immense, entre l’absence de mes parents, le manque affectif et la quasi disparition de sentiment affectif, je du trouver quelque chose pour compléter se vide se manque. Les échos de la rue furent violent mais ure raison de moi mais même maintenant je ne le regrette pas, ceux-ci m’apportèrent conseils et réponses très vite je fis partis d’un gang et j’eu ma premier lame que j’ai toujours. Ma personnalité changea radicalement, le vide en moi se remplit de combat et de sang, d’agression et de vol, j’étais libre, j’étais…moi.

Malgré mon jeune âge a cette époque ils furent tous pour la plus part surpris quand il me vire manier le couteau et le jet a la perfection, se vide se remplissait et des nouvelles émotions apparurent. J’aimais me battre voir du sang couler cela me remplissait d’un sentiment de satisfaction énorme, j’étais le chef et on m’obéissait beaucoup de gang nous craignait me craignait. Je m’étais vite fais un nom « Le démons » on me surnomma ainsi et très vite notre gang gagna du territoire, nous nous battions contre des humains ou des nekos cela n’était pas d’importance, après tout eux qui se croyais supérieur aux humains de pars leur habilité de chat était vite surpris de nos habilité au combat. Ils n’étaient selon moi qu’une simple copie des humains raté qui se cherchait une place dans la rue, car dans la société j’étais forcer d’avouer qu’il était l’équivaut des humains, dans la rues nous étions supérieur mais dans la société nous étions égales.

Ma haine pour eux s’estompait dès que je sortais de mes combats comme pour toute autre personne, quand je me battais je ne voyais qu’une chose mes obstacles que je devais éliminer et rien d’autre. Ceux de mon gang s’appelait « ami » pour ma pars j’ai toujours évité de les voir comme tel, pour moi c’était de simple personne avec qui je me battais. Ainsi jamais je n’étais déstabiliser par une pseudo prise d’otage pour me faire basculer, et ses sentiments se renforcèrent au plus le temps passa. Ma maison était devenait notre lieux de résidence l’hiver, pour l’été nous trouvions toujours des endroits où dormir paisiblement et diminuer le risque de nous faire surprendre aux réveille. Vous savez, vous pouvez aller vous endormir un beau matin paisiblement et vous réveiller entourer par un autre gang, qui s’amuse a vous pisser dessus avant de vous torturer et au final vous tuer.

Un passée bien excitant c’est sur mais maintenant c’est fini tout cela pour moi, plus jamais je ne connaîtrais cela. Et se changement à eu lieu lors d’une nuit comme les autres, une nuit ou nous devions nous battre contre un autre gang. Le lieu de rendez vous avait été fixé ainsi que l’heure, par habitude j’arrivais toujours dix minutes en retard faisant un repérage pour être sur que personne n’espionne ou n’essaie de nous attaquer en traître. Cette nuit là, une nuit parmi tant d’autre je me dirigeai vers le point de rendez vous habituel, mais déjà quelque chose me semblait étrange je n’entendais rien. Par habitude avant une baston de gang nous crions à tu tête, chantant nous chanson de guerre si on peut dire mais la rien, le silence le plus total et le plus pure tel une nuit d’hiver ou les conflits se font plus rare. Sur le moment je me disais simplement qu’ils devaient déjà discuter du plans d’action de se soir, par où nous allions passer et si nous allions foncer dans le tas ou non. L’excitation de la baston commençait déjà à monter une excitation que je n’avais jamais eu, à croire que mon corps connaissait déjà la suite de l’histoire.

Quand j’arrivai au lieu de rendez vous mes yeux n’en revenait pas, tout le gang par terre allonger et immobile la plus pars saignait. Je ne comprenais pas ce qui avais bien peu se passer pourtant il n’y avait personne enfin c’est-ce que je pensais quand le bruit d’un corps qui tombe sur le sol attira mon attention, un homme se tenais dans l’ombre par reflex je sortis mon couteau et ne le lâcha plus des yeux. Je n’avais même pas eu besoin de lui demander de sortir de son coin pour qu’il le fit et se montra de lui-même, sa tenue était plus qu’étrange une chemise blanche et un pantalon normal on aurait dit un scientifique, pourtant un scientifique n’avais rien à faire à notre point de rendez-vous.

