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 Parce que la Beauté est parfois là où on ne l'attend pas. [PV; Musume =)]

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MessageSujet: Parce que la Beauté est parfois là où on ne l'attend pas. [PV; Musume =)]   Parce que la Beauté est parfois là où on ne l'attend pas. [PV; Musume =)] Icon_minitimeDim 27 Mai 2012 - 3:23

UUne journée ensoleillée venait de commencer en ce samedi matin. Pas de nuages à l'horizon et juste un petit vent pour adoucir la température. Enfin cela, notre cher libraire l'ignorait totalement pour le moment. En effet, allonger dans son lit, sous les draps avec les volets de sa chambre fermés, difficile d'apercevoir ce qu'il peut se passer en dehors de la pièce. Il profitait de l'un de ces rares jours de congés pour dormir un peu plus que d'habitude. Du moins, il essayait: en effet, malgré la fatigue qui parfois s'accumulait le long des semaines, le simple fait d'avoir pris cette fâcheuse habitude de se lever à six du matin avait pour conséquence de rendre impossible toute grasse matinée sans avoir un minimum d'au moins une semaine de congés. C'est donc en toute logique que Maximillian se leva aux alentour de huit heures trente. Plutôt difficile le réveil. Sa main droite tenta d'attraper ses lunettes sur la commode, en vain. Un long soupire avant de se lever et de se mettre à marcher lentement jusqu'à la salle de bain, uniquement vêtue d'un boxer. Le jeune homme s'appuya sur le bord du lavabo, se regardant quelques instants dans la glace: Pas de cernes. C'est déjà ça. Il retrouva ses lunettes sur ledit lavabo et lâcha un nouveau soupir. Se décidant a bouger un peu aujourd'hui sans savoir où exactement, il profita du fait d'être dans la salle de bain pour prendre une douche. Plusieurs minutes plus tard, il se retrouva a combattre ses cheveux pour leur donner une tenue correct avec un peigne. Il abandonna rapidement toute lutte et secoua la tête dans tout les sens ce qui eu pour effet de donner bien meilleure allure à ses cheveux qu'avec n'importe qu'elle ustensile pour se coiffer. Le temps d'enfiler rapidement une chemise blanche à manche longue et un simple jean accompagné d'une ceinture, qu'il se retrouvait dehors, sous le soleil. Il acheta de quoi manger dans la boulangerie du quartier avant de déambuler le long des rues de la ville.

Maximillian ne savait toujours pas où se rendre. Il se contentait d'observer ce qui l'entourait: les bâtiments, les personnes pressées qui travaillent un samedi matin ou encore un coup d'œil rapide à cette jolie jeune fille en jupe. Pas de perversion dans ce regard, juste de quoi admirer ce que la nature a bien pu créer. Le libraire passe rapidement son chemin, continuant d'arpenter le dédale de ruelles de Montain-City. Ses pensées s'envolèrent rapidement dans des contrées que nul ne connait, ressassant un peu le passé, évaluant le présent et se posant de multiples questions sur le futur. Le sien tout autant que celui de son entourage. Entourage assez restreint ces derniers temps d'ailleurs. Nouveau petit soupir avant de faire craquer une à une ses phalanges. N'ayant pas forcément beaucoup de choses à faire ce jour la, si ce n'est la farniente, il se dirigea vers le musée. Une envie soudaine tout simplement. Il n'avait jamais pris la peine de visiter ce musée depuis son arrivée dans cette ville. Le temps lui manquait parfois cruellement, la librairie restant toujours une priorité pour lui, il avait restreint ses sorties. Ce musée ne serait peut être pas fantastique, mais cela suffirait à le distraire un peu pour la journée. C'est les mains dans les poches qu'il continua sa marche vers le musée, quittant le dédale des ruelles du quartier Est. Le temps de gravir quelques escaliers et il se retrouva devant le fameux musée.

