20 ans

Humaine

femme

Hétéro

Fleuristes

Où je suis née ? Où j'ai vécu ? Cela n'est pas vraiment quelque chose d'important et c'est loin d'être des endroits réjouissant. Pour dire la vérité je me demande toujours par quel miracle je suis en vie. Née sur un champs de bataille, terre ensanglantée, jonchée de corps, empestant la mort. Terre foulée par deux clan, non plus exactement deux armées. Celle des créateurs contre celle des créations, humains contre hybrides. Cette terre toxique, aride,vide de toute vies avais était belle et verdoyantes et remplis de vies il y à cela des années. Du moins d'après ce que me racontait ma mère, histoire qu'elle avais elle même entendu de ses parents. Comme un rêve utopique que depuis des générations on transmettait pour continuer a faire bruler une flamme d’espoir, pour garder le souvenir d'une vie meilleure, un message d’espoirs pour les générations futurs qui n'aurais que des terre remplis de sang et de cendre pour héritage. Pour autant même à présent après vingt ans de vie, je ne crois toujours pas à cette vie meilleure.

Enfin pour revenir à mes origines, mon champ de bataille qui m'as servie de terre natale était une ancienne terre cultivée perdu dans la campagne française. Mes parents vivaient dans un petit village construis à un jour de ce champ. Ils vivaient tranquillement plus ou moins cachés par les bois pratiquement mort les entourant. La guerre fessais fureur, ils en étaient conscient cela grâce au explosion qui se fessais entendre au loin dans les plaines mais aussi par la terre pauvre et pratiquement incultivable qu'étais les leurs. Cependant ils n'y prêter pas plus d'attentions que ça, trop occupé à survivre en essayant de cultivé les terres de leurs ancêtres. Ces pour cette raisons futiles qu'ils refusaient de les quitter malgré leurs improductivité dus à la sècheresse et à la guerre. Paysans n'inspirant a rien d'autre qu'aux bonheurs de vivre de leurs produit et du travail de leurs mains voila ce qu'étaient mes parents et les personne du villages qu'aurais du être le mien. Voila ce qu'aurais aussi du être ma vie, paysannes innocente survivant entre les combats fessant rage. Mais cette innocence devais bien être perverti un jour.

Des soldats étaient venu dans ce village, ces soldats étaient venu chercher les hommes valide et en état de combattre, pour gonfler les rangs de l'armée humaine. Que les hommes le veuillent ou non, ils étaient entrainés de force dans cette guerre. Mon père refuser catégoriquement de laisser ma mère seule alors qu'elle était enceinte. Ils fuirent le village, se cachant une journée entière dans les bois espérant que le lendemain les soldats seraient partis. Sauf que quand ils retournèrent au village, les femmes, les anciens, les invalides, étaient atrocement tués. Le village en flammes, les soldats avaient appliqué "le grand ménage des opposants". Trop d'hommes c'était opposé à les rejoindre donc pour éviter une quelconque révoltes des femmes ou de leurs marmots ils avaient eu l'idée de les tuer. Seulement les hybrides les avaient aussi devancé alors qu'ils poursuivaient les humains. Les dernier soldats de cette armée trainaient dans le village pour le piller. L'un d'eux tua mon père par morsures à la gorge sous les yeux de ma mère. Ma mère qui se mis à fuir aussi vite quelle pouvais avec son ventre aux forme arrondis après neuf mois de grossesse.

Première fois qu'elle voyer ces êtres mis-hommes mis-animal, elle qui avait toujours cru que les ancêtres qui décrivaient ces êtres avaient juste pour but d'effrayer les enfants pas sages. J'avais déjà commencé à me faire sentir depuis un petit moments. C'est sur ce champs de bataille encore chaud du combats qui s'y était déroulé qu'elle accoucha, un jours après avoir perdu son époux. Depuis ce jour avec ma mère on ne vivait pas, on survivait. On survivait dans la peur, dans l'inquiétude que ma mère créer en me parlant de ces hommes animaux. Cependant les cadavres de ces hybrides étaient important pour nous puisque en leurs coupant leurs queues en fourrures on se réchauffer, on s'habiller grâce a cette fourrure. Oui on mutiler leurs corps avec dégouts. Je n'est jamais eu de véritables lieux d’habitation. On fuyait les combats comme la peste mais les conflits nous rattrapaient à chaque fois. Ma mère s'efforçait de m'inculquer le savoir qu'elle avais. Savoirs qui était très peu élevé, mais je sus ainsi écrire, lire,compter et une bonne connaissance de l'agriculture même si rien ne poussais vraiment sur ces terres toxiques. On vivait de petits travail ingrats.