Les présentations furent courte car cette homme fonça rapidement sur moi, lame en mains je le combattis. Jusqu’à maintenant je n’avais eu tant de mal à toucher quelqu’un mes coups passèrent sans rien toucher, sa défense était vraiment incroyable ou plutôt sa vitesse l’était, sur le moment je là trouvais incroyable mais maintenant elle équivaut la mienne. Hors à cette époque là je n’en n’étais pas encore capable et je me défendis tant bien que mal de cet homme dont l’agilité et les habilités étaient surprenante mais je ne pouvais rien faire, mais je devais bien l’intriguer car il ne réussit pas à me mettre à terre aussi facilement que les autres. Un coup plus fort nous fit reculer et il entama une conversion dont je me souviendrais plus ou moins des paroles toute ma vie.

« Voila donc le fameux humain que l’on nome « Le démon ». »

« Aller vous faire foutre, qui êtes vous et pourquoi avez-vous fait ça à mon gang ! »

« C’est qu’il s’énerve le caniche, quoi ça un gang ? Ils n’ont même pas tenue dix secondes, par contre toi tu porte bien ton nom. »

« Fumier, je vais te casser la gueule pour ce que tu as fais ! »

« Tu va ta casser un croc le caniche, ton ère de terreur sur les nekos va prendre fin se soir avec toi. »

C’est vrai, depuis peu nous avions pris en chasse les nekos qu’il soit dans un gang ou non, cette race inférieur je n’étais plus capable de l’accepter tel quel au seins de notre société. Pour qui osait il donc se prendre nous les avez crée et maintenant il se croyait supérieur à nous, jamais nous étions contre cette idée et on leur faisait bien passer le message. Nous punissions tout les nekos qui croyais nous être supérieur pour qui se prenait il cette race que nous avons crée, mais petit à petit une haine envers eux prit place dans nos cœurs. Mais étrangement ce n’était pas une haine de destruction, ce n’est pas comme si nous allions frapper tout les nekos non…seulement ceux qui nous regardait de travers, ceux qui se croyait supérieur à nous ou qui osait nous défié. C’est ainsi que nous avions prit pour cible les gangs de nekos des environs et que nous avons été jusqu’à les blesser grièvement pour qu’ils comprennent bien la leçon, oui cette leçon ils sont bien du la comprendre en tout cas on les a plus jamais revu.

« Maudit partisan des nekos ! Cette race qui se croit supérieur à nous alors que nous l’avons crée ! »

J’avais à peine eu fini ma phrase que je m’étais retrouver plaquer contre à mur sa main autour de ma gorge, j’étais immobiliser. Quel dur déshonneur à porter de se faire battre ainsi par un seul homme et surtout être ainsi immobiliser, je le regardai avec un regarde de mépris et de dégoût, je haïssais cette homme même sans savoir qui il était réellement.

« Oh tu parle beaucoup, mais si tu pouvais savoir à quel point les femelles nekos sont douce et calme, elles sont tellement mieux comme femmes que les humaines ! D’ailleurs les autres femmes hybrides sont bien aussi. »

Je me souviens qu’il me frappa contre le mur a se moment là comme l’enfoiré qu’il est, mais je ne pouvais pas le lui avouer oh non, cela aurais été un signe de faiblesse venant de moi de lui avouer que c’était avec des nekos femelles que je l’avais fais. Je savais de quoi il parlait et c’était sûrement le seul point et nous étions d’accord, même si nos points de vu ne devaient pas être les même. Pourtant à cette époque j’étais très attiré par le charme qu’elle dégageait par leur beauté, et leur grâce de féline. Mais maintenant cela à bien changer depuis que j’ai changé, je ne vois pas juste leur forme et leur grâce non maintenant je vois aussi au delà de cela enfin je devrais plutôt dire que je le sens, prisonnier du même instinct que les autres hybrides.

A l’heure actuel cela ne me pose toujours aucun problème de le faire avec une neko, voir même avec une autre hybride, depuis se jour, depuis que j’ai changé tout est…différent. Aux yeux de tous je ne suis qu’un simple humain, mais la réalité est plus profond et compliquer, bien entendu personne ne le sait et personne ne doit le savoir, cela pourrait s’avérer dangereux pour moi, surtout si l’on me retrouve.

