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 Un coin de détente au bord de la rivière.. [Pv Maximillian Caldinov ♪♥]

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MessageSujet: Un coin de détente au bord de la rivière.. [Pv Maximillian Caldinov ♪♥]   Un coin de détente au bord de la rivière.. [Pv Maximillian Caldinov ♪♥] Icon_minitimeLun 10 Jan 2011 - 19:01

Samedi 5 Juin Un coin de détente au bord de la rivière.. [Pv Maximillian Caldinov ♪♥] 0108

Allongée sur le ventre, contre un banc matelassé recouvert d’un drap, à demi-nue les fesses dissimulées, ainsi que la subtile marque de doigts, laissée la veille, par la main de leur agresseur sous une serviette ; je profitais, les yeux fermés, d’un massage doux et lent, fait de divers points de pressions profonds dans les glissés, me procurant un bien être musculaire ressourçant, aux fragrances stimulantes d’huiles sèches de coco et d’agrumes.

...Nous étions samedi.. Je m’étais réveillée assez tôt dans mon lit et j’avais peu dormi ; j’avais envie de m’accorder une moitié de journée en dilettante. Après m’être levée, j’avais entamé sereine et respirant profondément, les douze postures d’étirement de salutation au soleil, enchainant les différents mouvements de façon fluide et détendue, pris un rapide petit déjeuné, puis téléphoné au salon de relaxation pour m’y rendre en début d’après midi...

« - Aie.. » La masseuse me présenta des excuses, s’attaquant à la partie sensiblement douloureuse de mon anatomie, mon fessier pour être plus précise, m’arrachant une légère plainte.. Un sourire étira cependant mes lèvres, repensant à la nuit que j’avais passée avec mon amant, oui petite nouveauté pour moi, je passais plusieurs nuits avec un homme faisant fis de mes crises de somnambulisme..

...Maximillian Caldinov, *Mmhh..*, soupir de délassement, mêlé de contentement ; le gérant d’une librairie de Mountain City, ou l’histoire d’une rencontre hasardeuse et troublante.. Me baladant en ville, j’étais passée à coté de lui, le bousculant involontairement et mon fessier reçut une première correction, me laissant stupéfaite et rageuse ! D’une dispute en pleine rue, nous nous retrouvions par hasard, plus tard en journée, dans un magasin Feng shui, enterrant la hache de guerre, autour d’une fontaine à eau, nous décidant finalement à aller boire un verre. Au bout d’une petite heure, nous partions rejoindre son commerce. Sur place nous eûmes quelques échanges littéraires et en moins de temps qu’il n’en fallut, nous finissions nus à nous envoyer en l’air, entre bouquins et comptoir, les supplices de mon libraire, me laissant d’emblée abasourdie par le plaisir et sans voix. Après nous être adonnés à plusieurs jeux dans sa boutique, nous étions passés à l’étage, chez lui, pour être à l’aise et au petit matin, épuisée, j’étais rentrée chez moi pour me coucher. Il était un amant actif et attentif, faisant toujours preuve de tendresse au moment opportun, entre autre friponneries, ayant l’art et la manière de me désarçonner, tout aussi gourmand que moi, si ce n’est plus et j’aimais ça.. Mon premier départ au petit matin après nos ébats, l’avait un peu surpris et moi frustrée, ne m’autorisant aucune heure de sommeil entre ses bras, j’anticipais mes crises de somnambulismes et finalement sans plus de questions, il respectait ce fait. Je ne savais pas grand-chose de lui si ce n’est qu’il avait repris l’affaire familiale, et avait perdu une amie dans un accident. Je n’avais pas cherché à être curieuse, craignant qu’il ne me pose trop de questions à son tour...

Le premier soin corporel se terminait, je demandai à l’hôtesse d’une voix nonchalante, un massage des pieds relaxant, la tête écrasée sur mes bras, je bénéficiais d’une dernière note de détente que j’appréciais tout particulièrement.

...Songeuse, je commençai à m’interroger sur cet homme, que je fréquentais maintenant depuis plusieurs mois, à vrai dire, je répondais présente à chacun de ses appels ou mails et inversement, notre relation, n’étant qu’une histoire de complicité sexuelle au départ, nous avions été clair, ne souhaitant ni l’un, ni l’autre nous fixer, tout au plus profiter des plaisirs charnels au grès de nos envies. J’avais gardé mes réserves, en début de relation, refusant de le voir venir chez moi, ou de dormir en sa compagnie, ne serait ce que pour sa propre sécurité, trop d’interrogations demeurant encore sur mon passé. Et irrémédiablement prise au piège de délices sensuels répétés de nos deux corps se comprenant, je tombais amoureuse de Millian sans craindre que l’étau ne se referme sur moi, lui avouant la première mon émoi sentimental.. Et aujourd’hui qu’on m’eût donné, tout les trésors du monde, la chercheuse d’or que j’étais, ne désirait qu’une seule chose, le garder indéfiniment et égoïstement auprès de moi. Je m’effrayais de ces sentiments exclusifs que je nourrissais à son égard, m’interrogeant à terme, sur le bénéfice de cette relation monogame que j’avais évitée jusqu’ici...