A mes treize ans alors que je revenais d'une promenade, je trouvais le corps de ma mère déchiqueter par des animaux. J'eus du mal à comprendre comment ma mère avais réussis à se faire avoir. En m'éloignant du petit campement, je découvris un groupe d'hybride. J'étais à la foi effrayer et admirative. Je compris qu'ils étaient surement les assassins de ma mère. Je fuis pour leurs échapper. Je errais durant trois ans survivant comme je l'avais toujours fais. Je finis par arriver dans une ville. Ville qui semblait riche et surtout sécurisante. Elle était claire, propre, rempli de verdure, joyeuse, avec de l'eau. Moi qui avais toujours vus que de la terre sèche, détruite, ensanglanté, sans herbe, sans rien. D'un paysage d’apocalypse j'étais passé à un paysage paradisiaque. Pour moi il n'y avais pas d'autre mot, cette ville était un paradis. Mais j'eus peur quand je vis des hybrides .... cependant à ma grande surprise les hybrides parler avec des humains, rigolais avec eux, parler avec eux. J'avançais timidement dans cette ville si particulière. J'étais salle n'ayant pas trouver de petit cours d'eau pour me laver, affamé et blessée. Étais -je morte ? Non je respirais bien, je ne rêver pas. Cette cité avais l'air de totalement ignoré la dureté de la guerre qui fessais rage hors de ses murs. Les personnes, hybrides et humains me dévisageaient moi la souillons venu de l’enfer. Je m’écroulais en pleine rue, sans force.

Quand je me réveillais, j'étais dans un lit lavé, mes blessures bandées. Une jeune femme arriva suivi d'un hybride. Elle m’expliqua comment elle m'avais trouvé. J'avais peur de l'hybride qu'elle m'avait décrit comme son époux. Cette femme étais marier a un homme a moitie loup. Ils m'expliquèrent l’idée de cette ville. Cela me fessais peur, cependant j'acceptais de rester vivre chez eux. Malgré leurs gentilles, j'avais toujours peur de l'hybride. Ils avaient tuer mes parents je ne pouvais donc pas avoir totalement confiance en ces hommes animaux. Du moins jusqu'à mes seize ans je pensais ainsi, parfois même aujourd'hui je pense ainsi. Grâce à eux, j'eus cependant une éducation complète et le soutien j'avais besoin pour finir de grandir. Mais pour ne pas m'imposer chez mes "parents adoptifs" je travailler, ramenant ainsi un salaires servant a payer les dépenses supplémentaires du à mon intrusion dans leur famille. A mes dix neuf ans je les remercie et m'en alla vivre ma vie. Comme toute les jeunes filles j’espérais trouver un mari et avoir des enfants. A présent j'ai vingt ans, je vis de mon travail mais mon passé me hante, de voir les gens vivre comme si de rien n'étais me fais me sentir étrangère, nostalgique. Je me demande si une personne arrivera un jour à me comprendre, à m'aimer avec mes blessures aussi bien physiques que psychologiques.