« Les…nekos…sont une…race…crée par…nous ! »

« Erreur les nekos on été crée par vous. »

« Un…neko ?! »

« Oh mon pauvre garçon, tu as quoi 17ans si j’ai bien vu tes information et tu ne sais toujours pas que les nekos on des oreilles et une queue ! Et moi j’en ai pas, par contre je vais changer mes plans pour toi, toi qui semble tant détester les nekos, je vais te faire partager leur vu, tu va avoir des yeux de neko ! »

Quand j’entendis ces mots je me dis d’abord « Non, c’est un cauchemar je vais me réveiller », mais hélas c’était bien la réaliser. Il avait tiré un seringue de sa poche, qu’il enfonça sans hésitation dans ma gorge et vida le produit qu’il y avait dedans avant de m’envoyer valser contre le sol. A partir de cette instant je ne serrais pas vraiment dire ce qui c’est passer, car une douleur intense m’envahit et mit fit hurler a la mort, mes deux mains contre mon visage pour essayer de calmer la douleur mais rien y faire je n’y arrivais pas et je sombra dans le noir. Je ne me souviens pas vraiment de la suite mais le rêve que je fis restera graver dans ma mémoire à jamais un cauchemar si étrange…

Sombre…ou plutôt…obscure…oui…ce n’était pas vraiment sombre mais plutôt obscure autour de moi, mes yeux ne parvenait pas à y voir clair. A cause de cela je me sentis mal, dans quel genre d’endroit je pouvais me trouver pour ne rien pouvoir y voir. J’essayai de faire un pas vers l’avant, rien, aucun obstacle ne gênait mes mouvements qui étaient libre. Gauche, droite je marchais sans m’arrêter ne ressentant aucune fatigue, mais un sentiment de vide très profond. Le temps passait comme la logique humaine le veut, pourtant les effets restèrent inexistant contre moi, ni fatigue, ni sommeil, ni même envie pressante. Mais où suis je donc tomber pour être ainsi insensible à la chose la plus élémentaire de toute, le temps.

Tout cela était tout simplement incompréhensible, même ma logique d’humain de la rue ne me permettait pas de comprendre ce qui se passait ici, dans ces lieux. Je remarquai que mes pas ne faisait pas de bruit, hors c’est une chose tout à fait impossible tout le monde le sait. Des pas font du bruit lorsque nous marchons avec une démarche normale, mais je n’entendis rien et pourtant je marchais toujours. Je levai me bras par colère d’incompréhension et d’un geste sec et rapide je le tendis devant moi comme si je frappais quelqu’un.

Mes pas s’arrêtèrent net, si dans cette obscurité quelqu’un pouvait y voir, alors cette personne pourrait voir sur mon visage une expression d’incompréhension. Je n’avais pas réussis à tendre complètement mon bras, une douleur bien qu’infime se fit ressentir au bout de mon poing, au bout de mes doigts, quelque chose l’avait arrêté net. Pourtant mes jambes faisait de grand mouvement dans une liberté la plus totale, alors pourquoi…pourquoi mon poing fut il arrêter et surtout par quoi. J’ouvris ma mains la mettant à plat contre quelque chose d’inidentifiable, mon autre main s’avança et resta aussi bloquer contre cette chose, on aurait dit que je venais d’être enfermer dans une boite.

Cette idée me fit tout de même frissonner pourtant c’est bien l’impression que cela donnait, doucement je fis un pas en avant, puis un autre, et encore un, pour finalement marcher comme si de rien n’étais. La situation aurait peu semblé normale, si mes mains n’étaient pas rester sur cette surface inconnue qui semblait suivre mes mouvements à la perfection.

Ce rêve étrange aurait peu continué longtemps, si une douleur atroce au niveau de mes yeux et de mes doigts ne me fit pas revenir à « la réaliser », je me redressai dans un cri de douleur. Je sentis des mains se plaquer contre moi et des voix de me dire de me calmer, des voix que je reconnu celle de mon gang, rapidement j’avais réussis a me calmer pourtant il faisait si noir…

OMG ! Un psycopathe !

//SBAAF//

Bienvenue =3

Bienvenue a toi , Tu fait désormais parti de la section des flammea .

Je valide ta fiche même si je t'avoue que je ne l'ais pas lut faute de courage , mais la réaction des autres membres mon suffit comme preuve . Bon rp et bon séjour a Lost School.

ET n'oublie pas que même les plus dangereux son observais ici.