Le massage terminé, je récupérai le drap de bain que me tendit la professionnelle, l’entourant autour de mon buste, la remerciant, retournant en cabine m’habiller. Dénouant l’étoffe de mon buste, je jetai un œil dans le miroir. La vision du suçon que m’avait fait Maximillian, au creux du cou et de l’épaule m’arracha une petite mimique espiègle ; à vrai dire, il était rare que j’accorde ou cautionne ; ne m’étant pas gênée non plus ; ce type de « marquage » les trouvant disgracieux.

« - Tu parles.. » Me moquant un instant sourire aux lèvres, j’étirerai mes bras et mon dos crapuleusement avant de m’habiller. Je mis un shorty string stretch pourpre, nouant par-dessus les pans d’un pantalon porte feuille, taille basse bleu nuit ample, enfilant ensuite un soutient gorge pigeonnant assorti, je passai un cache cœur beige ras de buste le laçant dans mon dos finissant par enrouler négligemment, un léger foulard en voile bleu autour de mon cou, cachant la petite ecchymose de succion acquise la nuit précédente.. Fin prête j’enfilai des ballerines souples gris perle, observant rapidement ma tenue dans la glace, je me mis à tourner machinalement mon piercing au nombril.

Quittant la cabine, panier cabas chic au bras, l’attitude et le pas indolents, détendus ; je retournai à l’accueil du salon, remerciant et saluant les hôtesses, avant de me faufiler vers la porte de l’enseigne, me retrouvant sur la rue piétonne. De cette même allure, je me rendis à un arrêt de bus. La navette arriva dans les minutes qui suivirent ; montant, je pris place sur un siège pour lire le temps du trajet. Mon arrêt desservit, je descendis me retrouvant sur les quai de Mountain ou plusieurs bouquinistes discutaient avec des passants. Longeant ceux-ci, je m’arrêtai à quelques emplacements, m’intéressant à certaines éditions. Je feuilletai plusieurs livres avant de descendre en bordure du quai marchant le long de la rivière, passant les rives aménagés, je pris un granité mangue à un stand de boisson.

Continuant mon chemin, tout en sirotant celui-ci, je m’enfonçai vers la partie sauvage et verdoyante des berges, pour m’installer sur un coin d’herbe au bord de l’eau relativement abritée des regards par des arbustes, déposant un plaid au sol avec un petit coussin. Assise en tailleur, je sortis de mon panier, mon portable, l’allumant, puis les notes prises, pour une nouvelle en cours d’écriture. Commençant à travailler, sous la douceur des rayons du soleil, deux heures passèrent, durant lesquelles je pianotai sur mon clavier, buvant de temps à autre de l’eau. Une notification de mail m’interrompit ; Maximillian fermait sa boutique et me proposait de passer la fin d’après midi en sa compagnie. Etirant mes bras et mes jambes félinement pour me rassoir en amazone ; mon visage se parant d'une moue taquine, je préparais ma réponse le questionnant : *- Uniquement la fin d’après midi ?..* Indiquant dans mon mail, le lieu où je me trouvais, glissant dans celui-ci, nos deux mots d’amour récemment partagés, je lui demandai de me rejoindre.. Souhaitant, le sourire aux lèvres et le cœur léger, qu’il n’eut pas trop de difficulté à me trouver. Profitant des derniers instants de travail avant que mon libraire ne me rattrape, je me remis à écrire calmement le récit que je rédigeais.