Le jeune homme observa un instant le bâtiment en question: Pas d'allure majestueuse, mais un air plutôt respectable. Une affiche de grande taille sur la façade pour annoncer l'exposition d'un artiste assez connu cachant une partie de la beauté architecturale apportée à ce musée. Comme dit plus haut, il n'était pas majestueux, mais on devinait facilement que la personne ayant conçu ce bâtiment aimait particulièrement la finesse. La forme elle même du musée étant en quelque sorte, unique en son genre : une partie de celui-ci était constituer uniquement de fenêtre sans teint. De quoi attirer l’œil des personnes qui passent près de là. Maximillian finit par entrer, après avoir payé pour se remettre à vagabonder au rez de chaussée, s'attardant parfois devant un tableau ou une sculpture. Ce n'est qu'une fois arrivé au premier étage qu'il arrêta sa marche. Le libraire se posa sur un banc face à une réplique d'une peinture murale mondialement connu: La Cène d'un certain Léonard. La voir "en vrai" c'était toujours autre chose que ce que l'on voit dans les livres. Presque neuf mètres de long pour cinq de haut...Cela reste impressionnant. Le beau brun remonta ses lunettes sur son nez et contempla simplement ce qu'il avait devant lui. Il croisa ses bras, étendit ses jambes et fit balader son regard un instant son regard autour de lui. Pas grand monde pour le moment dans le musée. D'une certaine façon, il préféré cela. Non pas qu'il soit asocial, mais disons plutôt que la contemplation se fait préférentiellement dans un certain calme. Calme difficile à mettre en place quand il y a une centaine de personnes par étages qui marchent, chuchotent, parlent etc etc. Maximillian fit remonter sa jambe droite sur celle de gauche, toujours assis sur son banc, pour le moment seul. Pour combien de temps? Qui sait?

Cela lui importait peu à vrai dire. Il commençait un peu à s'habituer à la solitude. La compagnie d'une amante ne lui faisait pas de mal certain soir mais difficile d'avoir un semblant de relation durable. Sauf si on considère comme durable, une relation de moins de 3 jours. Revenons plutôt à nos moutons, ou plutôt à nos apôtres. Le jeune homme observait chaque petit détail du tableau, tachant de se rappeler le nom de chaque disciple de ce fameux Christ. IL ne faisait plus vraiment attention à ce qui se passait autour de lui, que ce soit le bruit où les regards qu'on pouvait lui porter. Maximillian était simplement concentré sur ce qu'il observait, silencieux et quasi immobile. Le premier de bouton de sa chemise était défait, dévoilant légèrement son torse, du moins la partie qui n'était pas marqué. Sa tête reposait sur sa main gauche, du fait que son bras était posé sur le haut du dossier du banc. Immobile, c'est bien le mot. Ou presque. Une respiration lente faisant légèrement trembler le tissu de sa chemise, des yeux curieux parcourant les lignes de l'œuvre de l'Italien. Dans cette même pièce résidait l'Art, l'Imagination et la Séduction: l'Art, fragmenté en de multiples parts dans ce musée, sous formes de tableaux, sculptures et autres. L'Imagination fragmentait en des parts encore plus infimes les visiteurs, dans leurs esprits, du moins si ces derniers sont un minimum ouverts sur ce qu'ils voient. La Séduction elle en revanche... Elle était simplement condensée en une seule et même personne, assise dans cette pièce, admirant en silence une peinture. Peut être était-ce exagéré d'affirmer cela, mais tout porté à croire, au vu de l’apparence de Maximillian, que la nature avait façonné son corps dans le simple but de plaire aux femmes. Pas seulement qu'aux femmes soit dit en passant. Difficile, la vie de Playboy u_u.

Un bâillement étouffé plus tard, Maximillian détourna le regard de la peinture murale qu'il avait face à lui. Ce que ses yeux rencontrèrent valait bien plus que n'importe quel œuvre de ce musée. Ce que le libraire vit, ce fut simplement le regard d'une jeune femme, ou plutôt ses yeux. Une fois que son regard avait croisé le sien, il n'avait su poser ses yeux ailleurs que dans ceux de cette femme. C'est dans ces yeux vairons qu'il se noya. Il ne lui jeta pas un regard curieux, mais simplement...hum...Non, ne sont assez explicites pour décrire ce que ressentait le libraire à cet instant où il rencontra ces yeux. La fascination est certainement le mot qui correspond le plus à ce que pouvait ressentir le jeune homme. Il se surprit à avaler difficilement sa salive et fut pris d'un coup de chaud. C'était bien rare, de trouver, même de pouvoir apercevoir une femme aussi belle que celle qu'il y avait là. Maximillian tacha de se reprendre, ne voulant pas donner l'impression à cette fameuse jeune femme qu'elle était une bête de foire, mais impossible. Impossible de quitter ce regard intrigant qu'était le sien. A nouveau un coup de chaud. Et c'était certain, ce n'était pas la température qui était responsable de cela.
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MessageSujet: Re: Parce que la Beauté est parfois là où on ne l'attend pas. [PV; Musume =)]   Parce que la Beauté est parfois là où on ne l'attend pas. [PV; Musume =)] Icon_minitimeDim 4 Nov 2012 - 23:55

♥ ~ Samedi soir, Musume revenait d’une soirée vidéos entre amies et rentrait chez elle, un studio qu’avaient aménagé ses parents au dessus de la chocolaterie et mitoyen à la demeure familiale. Dès qu’il fut question de son retour à la maison, la jeune femme avait demandé à préserver son indépendance, Pénélope et Sumio étudiant ailleurs ; rester seule avec maman et papa, lorsqu’on a occupé une chambre au pensionnat, donc acquis un minimum de liberté, ne l’enchantait guère. Ce jour là, son souhait reçut un accueil favorable, Daiki et Ayaki pour une fois ne tergiversèrent, très certainement soulagée de voir revenir l’une de leur progéniture au bercail.