Physiquement on peux dire que je suis banale, blonde, cheveux long et au yeux vert. La peau blanche légèrement pêche une fois qu'elle a bronzé. Je mesure 1m70 taille moyenne pour une jeune femme. J'ai une carrure fine. Je pesé 60 kilos. La nature m'as gâter mais cela je n'aime pas vraiment le montré en m'en ventés.Je n'est pas de tatouage ni piercing. Depuis que je suis sortit de mon enfer je me suis seulement fais percer les oreilles pour y longé deux petite perle blanche. Ma chevelures blonde est douce et soyeuse mais elle à une particularité, elle possède des reflet blanc, je dois même avouer que j'ai des méchés blanches au milieux des mèches blondes, cela est du au stress que j'ai vécu plus jeune. Autre marque de mon passé turbulent, des cicatrices discrètes dans mon dos et un peu éparpiller de partout sur mon corps. J'ai aussi une trace de morsure sur mon épaule droite. Heureusement elle ne se vois pas énormément. Une tache de naissance dans le bas de mon dos du coté gauche a trouver sa place, comme son nom l'indique, le jour de ma naissance. Signe que j'avais en commun avec mon père qui en en avais une du côté droit. Mes joues son souvent rouge, car je rougis facilement pas habituer à voir le regards des autres sur moi.
Côté vêtement, je suis une fois encore banale. Cependant j'ai une net préférence pour les jupe et pour les robe, préférant délaissai les jeans. Cela ne m’empêche pas d'en porté tous de même. Mon style est classique, avec des couleurs clairs pour éviter de tomber dans la déprime. Enfin je dis cela mais je passe plus souvent mon temps avec des vêtement noirs ou marron. Malgré que je sois en robe ou en jupe cela ne m’empêche pas d'être très active et de me salir dans la terre quand mon travail me le demande. Bon je dois avouer que mes robes sont toutes cintré pour m'être en valeur mes courbes bien marqué. Après tous pourquoi ne pas utilisé mes atout pour trouver l'homme qui partagera ma vie. Enfin même si elles sont cintré je fais en sorte de ne pas trop attiré les regards. Mes cheveux son souvent attacher en chignon négliger quand je travail et lâcher le reste du temps. Tous ce qui est maquillage, non merci, je préfère largement être moi même et ne pas me camoufler derrière du maquillage. Les bijoux, j'en porte pratiquement tout le temps, vu que je n’enlève jamais mes boucles d'oreilles. Régulièrement je rajoute une bague et un collier. Ma voix est douce et posé et j'ai une odeur légèrement sucré. Rien ne peux montrer que je viens de l'enfer de la guerre si ce n'est mes cicatrises. J'allais oublier, lors que mon enfance j'ai eu une mauvaise rencontre avec un groupe d'hybride, c'est là que j'ai eu ma morsure a l'épaule. En plus de cette trace j'ai hérité d'une douleurs souvent insoutenable me prenant de l'épaule et descendant dans ton le dos. Cette douleurs est tellement forte que lors de crises elle me fais boiter me donnant l'impression d'être paralyser de tous le côté droit.

Mentalement ? Je suis stable, enfin tout dépend des actions extérieurs. J'ai encore des réflexes de survis et une certaine crainte des hybrides. Quand ceux -ci s'approche trop de moi j'ai le réflexe de m'éloigner. La guerre ou plutôt l'enfer que j'ai vécu m'as laissé des séquelle psychologique me rendant insociable et froide parfois. Pourtant je serais plus du genre à être hyper sociale mais dés que des hybrides sont trop nombreux autours de moi je me renferme par réflexe. J'aime être entouré par des ami(e)s , rire et sourire mais j'en est que très rarement l’occasion. Je me sens toujours plus ou moins étrangère à cette ville ayant encore du mal a intégrer que les hybrides et les humains peuvent vivre en paix. Pourtant je suis tolérante mais trop traumatiser. Cependant petit a petit ces traumatismes disparaissent et je ne perd pas l'espoir que tous ira mieux un jours et que je ne serais plus aussi craintive envers les hybrides. Attentive, douce et calme je m’énerve que très rarement. Pendant mon adolescence je me suis découvert un côté pervers et allumeur, mais je ne l'utilise jamais. Je préfère largement ma timidité et ma semi innocence pour séduire. Cependant une fois encore je n'est jamais eu l’occasion d'utiliser ces côté de ma personnalité. Comme toutes jeunes filles je rêve de trouver l'homme de ma vie et fonder un foyer remplis d'amour et de bonheur ... même si cela ne sera que des illusion puisque inévitablement je ne pourrais pas oublier mon passer et la guerre fessant rage a l’extérieur de cette ville. D’ailleurs je craint régulièrement de voir la guerre entrés dans cette ville et détruire le dernier petit coin de paradis qu'est cette ville. Je me demande bien qui sera l'homme capable de m’apprécier et de m'aimer malgré mes blessures. J'ai un instinct de survie et de protection très développer fessant que je suis plutôt méfiante au premier contact mais rapidement je me laisse aller. Malgré mon travail et le fais que je me sois finalement établis dans cette ville je suis relativement seule. Je ne marque pas suffisamment les esprits pour qu'on se souviennent de moi surement. Cela doit être dut à ma discrétion que j'ai élaborer plus jeune pour survivre dans des lieux plutôt dangereux. Ce qui fais que le soir quand je me retrouve seule chez moi, mes souvenirs et la nostalgie me prend et me font sangloter. Pourtant je fais en sorte de garder le sourire et ma bonne humeur espérant que tous cela finira un jours par disparaitre ... même si les événement passer ne me font pas espérais grande amélioration pour ce monde de guerre et pour ma propre vie. Mais une fois encore je ne perd totalement espoir.