Dernière édition par Aiyana Fubatsu le Sam 9 Avr 2011 - 22:17, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Un coin de détente au bord de la rivière.. [Pv Maximillian Caldinov ♪♥]   Un coin de détente au bord de la rivière.. [Pv Maximillian Caldinov ♪♥] Icon_minitimeLun 10 Jan 2011 - 19:08

Se réveiller lentement alors qu'il est déjà passé huit heures. Maximillian s'étira un peu dans son lit et laissa tomber sa tête sur le côté. Doucement il ouvrit les yeux puis soupira un peu. Une nouvelle fois il se réveillait seul. Bien qu'il passait de plus en plus de nuit en charmante compagnie, c'était toujours le même réveil qui l'attendait. Même si cela le chagrinait un peu, il n'en parlait pas à cette ravissante jeune demoiselle qu'est Aiyana. A vrai dire, au fil du temps, il avait remarqué qu'il pouvait s'estimer déjà chanceux d'être avec elle, presque tout les soirs. Surtout au vu de la façon dont ils se sont rencontrés. Le jeune homme ne sait toujours pas ce qui a bien pu lui passé par la tête à ce moment pour venir donner une fessée a cette jeune femme. Certes le corps de son amante est d'une beauté sans égale mais ce n'est pas non plus une raison...Heureusement pour lui, après une lutte assez acharnée et le maniement subtil des mots, elle réussi a lui pardonner cet acte. Dans tout les cas, les deux jeunes gens avait commencé à discuter autour d'un verre dans un bar, expliquant d'où ils venaient et ce qu'ils faisaient dans leur vie. Rapidement ils se retrouvaient dans la librairie du jeune homme où après quelques échanges sur leur gouts littéraires, ils s'abandonnèrent l'un à l'autre.

Une douche rapide, avant de s'habiller et de descendre à la librairie pour faire un peu de ménage. Il ouvrait dans une demi-heure. Il fallait donc qu'il se dépêche un peu. Après avoir passé l'aspirateur -Et oui, même un homme sait se servir de cet engin de guerre- Il se mit à ranger un peu mieux les livres qui venaient tout juste de sortir, afin que ce soit ceux là qu'un potentiel client voit en premier. Tout en continuant d'arranger un peu tout et n'importe quoi dans son magasin, le jeune homme se remit à penser à tout ce qu'il avait vécu en compagnie d'Aiyana. A vrai dire, ces deux amants aimaient varier leur plaisir, passant parfois d'un acte doux et tendre à un autre plus violent et passionné. Il arrivait donc a Maximillian de faire cette chose si peu commune qu'est la caresse de sa langue sur les fesses de son amante tandis que certain soir, il lui assénait de violentes fessées. Elle lui avait avoué même une fois que Maximillian était la première personne à qui elle laissait faire de tels gestes. Bien qu'un peu surprit sur le coup, il ne se privât pas de recommencer lorsqu'elle le souhaitait, et même parfois sans prévenir, ce qui donnait lieux à des scènes assez cocasses.

Venant derrière le comptoir, le jeune homme vint s'asseoir sur un tabouret et alluma son ordinateur, afin de commencer à répertorier un peu tout. Il commençait d'abord par regarder toute les ventes du mois et faisait quelques statistiques, afin de voir quelle livre il fallait commander pour avoir quelques exemplaires de plus, ou bien le contraire ne plus commander tel ou tel bouquin. Cela lui permettait aussi d'établir une liste des magazines à acheter ou encore de ceux qui sortiront sans doute bientôt. Le jeune homme s'étira un peu avant de regarder un peu sur son bureau. Il resta bouche bée pendant quelques secondes avant de reprendre le contrôle de son corps et de vite cacher ce qui se trouvait près de lui. En effet, le vibromasseur utilisé la veille bien que proprement nettoyé, s'était plutôt moyen si un client arrivait et voyait cela... Une fois rangé il déglutit un peu. A vrai dire, c'était son amante qui avait utilisé ce jouet, mais sur Maximillian. En effet, après quelque temps, le jeune homme se laissa tenter par de nouvelles expériences, toujours en compagnie de la ravissante Aiyana. Bien qu'au début cela n'était que de simple jeu de caresses, c'était rapidement devenu quelque chose de très intense, où Maximillian la laissait souvent prendre le dessus et la provoquait même pour qu'elle passe à l'action. C'était bien la première fois qu'il laissait quelqu'un faire cela, et à vrai dire, il ne le regrettait pas...