Le cliquetis de la serrure se fit entendre. A l’intérieur de son appart, ‘Miss’ Gurume ôta ses chaussures et referma la porte qui grinça. Elle fit ses ablutions du soir, se vêtit de l’un de ses long tricot, de guêtres et munie d’un livre que Sora lui avait suggérée de lire, la jeune femme s’allongea sur son lit, sous ses édredons. Confortablement installée sur ses coussins, elle lut plusieurs pages à la lueur d’une lampe de chevet et la fatigue la gagna. La tête de la lectrice retomba mollement, luttant contre le sommeil. L’entêtée tourna encore une autre page du bouquin qu’elle avait, bailla et tenta de déchiffrer les phrases du roman, mais la somnolence eut raison de la liseuse.
... / ...

♥ ~ Musume dormait à poings fermés lorsque le réveil de la chaine Hifi sonna, une musique d’ambiance s’égrena doucement. La marmotte cilla des paupières et sortit de ses couettes. Son visage s’illumina, plusieurs rayons de soleil s’étaient frayés une percée entre les tentures. Pleine de peps, elle se leva, ouvrit rideaux et portes fenêtres déjà entrouvertes ~ ne supportant les pièces confinées ~, afin de scruter l’horizon. Aucun nuage en vue, la chaleur du soleil coula de douceur sur elle. Une belle journée en prévision *.* Hop... Musu fila à la salle de bain et se lava. Elle coiffa ensuite ses cheveux mouillés, et tira sa frange devant ses yeux, essayant de cacher son hétérochromie. Une touche de maquillage, du parfum, et la demoiselle s’habilla d’une lingerie blanche brodée de cœurs, d’un chemisier blanc ample légèrement transparent et d’un jean slim avec une ceinture.

Fin prête et enthousiaste, la jeune femme se prépara un p’tit déj. pantagruélique vite engloutit et rangea sa chambrée. Elle éteignit la stéréo, attrapa besace et chandail, enroula une étole turquoise autour de son cou. Elle piocha une paire de socks, chaussa une de ses paires de bottes en cuir marron, montantes et quitta son foyer.

Dehors, la guillerette respira le bon air frais et vivifiant des Alpes. Des papillons vinrent à croiser son chemin, Musume eut un sourire béat. Ils étaient magnifiques, leurs pâles élytres nervurés d’une multitude de couleurs, s’agitaient avec grâce comme s’ils flânaient. Cette simple vision la charma et motivée, elle prit le bus. Le temps du trajet, elle poursuivit la lecture de ‘l’ouvrage fantaisiste’, sur lequel, elle s’était endormie.

- Quartier Est -

Descendue de la navette, la jeune femme se dirigea vers le parc. Elle aimait la quiétude de ces lieux, le bruissement du vent entre les branches d’arbres, le chant des oiseaux. Elle aperçût au loin un élève qu’elle avait frappé il y a peu avec un livre, Halchim Hamed ; ils se firent un signe amical. Rayonnante, elle se décida à prendre un chemin boisé, où quelques joggers courraient. Elle vit un garçon mettre la main aux fesses d’une fille qui s’arrêta furieuse et le gifla en l’invectivant. Musume eut un fou rire devant l’action et ne s’attarda. Son trajet débouchant à la lisière du parc, elle remarqua une marelle. La jeune femme un tantinet gamine s’empara d’un caillou, qu’elle lança, et sautilla à cloche pied jusqu’à atteindre le ciel amusée et son parcours l’amena sur une des rues piétonnes de la ville.

Mountain City était animée le dimanche matin. Le marché sur la grande place et les magasins avoisinants ouverts, attiraient les gens... C’était agréable de musarder au milieu de cette foule. Musume chemina divertie par les vendeurs haranguant des chalands, plus loin des ménagères échangeaient leurs recettes, d’autres choisissaient des produits et négociaient leurs paniers.

La ‘Miss’ remonta plusieurs ruelles et arriva enfin au musée où elle grimpa les escaliers avec entrain. Tsukio Storw lors du dernier cours, avait demandé à ses étudiants de s’informer sur la période de la Renaissance. D’un naturel curieux, l’étudiante s’était décidée outre les informations disponibles sur le web et à la bibliothèque, à retourner visiter l’édifice moderne où elle aimait se rendre afin de profiter de la quiétude des lieux... L’entrée et l’atrium passés, la jeune femme paya son billet au guichet et commença sa visite. ‘L’esthète’ redécouvrit avec ce même plaisir, la première imprimerie de Gutenberg, les peintures sur vitrail et autres reliques de ce siècle.