Mes goûts ? Ils sont assez basiques. Premièrement je peux déjà affirmer que la choses que j'aime le plus dans mon monde c'est la vie. Car si je n'aimais pas la vie pourquoi aurais-je continuer à survivre ? Cela aurais était surement plus simple de me laisser mourir le jours où j'ai perdu ma mère , où j'ai perdu la seule choses qui compter pour moi à l'époque. Ensuite j'aime mon travail, aimant la nature et tous ce qui est travail manuel ce travail est parfais. Oui j'aime la nature et l'agriculture, après tous quoi de plus normal pour une fille de paysans. Lire et écrire sont des choses qui me plaise énormément, cela depuis que je suis instruite. C'était de très bon échappatoire lors de longues nuit hivernal. J'aime également apprendre, dés que l’occasion de connaitre de nouvelle choses se présentes, je saute sur l’occasion. Choses que par contre j'aime moins c'est la guerre, on peux carrément dire que je la hais et les hybrides, pourtant je fais dés effort pour les apprécier mais j'ai encore un peu de mal. La chasse est une activité que j'apprécie même si je n'est plus aucune raison de la pratiquer et que j'en est plus l'envie. Mais les souvenir de ces moments plus ou moins burlesque me font encore apprécier cette pratique barbares pour les personnes n'ayant jamais eu besoin de l'utiliser pour vivre. Autre choses que je ne peux nier c'est mon penchant pour la bouteille quoi de mieux pour noyer ses craintes et ses pleures. Je n'en suis pas fier loin de là et j’essaie de m'en éloigner en la remplaçant par de la limonade même si cela n'as rien à voir avec la vodka. Hm oui la vodka et le saké sont bien les deux alcools que j’apprécie le plus; l'un pour son goût peu prononcer mais sa capacité à bien nous réchauffer, l'autre par sa force et sa capacité a me bourrer des les premiers vers malgré ma résistance à l'alcool. Choses qui vas paraitre basique voir idiot mais qui est important pour moi, j'aime me sentir propre et pouvoir manger à ma faim. Cela parait logique et banale mais quand on prend que trois ou quatre repas pendant une semaine entière ou qu'on passe de long moment dans l'incapacité de se laver, ces choses banales deviennent limite jouissif quand ils deviennent journalier. Donc oui j'aime pouvoir manger et me laver. Pour résumer j'aime après avoir bien travailler, manger et me laver m’installer face a un paysage remplis de verdure et donc paradisiaque avec une bonne bouteille d'alcool et un bon bouquin pour laisser mon imagination divaguer, choses que je n'avais jamais pus faire dans ma jeunesse.

Des ambitions .... Je n'en est pas beaucoup, sauf celle de fonder un foyer. Des études je ne peux pas vraiment me vanté d'en avoir fais. Je suis rentré dans le cursus scolaire a mes treize ans et j'ai vite finis par le lâcher préférant faire des études par correspondance, trop mal à laise d'être en cours dans des classes avec des hybrides. Cependant j'ai rattraper très rapidement le retard que j'avais accumulé pendant ma longue période de survie. Ainsi je n'eus pas vraiment de mal à trouver un travail dans les compétence où j'étais bonne. Les savoirs que ma mère m'avais apporter sur les plantes et la façon de les cultivé et d’entretenir des plantations on surement jouer en ma faveurs lors des entretien d'embauche. A présent je prend plaisir dans mon travail qui me correspond bien. J'ai le temps libre qu'il me faut pour enfin essayer de faire des rencontre... Enfin il faut que j'ai le courage de surmonter mes craintes et de me laisser approcher par les hommes. Sinon jamais je n'arriverais à fonder mon foyer.

Non je ne pense pas

Pyjamaaaaa XD

entre 0 et 100 ans XD

Heu ... T.T

bouche à oreille

non ^^

Donne-nous le code, alors :3. Ok! Par Dalya