Il faut bien l'avouer, au début, ce n'était qu'une histoire de désir et de plaisir à partager. Mais plus rapidement que le jeune l'homme l'aurait cru, il s'était attaché à elle, au point où il ne désirait qu'une simple chose: être le plus souvent dans ses bras. Il avait du mal à comprendre ce sentiment, et préférait ne pas en parler à son amante. C'était arrivé doucement, mais surement. Une petite sortie au restaurant un soir, au coin de la rue, qui devient rapidement un moment très romantique où les deux jeunes gens se rapprochent sans s'en rendre compte. Le jeune homme avait peur à vrai dire, il lui arrivait de douter. Est-ce qu'Aiyana ressentait le même genre de sentiments que lui? Comme un idiot il attendait, incapable de voir la multitude de signes qu'elle lui lancait. Il fut nettement surprit lorsqu'elle se déclara a lui. C'était juste après une journée de travail. Ils avaient décidé de sortir au vu du beau temps qu'il faisait. Lorsque ces deux mots si simple l'atteignirent, le rouge lui monta aux joues et il ne fut capable que de l'embrasser avec une tendresse infini, incapable de faire autre chose. Il ne trouvait pas le courage de lui avouer qu'il l'aimait lui aussi. Il finirait bien par lui avouer de toute façon. Incroyable qu'arriver à 25 ans, on peut encore agir comme un simple adolescent.

Il s'en voulait un peu ne d'avoir rien dit ce jour là, et tenait à se rattraper, même si Ai, comme il la nommait si souvent, ne semblait pas lui en vouloir. Aujourd'hui, il ne travaillait que le matin ainsi qu'une petite partie de l'après midi. Il avait un rendez vous prévu avec un auteur, afin de savoir si oui ou non il publierait son œuvre. Après avoir fermé aux alentour de 15h, l'écrivain en question appela pour annuler au dernier moment. Bien qu'un peu énervé, il évita de le montrer à cette personne, mais jura un peu de ce manque de politesse. D'autant plus qu'il trouvait la raison de cette annulation vraiment idiote. Il prit sur lui et décida de profiter de cet après midi. Le jeune homme envoya un message sa chère Aiyana, lui proposant de passer le reste de cette journée ensemble, pour profiter du temps qu'il faisait. Il se mit à sourire a la vue de sa réponse. Elle semblait aimer le taquiner, et lui ne s'en plaignait pas. A vrai dire il la provoquait souvent pour qu'elle continue. Il considérait cela comme de petits moments de complicité.

Après avoir mémorisé les explications pour retrouver sa princesse, il se dirigea rapidement vers le parc, à pied. Il ne courait pas, mais marchait plutôt rapidement. A vrai dire il était pressé de la voir. Plus le temps passait, plus il souhaitait rester à ses côtés aussi longtemps que possible. Si bien que ne pas la voir pendant plus d'une journée lui faisait mal au cœur. Tout en se déplaçant, il réfléchissait un peu à l'endroit où il se rendait. Au souvenir d'un certain lieu, il se mit à sourire du coin des lèvres. Il lui réservait une petite surprise, qui lui ferait surement plaisir, du moins c'est ce qu'il espérait. Maximillian mit un bon quart d'heure avant d'arriver au parc. Il se mit de suite à la recherche de son trésor, qu'il trouva cinq minutes plus tard. Il l'observa quelque instant alors qu'elle était occupée à taper à grande vitesse quelque chose sur son ordinateur. Il s'approcha, se faisant discret bien que le bruit de l'herbe sous ses pas ainsi que son ombre trahissent sa présence. Il s'assit a ses côtés ont lui disant un joyeux « Bonjour Aiyana! » Un sourire était présent sur son visage, bien que la demoiselle ne put le voir que quelque instants. En effet, il se pencha doucement près d'elle, la regardant droit dans les yeux. Ses lèvres se rapprochent lentement des siennes, se faisant un peu plus désirées. Il lui offre un baiser tendre, simple et léger, prenant parfois les lèvres de son amante entre ses dents pour leur affliger de petites morsures. Il fait durer encore un peu ce baiser avant de le rompre.

"Alors dis moi, comment vas tu aujourd'hui? Ta journée s'est bien passée ?"


Une petite question très simple, pas très original peut être, mais savoir comment elle aller était l'une de ses priorités. Cela aussi, il ne le montrait pas beaucoup, mais quand elle en avait besoin de lui, ou quand il voyait qu'elle était simplement fatiguée, il la prenait tout simplement dans ses bras pour lui offrir un câlin. Il faisait son possible pour la rendre heureuse, car contrairement à ce qu'était leur relation au début. Il était heureux en la voyant heureuse, tout simplement. Il est arrivé un soir où Aiyana fut plutôt fatigué. Bien qu'il aurait aimé sortir ce jour là, il s'occupa d'elle comme il le pouvait. IL tentait de lui faire oublier certaines choses en lui faisant un massage ou en prenant simplement un bain en sa compagnie. Mais même dans ces situations, il l’a provoquait un peu, beaucoup plus légèrement certes, mais assez pour la faire sourire. Comme la fois où il lui apporta le petit déjeuner au lit alors qu'il était encore nu. Et encore aujourd'hui, il aller tenter d'obtenir ce si beau sourire qu'est le sien. Son regard se posa sur ce qu'elle avait sur ses genoux, son PC. Un peu curieux, peut-être même un peu indiscret, il lui demanda involontaire avec le ton d'un enfant:

"Dis moi, qu'est-ce que tu faisais donc ici, avant que j'arrive?"