Sa visite la mena à une autre galerie où différents tableaux d’artistes étaient accrochés aux murs. Ses n’yeux virevoltèrent de l’un à l’autre, elle s’arrêta sur l’explicatif des techniques de peintures utilisées de l’époque, enregistra quelques notes sur son téléphone et apprécia ‘La Patience 2’ de Giorgio Vasari pour la énième fois. D’immenses sculptures étaient exposées ça et là ; ‘Diane la chasseresse’ de Jean Goujon et autres effigies religieuses romaines se côtoyaient. C’était beau et singulier pour la nippone qui ne partageait l’engouement des référents ecclésiastiques européens.

Demoiselle Gurume prolongea sa promenade, lorsqu’un groupe de gosses bruyants accompagnés d’adultes débaroula. Sur l’instant elle fut ahurit par le brouhaha qu’ils provoquèrent et deux gamines s’amenèrent... Musume avenante les regarda bienveillante, l’une d’elle chercha à lire le titre du bouquin qu’elle avait encore entre ses mains, l’autre lui tendit un bonbon que la jeune femme refusa et sa copine voulut donner un coup de pied à la japonaise qui l’esquiva. Un des accompagnants les rappela à l’ordre tandis que l’attention de Musume fut retenue par une enfant en retrait à la coupe au carré, à qui on aurait donné le bon dieu sans confession, tirant la langue à tout le monde... *La petite peste...* Elle s’esclaffa de bon cœur et un gardien en uniforme gronda afin d’obtenir le calme...

‘Ce court entracte’ plaisant terminé, l’étudiante pénétra une enceinte spacieuse où étaient exposées les fresques et là ce fut l’ultime satisfaction lorsqu’elle s’arrêta devant, « La création d’Adam » de Michel-Ange. Musume grande fan de l’artiste et de ses œuvres fut pantoise, caressa de ses mirettes la représentation, se perdit à détailler le chef d’oeuvre à sons avis sublime... Ses pérégrinations la menèrent après, devant ‘La Cènes’ de Léonard de Vinci. Elle se concentra sur cette fresque, pencha la tête à gauche puis à droite, et fut émue, voire sensibilisée par ce patrimoine historique qu’elle avait à mainte reprise contemplé...

‘Miss’ Gurume eut envie de grignoter des M&M’S noir intense qu’elle sortit de son sac. La nippone ouvrit le paquet, quand une drôle d’impression la tarauda. Elle eut le sentiment d’être observée... Fragilisée dès l’enfance par des dissemblances telle qu’une crinière blanche, des yeux vairons ; faire l’objet des moqueries de camarades ; mais aussi être spectatrice des conflits entre humains et hybrides furent autant de phénomènes ‘plus ou moins’ néfastes qui exacerbèrent ses ‘perceptions extra sensorielles’. La jeune femme leva le nez de son paquet de friandises et soudain rencontra les orbes d’un homme qu’elle connaissait : le libraire de Mountain City. L’étudiante se rappela le jour où avec Naru-san, elles étaient allées au magasin du jeune homme pour acheter un coffret collector de Code Geass. Timide et intriguée, votre petite demoiselle ne fit de vagues et attendit en retrait que son amie termine ses achats. Elle eut un sourire se remémorant comme elle avait craqué sur le séducteur, qui n’était pas le genre du super musclor, mais d’un charme irrésistible qui ne la laissa indifférente. Aujourd’hui face au libraire, elle hésita encore, mais l’obstination de l’homme à ne la quitter des yeux, l’agaça... Elle n’aurait su comprendre l’étrange sensation, l’attirance qu’il exerça sur elle... Son cœur bâtit à un rythme presque effréné et contre toute attente, un sourire flotta sur ses lippes de coquine.... *Courage et détermination !*

Devant le commerçant rouge comme une pivoine, la demoiselle se décida à entamer la conversation, malgré ses complexes et au risque d’être rabrouée. « - Bonjour Monsieur le libraire ! - Joignant le geste à la parole, Musume brandit à celui-ci son livre, "La guerre des clans d’Erin Hunter " afin de justifier le fait qu’elle l’avait déjà vue. Mais ce fut avec un peu trop d’entrain, oubliant qu’elle tenait aussi son paquet de bonbons. Les sucreries au chocolat volèrent sur lui. - Putain ! » Oô... La jeune femme se figea mais qu’elle maladroite !

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