Julliette s'éveilla ce matin là le coeur en joie. Mais il est vrai que depuis quelques temps, cela lui arrivait chaque jour de la semaine. Depuis qu'elle avait rencoté Kyosuké. Depuis qu'elle avait qsuitté sa famille en Italie pour venir s'installer à Montain City. Ici, elle avait rencontré un homme merveilleux, qui avait su réveiller l'amour qui sommeillait en elle, cet usagi qui fait battre son coeur si fort rien qu'en pensant à lui.
La jeune fille s'étira dans son lit , alors que le soleil éffleurait sa peau dénudée de ses rayons matinaux . Elle s'assit dans son lit, tenant son drap pourrpre contre son corps nu. Julliette sourit en voyant le petit oiseau roux et blanc perché sur son rebord de fenêtreet qui, par son chant melodieux, lui avait offer un si agréable réveil.
" Tiens! Bonjour toi ! Pour chanter aussi bien... tu dois être comme moi amoureux fon non ? .... "
Elle secoua la tête , riant d'elle même de parler ainsi à un oiseau . Julliette se leva de son lit, entrainant le drap drapé autour d'elle en guise de robe. La jeune usagi se dirigea vers la salle de bain attenante à sa chambre à coucher , entra et ferma la porte. Elle laissa tomber sa robe de forture comme une corole autour d'elle sur le sol, dans un bruit de tissu froissé et soupira. S'activant ensuite en chantonnant "Les mots bleus " , elle se fit couler un bain , dans lequel elle bdilua des sels à la rose. Ces derniers lui rapelaient les senteurs des roses que sa mère faisait poursser dans la roseraie , chez elle , en Italie , avant de mourir . C'etait Julliette qui s'en occupait à son tour avant de partir étudier en France , puis de venir à Montain City.
Lorsque l'eau eut rempli la baignoire du même marbre rose que le lavabo. Dans cette jolie piece le sol étais en carelage rose et les meubles en cerisier. La jeune fille plongea le pied dans l'eau et le retira immédiatement avec un petit cri de douleur.
" Oula ! Mais c'est brûlant ! Le thermostat a encore fait des siennes ! Je vais devoir attendre pour mon bain chaud... "
Remontée contre son thermostat qui lui jouait constament des tours, julliette enfila sa robe de chambre en soie bleue et blanche et soupira.
Bon et bien autant aller manger un bout en attendant ! "
Elle sortit de la salle de bain après avoir vérifié l'heure. 9H45... elle pourrais sans doute revenir dans un quart d'heure, la température serais satisfaisante.
La jeune fille ferma la porte de son apartement du premier étage et descendit pieds nus l'escalier qui menait à son magasin pour aller dans la grande cuisine.
Son magasin... elle étais plus que fière de la façon dont elle l'avait transformé ! Ce batiment avait été une boulangerie mais lorsque Julliette l'avais acquis deux mois plus tôt , elle étais sans activité depuis un an au moins. Cela n'avais donc dérangé personne que la jeune patissière convertisse le bâtiment en une pâtisserie accompagnée d'un salon de thé. Elle vendait ainsi des patisseries de toutes sortes qu'elle faisait elle même et tenais le petit salon de thé attenant à la boutique. Elle avait tout aménagé pour que ce soit le plus cosi possible : des murs lambrissés de couleur acajou et rouge cerise, des meubles dans le même bois et des ornements fleuris .
La cuisine en arrière étais à l'image du reste . Il y avait beaucoup d'espace dans cette piece carrée. Sur trois murs courrait un plan de travail en bois couleur chocolat surplombé d'une miriade de placards et fours dans une teinte caramel. Au centre de la piece à environs un mètre cinquante du bord du plan de travail, tronait un assemblage carré de cuisinières et d'une table qui permettait de faire cuire les crèmes, les sauces , etc... de couleur chocolat et caramel assortit au reste de la piece. Sur le quatrième mur se trouvait la porte à deux battant et un frigo immense.
Arrivée dans la cuisine, Julliette sourit et se remis à chantonner des chansons d'amour tout en se préparant du thé à la cerise et deux tranches de pain d'épice. Ceci fait, elle s'assit sur le plan de travail pour déguster son petit déjeuner. Une fois bien installée , son esprit se mit à vagabonder, se remémorant les évènements des dernières semaines.