La tête penchée sur le côté, les deux mains posé en arrière, l'une proche de la sienne, au point que leur doigt se touchent légèrement, il ressemblait beaucoup à un enfant. Ses iris violettes la fixait d'un air amoureux. Sans même le voir, Maximillian prouvait à Aiyana qu'il l'aimait, non par des paroles, mais par des gestes. Oui, il fallait vraiment qu'il lui dise, ne pas la faire attendre indéfiniment sans réponses de sa part. Mais il ne voulait pas dire ça dans n'importe quelle situation, ni dans n'importe quel lieu. Grand romantique dans l'âme, il fallait trouver un endroit intime et calme, où personne ne serait là pour les épier. Passant sa main sur son menton, il regarda un court instant la rivière qui coulait près de là. Peut-être devait-il l'emmener là-bas, dans ce petit lieu que personne ne semblait connaitre. A vrai dire, c'était plutôt bien caché...Il lui proposa, les yeux ampli d'une petite lueur indescriptible:

"Je sais que tu es là depuis un moment, et que tu n'a pas forcément envie de bouger. Mais cela te plairait d'aller marcher le long de la rivière un peu?"

C'était une simple proposition, si elle ne voulait pas se déplacer tout de suite, il attendrait, après tout ils avaient toute l'après midi et toute la nuit à passer ensemble. Du moins c'est ce qu'il espérait. Être avec elle pendant plusieurs heures le rendait particulièrement joyeux.


Dernière édition par Maximillian Caldinov le Lun 10 Jan 2011 - 19:18, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Un coin de détente au bord de la rivière.. [Pv Maximillian Caldinov ♪♥]   Un coin de détente au bord de la rivière.. [Pv Maximillian Caldinov ♪♥] Icon_minitimeLun 10 Jan 2011 - 19:12

Je ne faisais pas vraiment attention à ce qui m’entourait, les pensées rythmées par le flot plaisant de la rivière, prise d’une crise singulière d’inspiration, mes doigts pianotaient au gré de l’onde. Je donnais vie à mes paragraphes le plus naturellement du monde, avec une facilité déconcertante. Mes yeux s’extirpant de temps à autre de mon écran, je m’emplissais de la quiétude des lieux, éclairés par la douceur des rayons du soleil. Un aigle pris son envole, abandonnant une plume non loin de moi, me sortant de ma méditation littéraire. Je la ramassai, repensant à ce que Nadine Gordimer, avait écrit : « La solitude que l’on éprouve en écrivant est assez terrifiante. C’est parfois proche de la folie, on disparait et perd le sens de la réalité... » Mon regard se figea dans le vague de cette terre, maîtresse de mon halètement prosaïque. Je n’étais qu’un atome, portée par une loi universelle, « le don ». Probablement folle, nullement terrifiée, ni seule, simplement plus forte de ne faire qu’un avec cette nature nourricière.

Au terme d’un moment, que je ne sus quantifier, je fis une pause ; me levant j’étirai l’allonge de mes muscles, de la pointe des pieds, jusqu’aux bras que je tirai au ciel, paumes croisées au dessus de ma tête. Oô petit craquement d’os agréable, un fin sourire se dessina sur mon visage, comblé d’un sentiment de bien être. Me rasseyant en tailleur, je dus jongler quelques secondes à maintenir la stabilité de mon Pc sur mes jambes, trouvant finalement mon point d’équilibre, je me remis à ma prose d’Apache.

Un bruit de pas, me fit légèrement tourner la tête ; Maximillian arrivait, ce ne pouvait être que lui. Il s’installa à mes côtés, j’accueillis sa venue d’une voix habituellement suave et désinvolte. « - Hi Millian. » L’ébauche d’une bouille d’indienne amoureuse, lorsqu’il me dévisagea d’une curieuse manière… L’approche de ses lèvres, mes cils se fermèrent, un soupir s’échappa de ma gorge, appréciant son souffle sur mon visage, avant que nos bouches ne partagent une accolade se prolongeant où je lui rendis chacun de ses mordillements, tirant tendrement sur ses lèvres, me penchant vers lui, les mains sur le plaid, j’appuyai plus nos happements, inévitablement friande, finissant par expirer de contentement, et claquant discrètement la langue avant de répondre, à ses questions.

« - Je vais bien merci et je passe une journée de crapule, pour changer, salon de massage en début d’après-midi, puis je suis venue ici. Et toi ? Tu as passé une bonne fin de nuit ? Ta journée à la libraire s’est bien passée ? » La question qui suivit me fit rire. Que pouvais-je bien faire ici ; d’une petite mine de moineau porte bonheur et espiègle, je m’expliquai.

« - Envie de passer le temps et j’écris. L’endroit est peu commun pour ça, je te l’accorde, cependant entre les instants passés à la librairie, chez toi, dans la salle de bain ^^", notre soirée en bord de mer chaotique. - Je plaisantai, me remémorant ce début d’étreinte qui me fut violent, tant les fessées assénées ce soir là m’étaient apparues comme inadéquates, n’en ayant toutefois aucune rancœur, juste un peu d’ironie je repris. - J’avais besoin comment dire... D’un espace plus neutre, plus ressourçant. » Mes doigts effleurèrent sa joue, loin de lui en tenir rigueur, il avait su rattraper cette déconvenue depuis belle lurette, j’avais simplement envie de me détendre ici, pour la journée, guidée par la sagesse des esprits amérindiens. De par le legs des traditions de ma mère, j’avais appris que l’eau entraînait nos pensées par leurs cours et j’aimais ce frissonnement sourd que produisaient les lames coulant librement dans leur lit.

Les prunelles du libraire se portant cette fois, d’un peu trop prêt sur l’ouvrage que j’écrivais, j’eus une once de pudeur mal placée, détestant que l’on me lise, avant que mes chapitres ne soient finis, j’en sauvegardai les pages avant d’éteindre mon Pc, pour le ranger dans mon panier.

Reprenant un air narquois, les iris pétillantes, j’enroulais une de mes tresse autour de mon index avec un air lascif et innocent, plaisantant avec mon libraire. « - Ne cherche pas à lire Maxillian ! Tu découvriras ce bouquin, quand je prendrais rendez-vous avec toi à la librairie, à l’achèvement de celui-ci. Nous aviseront, à savoir si tu veux bien me publier… Entre autre chose de plus ludique. » Je lui tirais la langue, l’observant avec intérêt, le percevant songeur, à son tour... Il s’adressa à moi singulièrement, me proposant une balade ; la surprise du aisément se voir sur mes traits, je restai néanmoins cajoleuse, ne sachant être autrement avec lui, tant il me poussait au respect.

« - Rien ne me ferait plus plaisir que de longer la rivière en ta compagnie, je range juste mes affaires et pousses toi, que je plie ce plaid... » Me relevant avec souplesse, les pans de mon pantalons effleurèrent son visage, l’enjambant calmement pour me retrouver dans l’herbe, je regroupai la fine couverture sur laquelle nous étions assis et ramassai mon coussin de sol, remballant le tout dans mon panier, que je tendis à Millian. « - Tiens chéri, tu me le prends s’il te plait ? Attends. » Prononçant ces mots, j’attrapai une bouteille d’eau pour me désaltérer, la remettant dans le sac qu’il portait. Je vins chercher ses lèvres pour un baiser humide, le remerciant, tandis que mes doigts entrelacèrent les siens, nous dirigeant vers un petit chemin verdoyant et dégagé. Bien que détendue, ma main dans celle de Maximillian, j’étais moi-même en pleine réflexion. J’avais été la première à me déclarer et réalisai que j’avais encore beaucoup à connaître de lui, en dehors de cette sexualité exagérée que nous partagions, il se discernait chaque fois par de petites gaucheries que je trouvais indéniablement craquante. Plusieurs minutes de promenade improvisée, je rompis le silence l’interrogeant.

« - Je ne sais pas si tu connais le coin, mais au bout de ce sentier, se trouve une cascade, c’est superbe. » La voix sereine pendant que nous marchions, ce fut l’écho de l’eau retombant plus lourdement dans un bassin naturel qui se fit entendre, jusqu’à ce nous arrivions ; et là, un spectacle des plus magnifiques s’offrit à nos yeux, que j’en restai bouche bée. Me blottissant entre les bras de mon amant, je fus secrètement heureuse de partager en sa compagnie, cette vision enchanteresque colorée.. Alors que nous tournions le dos au soleil, un mirifique arc en ciel émergeait du paysage, produit par la réfraction de la lumière et des gouttelettes d’eau.