Arrivée à Mountain City, Julliette c'était vite sentie seule et quelques peu déprimée. Et alors qu'elle se baladait en ville, la jeune fille étais tombée sur Kyosuké. Litérralement. Elle s'était perdue en rentrant à son hotel, avait trébuché et était tombée sur Kyosuké alors qu'il essayait de la ratraper. Ils avaient alors entammé la conversation et rapidement elle s'étais sentie bien avec ce homme aux cheveux mauve et au regard d'émeraude. Ils avaient longuement discuté pendant qu'il la rammenait à son hotel.
Après cette nuit là, ils s'étaient plusieurs fois revus. Notament lorsqu'elle eut ouvert son magasin , il fut son premier client ! Ils étaient devenus de très bon amis. Un jour, ils étaient allés au cinéma avec Ruka, la soeur de Kyosuké. C'est d'ailleurs ce soir là qu'il lui avait proposé d'aller au restaurant avec lui. Julliette, qui s'étais rendue compte qu'elle ressentait maintenant de l'amour envers le bel Usagi, avait bien sûr accepté, se disant qu'elle pourrait ainsi lui avouer ses sentiments.
Le soir du rendez vous, Julliette s'étais habillée avec minutie : elle ne voulais pas paraitre trop sexy ni trop guindée. Elle avait alors optée pour une longue robe rouge qui dévoilait peu sa poitrine mais plsu son dos et qui tombait parfaitement sur ses courbes féminines, dévoilant même la jambe par la fente sur le côté.
Le beau professeur d'allemand était venu la chercher et l'avait emmenée dans un restaurant très sympa. Elle avait passé une des meilleures soirées de sa vie. Sur le retour, alors qu'il la rammenait chez elle, la jeune fille avait avoué ses sentiments a l'homme. Seulement, la réponse qu'elle obtint ne correspondait pas à ses atentes. Kyosuké lui dit que même si il était possible qu'il ait des sentiments pour elle, il préférait attendre, et la connaitre mieux encore. Il a avit trop souffert de relations précipitées par le passé. Julliette, même si elle comprenait tout à fait ses craintes, ayant déjà vécu quelque chose de similaire, fut attristée au plus haut point par sa réponse. Cepandant, elle ne le montra pas. Sur le moment, elle avait acquiécé et ils avaient continué à marcher en direction de chez elle. Puis, comme un signe du destin , étaient apparues dans le ciel, des étoiles filantes. Alors, Julliette avait fait le voeu qu'ils puissent s'aimer l'un l'autre. Elle n'appris que plus tard que le jeune Usagi avait fait le même voeu.
Il l'avait raccompagnée chez elle et ils s'étaient quittés sans autre incident.
Quelques jours après, il était venu à l'improviste chez elleet l'avait trouvée trmpée par l'eau bouillante de son thé. Sa robe blanche étais devenue transparente et la peau de sa poitrine était ébouillantée. Il l'avait aidée à y appliquer de la crème et de ce moment d'intimité était né un baiser hésitant. Et, force leur fut de confirmer leurs sentiments mutuels (ce qui avait bien sur réveillé les larmes de joie de la jeune fille). Leur histoire avait commencé ainsi.
Cet après midi là, ils avaient fait l'amour dans le lit de Julliette et s'étaient endormis dans les bras l'un de l'autre. La douceur et le plaisir qur Kyosuké avait offert à la jeune Usagi l'avaient guérie de son aversion pour le sexe. Dorévnavant, elle apréciait ces moments d'intimité au plus haut point. Les deux amoureux avaient même parlé avenir et , pour le plus grand bonheur de Julliette, enfants.
Sortant de sa rèverie, Julliette se rendit compte de combien elle était heureuse. Elle rangea ses affaires et alla déverouiller la porte qui menait directement dans son appartement depuis la rue, sans passer par la boutique , au cas où kyosuké viendrait à l'improviste. Il pouvait venir quand il voulait et entrer sans prévenir auparavent.
Elle monta ensuite l'ecalier jusque dans la salle de bain et enleva la robe de chambre qui la couvrait poour se glisser dans l'eau chaude de son bain avec un soupir de bonheur.
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Ven 29 Juin 2012 - 22:48