Dernière édition par Aiyana Fubatsu le Sam 9 Avr 2011 - 22:10, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Un coin de détente au bord de la rivière.. [Pv Maximillian Caldinov ♪♥]   Un coin de détente au bord de la rivière.. [Pv Maximillian Caldinov ♪♥] Icon_minitimeLun 10 Jan 2011 - 19:15

Il l’écoutait attentivement. Enfin non, il serait plus exact de dire qu’il buvait inlassablement chacune de ses syllabes. Il osait rarement la contredire ou même l’interrompre, pour une raison que Maximillian lui-même avait du mal à expliquer. D’après ses dires, Aiyana avait passé une journée plutôt calme. Du moins pour la matinée et ce début d’après midi. Il avait donc pour objectif que ce jour se finisse de la manière la plus douce possible ; pour ce qui est de la nuit, ça restait encore à voir, au vu de ce qu’ils étaient tout les deux capable de faire. Il lui répondit par un simple hochement de tête. A vrai dire, il n’avait pas trop envie de discuter de son travail pour le moment, tout simplement parce qu’il était en sa compagnie. Il considérait qu’il y avait des choses peut être plus intéressantes, ou plus importantes que l’on peut aborder lors d’un après midi aussi calme. Maximillian ne put s’empêcher de se mordre les lèvres à l’évocation de la fameuse soirée en bord de mer. Même si Aiyana considérait qu’il s’était rattraper depuis un moment, lui, au contraire, croyait qu’il avait encore beaucoup à faire. Au moins il avait appris à faire un peu plus attention avant de faire certains gestes. Cependant, il lui sourit lorsqu’il sentit la main de son amante sur son visage. Il la regarda un instant dans les yeux, avant de faire glisser ses pupilles sur se qu’elle faisait jusqu’à ce qu’il arrive. Il sut rapidement entrer dans un territoire interdit, et ne chercha pas à en faire davantage, écoutant sagement la jeune femme. Il était à vrai dire un peu étonné de ce qu’elle lui racontait, mais réserva ses questions pour plus tard, lorsqu’elle aurait finit d’écrire son livre. Pour son plus grand plaisir, elle accepta cette invitation marcher quelques minutes. Il ne se fit pas prier, et se releva quelques instants après elle, lui laissant reprendre ses affaires. Il avait peut être une chose qui embêtait, voire agaçait Maximillian avec Aiyana : Ses manières de gentleman étaient misent à mal. La jeune femme avait cette tendance à prédire ses mouvements, et à lui demander ce qu’il aurait fait le plus naturellement du monde. Il prit donc le fameux panier, bien que son attention soit portée sur tout autre chose. Ses doigts entre les siens suite à ce baiser avaient de quoi le tirer de ses petits problèmes. Il se laissa guider, et malgré la beauté des paysages, son regard resta bien plus souvent sur le visage de son amante. Il ne cherchait ni à comprendre, ni à essayer de changer cela. Qu'elle s'en rende compte ou non, peut lui importait, du moment qu'il pouvait la dévorer du regard encore quelques instants. Les deux jeunes gens marchèrent pendant plusieurs minutes, sans se presser à vrai dire, échangeant quelques paroles sur divers sujets. Il fallait bien l'avouer, il était arrivé plusieurs fois, lors de différents rendez vous, qu'ils n'échangent quasi aucune paroles, passant directement "aux choses sérieuses". Mais heureusement pour eux, tout ceci avait un peu changé, et peut être se connaissaient-ils plus qu'ils ne voulaient le croire. Après tout, ils savaient déjà comment réagir devant certaines situations. Enfin, on pouvait carrément dire que leurs corps se comprenaient, et pour être plus précis, qu'ils étaient à la limite d'être fait l'un pour l'autre, qu'il soit impossible pour l'un de se passer de l'autre. Il fallait juste qu'ils le comprennent, et cela risquait de prendre encore quelque temps... Ils arrivèrent enfin à destination, et avant même d'avoir prononcé la moindre parole ou fait le moindre geste, Aiyana était venue dans ses bras. La chaleur dont sa main avait profité pendant tout leur trajet, son corps tout entier le ressentait à présent. Cela ajoutée un peut plus de magie à ce lieu, déjà majestueux.

Ses bras passèrent tout autour de son amante, l'enlaçant délicatement. Il la gardait contre lui, ne faisant que prolonger ces quelques instants de bonheur. Ses doigts passèrent lentement le long des bras d'Aiyana, rejoignant ses doigts qu'il entrelaça aux siens. Il posa son menton sur son épaule, son torse collé au sien. Furtivement, il déposa un petit baiser dans le creux de son cou, savourant sa peau. Maximillian resta collé a elle pendant plusieurs minutes, assez silencieux à vrai dire. Il avait un petit sourire sur les lèvres, indescriptible et mystérieux. A vrai dire, dans sa tête, il n'était pas aussi calme qu'il en avait l'air. Ses lèvres brulaient d'envie de murmurer à son amante les quelques mots d'amour, en réponse aux siens, mais, aussi bizarre que cela puisse paraître, il avait un peu peur. Il ne savait pas pourquoi, mais c'était comme ça. Il voulait trouver le bon moment, ne pas prononcer ces quelques mots n'importe quand. Il avait aussi l'impression parfois d'avoir loupé un de ces fameux instants où il aurait du se déclarer. Oui, un homme aussi, ça peut être compliqué et chercher des problèmes où il n'y en a pas...Il revint se mettre devant elle, la regardant dans les yeux qu'il ferma l'instant d'après. Il se pencha légèrement en avant, son nez venant frotter le sien tout en collant son front à celui de son amante. Il s'abandonna à elle à vrai dire, et posa ses lèvres sur celle de la personne qui s'était déclarée à lui il y a encore si peu de temps. Ce fut rapidement sa langue qui commença une valse avec sa jumelle. Il ne cherchait nullement à la provoquer, uniquement à lui montrer de la manière la plus simple possible à quel point Aiyana était une personne importante pour lui, à quel point il tenait à elle, tout simplement à quel point il ne pouvait se passer d'elle et qu'il l'aimait bien plus qu'il ne l'aurait imaginé lors de leur première rencontre. Ses joues se tintèrent en une jolie petite couleur rose, alors qu'il prononçait contre ses lèvres, d'une manière toute simple, sans exagérations, mais avec une honnêteté assez flagrante: "Je t'aime Aiyana..." C'était un simple murmure, mais qui devrait surprendre son amante, tout en lui faisant plaisir. L'instant d'après il se mordit un peu les lèvres, dans l'attente d'une réaction de sa bien aimée. C'était une chose assez inquiétante, ces quelques secondes après lesquelles on se déclare, en se demandant comment va réagir la personne concernée... Comment Aiyana avait-elle fait pour avoir la patience d'attendre aussi longtemps une réponse de Maximillian? Ses doigts restaient dans les siens, libérés plutôt par le sac de la jeune femme. Il n'osait même plus bouger à vrai dire, et restait collé à elle. Il vint cacher son visage empourpré au creux de son cou, ses mains, cette fois-ci, longeant sa colonne vertébrale pour monter jusqu'à sa nuque. C'était un petit instant câlin, comme il arrivait qu'ils en partagent, bien que généralement, ce ne soit pas forcément dans ce genre de situations.

Il resta ainsi pendant plusieurs minutes, n'osant plus trop bouger à vrai dire. Il parvint tout de même à se séparer quelques instants des bras de la jeune femme. Il retira ses chaussures et chaussettes, et lui prenant délicatement les mains, l'entrainant avec lui vers l'eau. Uniquement pour tremper les pieds bien entendu...Pas question de pousser la demoiselle dans l'eau, pas maintenant en tout cas... Il la regardait droit dans les yeux, et fini par s'approcher une nouvelle fois de ses lèvres, pour lui offrir un nouveau baiser. Maximillian reculait lentement, tentant de prolonger cet échange un peu plus longtemps. Une fois leurs pieds dans l'eau il lui proposa le plus simplement possible : "Dis moi...ça te dit de rester ici encore quelque temps? On pourra se baigner un peu, pourquoi pas se prélasser au soleil..Passer un peu de temps, en amoureux..." Le dernier était sorti avec une certaine timidité, un peu comme s’il avait peur d'une hypothétique réaction d'Aiyana. Dans tout les cas il faisait beau, presque chaud, une petite baignade ne pouvait pas leur faire de mal, bien au contraire. Enfin, faut avouer que proposer une baignade, alors qu'ils ont pas de maillots, ça peut paraitre un peu oser. Cependant, ce serait pas la première fois qu'ils seraient dans une pareille situation, seul le contexte avait changer. Maintenant, il voulait simplement passer du temps avec elle, apprendre à la connaître et tenter de la rendre heureuse le plus souvent possible, le sourire d'Aiyana étant bien l'un des trésors qu'il adorait redécouvrir à chaque fois qu'il la voyait.

Les bras de Maximillian passèrent autour du cou de la jeune femme, tandis qu'il collait son torse à sa poitrine pour l'embrasser encore une fois, donner cette fois-ci une petite pointe de passion, cherchant encore une fois, à ne lui offrir que le meilleur de lui même.
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